Economie
APP sur le CIT : du papier presse au façonnage haut-de-gamme Imprimer Envoyer
Mardi, 25 Août 2015 12:13
APP-vignette Saviez-vous que le papier de votre quotidien régional favori transite par le Centre International de Transport de Roncq ? L'Agence de Papiers de Presse (APP), créée en 1947 à Lille, s'est en effet implantée depuis deux ans sur le CIT où elle a acheté un local de 3300 mètres carrés, précédemment occupé par les transports Ziegler. 
Deux tiers des 50 000 tonnes de papier issus de Russie, d'Espagne, d'Allemagne ou encore de Belgique qui arrivent chaque année dans les locaux de cette PME sont en effet destinés à alimenter les rotatives de quotidiens comme Ouest France, les DNA, la Voix du Nord et Nord Eclair, ou encore l'Union de Reims, bref, tous ces titres régionaux vendus chaque matin au-dessus d'une ligne allant de Rennes à Strasbourg. L'APP s'adapte aussi aux nouvelles demandes à l'heure du numérique en développant les petites et moyennes séries. De la livraison de papier pour les journaux, l'APP est passée à la production en transformant le papier imprimé en véritable objet de grande qualité, via les arts graphiques. Ses nouveaux clients s'appellent L'Oréal, Dior, Séphora, Sofitel, la Monnaie de Paris ou encore Le Louvre Lens !    
A 54 ans, Philippe Blanquart incarne la 3ème génération qui dirige cette entreprise familiale et entend bien passer le relais à sa fille Scarlett qui vient de rejoindre à son tour l'entreprise, forte de neuf salariés dont quatre ont été embauchés ces derniers mois pour réussir le virage amorcé. Ce jeune patron a connu l'âge d'or du tout papier quand Nord Eclair devenait par exemple le premier quotidien régional de l'Hexagone à acheter du papier hors des sentiers battus, en se passant des services de la Société Parisienne des Papiers de Presse (SPPP) qui détenait le monopole.

Des brochures haut-de-gamme pour thalasso 

Chaque jour, s'organise Av. de l'Europe la livraison des commandes, de 6h jusqu'en fin d'après-midi. Philippe Blanquart a pris la décision de s'implanter à Roncq quand son sous-traitant ELS (Euro Logistique Services) jusqu'alors basé à Roncq a déménagé à Comines. « Nous étions un bureau commercial, nous sommes alors devenus opérateurs à Roncq », se souvient-il. Une décision qu'il regrette d'autant moins qu'il est parvenu à faire voyager les bobines de papier russe par les ports de Dunkerque et de Lille en espérant prochainement utiliser la voie d'eau jusqu'au port d'Halluin.
Pour faire face à la baisse de consommation de papier et réussir le pari des petits et moyens tirages de grande qualité, l'APP a investi dans l'impression numérique en achetant une machine de fabrication française. « On y a consacré un investissement conséquent, j'ai arpenté les salons pour trouver de nouveaux clients et j'ai embauché des techniciens de l'emballage et du façonnage aguerris aux technologies de l'informatique », témoigne Philippe Blanquart. Sa 1ère commande a porté sur la production de 15 000 brochures vernissées et dorées, destinées aux centres Thalassa des hôtels Sofitel. Son personnel travaille actuellement sur un projet d'impression 3D pour Le Louvre Lens, afin de permettre aux personnes déficientes visuelles de mieux s'imaginer les oeuvres. L'Agence de Papiers de Presse entend bien participer pleinement à l'avenir du papier, y compris sous ses nouvelles formes, plus exigeantes, plus qualitatives, plus précieuses.
Agence de Papiers de Presse, 15bis, Av. de l'Europe sur le CIT de Roncq. Tél: 03 28 33 75 50, www.papiersdepresse.eu
 
Les cuisines sur mesure d’Edouard Lecolier Imprimer Envoyer
Jeudi, 02 Juillet 2015 18:32
lecolier-vignette Originaire de Bondues et installé à Roncq depuis 2012, Edouard Lecolier, âgé de 30 ans, est riche d'un parcours professionnel commercial. Soucieux de créer sa propre activité, il a d'abord cherché dans la restauration rapide. Mais son ancien employeur, franchisé dans les maisons, va lui faire rencontrer par hasard et dans un salon un cuisiniste… franchisé.
Edouard Lecolier va relever ce défi en devenant lui-même cuisiniste pour la marque « RAISON », d'origine bretonne. Et depuis le démarrage  de sa nouvelle activité en septembre 2014, il a déjà vendu 16 cuisines – à tous les prix, du grand public au très haut-de-gamme - qu'il fait monter par des artisans poseurs. De la conception à domicile, du sur-mesure, de la qualité, prix attractifs… voilà quelques recettes qui expliquent l'excellent bouche-à-oreille dont il bénéficie.   
Cuisines RAISON, Edouard Lecolier, Vallée de la Lys, Tél : 06 08 36 39 28, Mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. , Site : www.cuisines-raison.com
 
Les congés d’été des commerçants 2015 Imprimer Envoyer
Jeudi, 25 Juin 2015 12:20
PLAQUETTE-vignette Retrouvez les dates de fermeture des commerçants roncquois durant cet été en téléchargeant la plaquette : cliquez ici

 
Meilleurs Apprentis de France : Clément, un Compagnon du Devoir en or Imprimer Envoyer
Vendredi, 19 Juin 2015 16:53
Vignette_Clement Clément Duriez, jeune Roncquois de 17 ans, a fait le choix d'intégrer les Compagnons du Devoir après l'obtention de son brevet. Un choix mûrement réfléchi pour répondre à une volonté de formation  professionnelle prometteuse. « Je voulais suivre un parcours qui débouche sur un métier », confie-t-il. Dernièrement, il s'est vu remettre la seule médaille d'or dans sa catégorie – plomberie, installateur thermique, « c'est ce que je veux vraiment faire » – au concours régional des Meilleurs Apprentis de France et va concourir à l'échelon national à l'automne prochain.
C'est un copain qui lui a mis en quelque sorte le pied de l'étrier de cet apprentissage d'excellence au sein des Compagnons du Devoir, sis à Villeneuve d'Ascq. Après une série de tests brillamment réussis, il a adhéré d'emblée à cette formation rigoureuse et exigeante, à demeure et aux règles strictes (pas de portable pendant les repas…). Désormais pensionnaire au sein d'un établissement aux allures de musée, peuplé de chefs d'oeuvre incarnant autant de corps de métiers (charpentier, couvreur…) , il terminera son  apprentissage au terme d'un premier cursus de trois ans, puis il entamera son tour de France du compagnonnage pendant plusieurs années.

Il a déjà quasiment assuré son avenir professionnel

Actuellement, il s'immerge durant quatre semaines dans une entreprise lilloise pour deux à trois semaines de cours. Climatisation, chauffage, ventilation, chaudière, pompe à chaleur… autant de matériels et d'univers qui lui sont devenus familiers. Pour le concours des Meilleurs Apprentis de France, il a réalisé un circuit d'installation thermique qui lui a demandé une centaine d'heures de travail, récompensé par la seule médaille d'or, deux autres Compagnons du Devoir du même atelier de plomberie s'étant vu remettre une médaille d'argent.
Clément est en route pour devenir aspirant-compagnon puis compagnon quand il aura réalisé son chef-d'oeuvre. Mais le plus important est qu'il a déjà quasiment assuré son avenir professionnel dans un secteur où les plombiers sont vivement réclamés, surtout lorsqu'ils assurent des prestations de grande qualité ! (Photos Thierry Thorel)
Les Compagnons du Devoir vous invitent à rencontrer votre future entreprise au cours d'un speed-jobbing, le vendredi 26 juin 2015, de 18h à 21h. Cette rencontre organisée à la Maison des Compagnons du Devoir de Villeneuve d'Ascq, 118, rue de Babylone, Tél: 03 20 72 53 07, met en relation les entreprises de la région (Kbane, Decathlon, Ramery, Sogema...) et des jeunes en formation, du niveau CAP à la préparation de la licence, entretiens individuels de dix minutes, informations sur l'alternance, entrée libre
 
Sophie, médaille d’or régionale au concours MAF: la vidéo est en ligne Imprimer Envoyer
Vendredi, 12 Juin 2015 11:42
Vignette_Sophie Sophie Dupret, 19 ans, est venue au maquillage par hasard. Très vite, ses prédispositions en dessin ont fait merveille et elle a décroché une médaille d'or au concours régional des Meilleurs Apprentis de France qui s'est déroulé en avril dernier. L'épreuve de maquillage du cou et du décolleté lui a brillamment souri. En choisissant la filière de l'apprentissage, cette jeune Roncquoise volontaire et opiniâtre s'est ouvert les portes d'un parcours professionnel pour lequel elle ne veut rien laisser au hasard : les langues étrangères l'attirent autant que les métiers artistiques. Elle caresse même le rêve d'intégrer une école de maquillage en Angleterre ! 
Sa soeur jumelle a choisi la coiffure et elle l'univers du bien-être. A force de courage et de persévérance, Sophie a déjà à son actif une jolie trajectoire. Après deux années au lycée professionnel Michel Servet de Lille à l'issue desquelles elle a obtenu son CAP esthétique-cosmétique-parfumerie, elle a rallié le Centre de Formation des Apprentis du Virolois à Tourcoing où elle prépare son brevet professionnel.
« L'apprentissage, c'est très intéressant », reconnaît-elle, « aborder une formation par le biais de l'école et de l'entreprise nous fait grandir. Cette démarche m'a appris à me responsabiliser et à être plus autonome. »
Dans le cadre de son contrat d'apprentissage, Sophie travaille dans un institut de beauté lillois, près de la place du Concert. Au sein d'une jeune équipe, elle a su tisser des liens et gagner la confiance de son employeur qui n'hésite pas à lui confier les clés ou encore la caisse de l'établissement. « Quand on veut se donner toutes les chances, non seulement on peut mais on y arrive », affirme-t-elle, d'un ton décidé.
Pré-sélectionnée au sein du CFA du Virolois pour participer à l'épreuve de maquillage du concours régional des Meilleurs Apprentis de France, elle a été l'une deux candidates à décrocher une médaille d'or dans sa catégorie. Son maquillage d'art du cou et du décolleté d'une modèle a séduit le jury, ce qui lui a valu dernièrement la remise de cette récompense à Marly, près de Valenciennes. Prochaine étape : le concours national qui se déroulera à l'automne pour lequel elle aimerait bien dessiner en 3D, sans oublier le Brevet Professionnel dont les épreuves se dérouleront en juin 2016. (Ph. Thierry Thorel)
 
Jérôme Cramet, lauréat du concours « Talents BGE » Imprimer Envoyer
Jeudi, 04 Juin 2015 15:34
Asthor-vignette Huit créateurs d'entreprise du secteur du territoire de Roubaix-Tourcoing-Vallée de la Lys ont été mis à l'honneur le 4 juin à Halluin par les BGE (Boutique Gestion Espace) Roubaix-Val de Marque et Tourcoing-Vallée de la Lys. Parmi eux, figurait dans la catégorie « services », Jérôme Cramet, Roncquois âgé de 31 ans, qui a toujours voué une passion pour l'aménagement de l'extérieur. En Mars 2014, il a créé son activité de parcs et jardins « Asthor » et a embauché un salarié il y a quelques mois. Anne Thorez, Adjointe au Développement économique et à l'emploi l'a chaleureusement félicité. 
Pendant dix ans, il a embrassé une carrière commerciale du côté des Billards Toulet, à Bondues. « Je suis revenu à ma passion et j'ai pratiqué pendant un an l'aménagement et l'entretien de l'extérieur en auto-entrepreneur, parallèlement à mon emploi ». Puis il a franchi le pas en créant sa SARL « Asthor », en lien avec le prénom qu'il a failli donner à son enfant.
« J'ai passé mon diplôme d'élagueur cordiste, ce qui me permet de travailler l'hiver et de conforter ma société », souligne-t-il. Elagage, création de terrasse, clôture… son rayon d'action est très large et s'adresse aussi bien aux particuliers qu'aux professionnels, essentiellement sur la métropole lilloise.
Il a noué un partenariat avec d'autres sociétés pour répondre aux missions plus importantes. Et son approche du travail se veut écologique. Il n'utilise que de l'outillage à main et électrique, il a recours à l'outillage thermique uniquement quand il a besoin de plus de puissance mais fonctionne alors au biocarburant !
« Au départ, je pensais conclure trois ou quatre contrats annuels d'entretien et j'en suis aujourd'hui à quinze, grâce essentiellement au bouche à oreille », s'enthousiasme-t-il, « 80% de mes prestations sont des gros chantiers d'un budget moyen de 5 à 6000 euros ». Et Jérôme Cramet veut grandir et n'hésite pas à investir, comme dernièrement un tracteur-tondeuse de 15 000 euros.
Désormais, sa société « Asthor » peut concourir à l'échelon régional du concours « Talents BGE » et pourquoi pas à l'échelon national avec, respectivement, des proclamations de palmarès à Valenciennes en fin de mois ou à Bercy en septembre. 
"Asthor", Jérôme Cramet, 4 cité du gazomètre à Roncq, Tél : 06 95 34 53 15, Mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. , site : www.asthor.fr
 
La clinique Saint-Roch augmente encore sa capacité d'accueil Imprimer Envoyer
Lundi, 01 Juin 2015 17:15
St_Roch_Vignette Engagée début 2014, l'extension de la clinique Saint-Roch (2500 m2) s'est achevée un an plus tard pour s'ouvrir le 20 mai 2015. Tout en préservant son état d'esprit à la fois convivial et familial, ce grand vaisseau de la « reconquête de soi » s'est sensiblement allongé. 
Les espaces se sont étoffés et le volume du gymnase rééducatif avec un plafond à près de sept mètres de hauteur, est particulièrement impressionnant. Y sont aménagés divers équipements sportifs pour développer la pratique du volley, du badminton, du handball, du basket ou encore de l'escalade. Les baies vitrées s'ouvrent sur de vastes panoramas. La clinique Saint-Roch propose désormais 154 lits et places après cette extension qui paraît accompagner la progression démographique de la Vallée de la Lys.
Les nouvelles façades, parées de blanc et de bleu, s'harmonisent fièrement avec l'ensemble du bâtiment. La clinique a fière allure, plantée aux confins de Tourcoing, Bondues, Linselles et Roncq. Alain Lahousse, le directeur de la clinique du Blanc-Four, et Gabrielle Laurent, co-gérante de l'établissement privé avec ses frères, ne dissimulent pas leur satisfaction, d'autant qu'ils peuvent encore espérer récupérer 7 à 8000 m2 sur les réserves de l'A24 situées à l'arrière, pour développer le parking et un parcours thérapeutique pour les patients. 
Les unités de soins de suite polyvalents et spécialisés sont désormais hébergées dans des espaces plus généreux, sur trois niveaux en plus du rez-de-jardin où l'on retrouve la pharmacie centrale de 100 m2, les vestiaires des personnels, les locaux de stockage. Au premier étage, le couloir se prolonge et s'élargit de 40 centimètres et s'ouvre notamment sur une salle d'activités physiques, une salle de kiné et un gymnase rééducatif de 300 m2. « Ces nouveaux équipements participent à l'autonomisation des patients se relevant de pathologies diverses – prothèses, difficultés locomotrices, lombalgies, AVC… - et séjournant en hôpital de jour ou en hospitalisation complète », souligne Céline Serruys, responsable du plateau technique.

200 salariés et une trentaine d'embauches

Le gymnase rééducatif permet de développer des exercices de groupe tout en s'adaptant aux différents niveaux de rééducation fonctionnelle. Les patients sont notamment encadrés par cinq professeurs d'activités physiques ou encore par plus de cinq ergothérapeutes, 12 kinésithérapeutes…  
32 lits supplémentaires sont installés aux étages, dans 16 chambres individuelles et huit chambres doubles dans la continuité des actuels couloirs, pour augmenter la capacité d'hébergement de 122 à 154 lits et places d'hébergement. Les couleurs sont apaisantes et gaies, le mobilier flambant neuf et adapté. Des rails accrochés aux plafonds de 15 chambres, équipés de harnais, apportent de l'autonomie aux patients et facilitent le travail du personnel. 
Un restaurant climatisé de 300 m2 pour les patients (chirurgie, soins de suite et rééducation fonctionnelle) mais aussi un self pour les professionnels remplacent avantageusement - au troisième étage de cette extension dont la vue est imprenable sur la campagne environnante et les villes voisines - les anciennes salles de restauration. Quel chemin parcouru depuis l'ouverture de cette clinique en 1981, proposant alors 40 chambres. A noter, et ce n'est pas le moindre des aspects de cette extension qui a coûté cinq millions d'euros d'investissement : une trentaine d'embauches à la clé pour un personnel d'environ 200 salariés. (Photos Thierry Thorel)
 
Accessibilité : réunions d’information pour les commerçants Imprimer Envoyer
Dimanche, 31 Mai 2015 12:39
accessibilite-com-vignette La Métropole Européenne de Lille organise en partenariat avec la CCI Grand Lille et la Délégation Départementale des territoires et de la Mers,  une réunion destinée à informer les commerçants sur la mise en accessibilité de leurs établissements et plus particulièrement sur les Agendas d'Accessibilité Programmée le :
-Lundi 1er juin 2015 de 9h à 10h - Salle du conseil municipal de l'Hôtel de Ville de Tourcoing
-Mercredi 17 juin 2015 de 19h à 20h30, salle du gymnase, place Sébastopole à Lille
 
Demandeurs d’emploi : la Ville en tête pour la baisse des chômeurs de catégorie A Imprimer Envoyer
Vendredi, 29 Mai 2015 12:15
emploi-bassin-vignette Le Comité de bassin d'emploi Lille Métropole a publié dans son numéro de Mai 2015 l'évolution des chômeurs entre le 31 mars 2014 et le 31 mars 2015. Belle surprise : parmi les communes citées, Roncq est celle qui, dans la métropole, voit le plus baisser le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A* (-5,1%) pour le ramener à 520 au lieu de 548 un an plus tôt. A titre de comparaison, la vallée de la Lys progresse de 1,5% pour cette même catégorie A, et l'arrondissement de Lille de 5,4%. 
A noter qu'à Roncq, les hommes profitent plus que les femmes de cette baisse (-1,4% pour les hommes des catégories A,B,C*). Autre bonne nouvelle : les moins de 25 ans sont les premiers bénéficiaires de cette réduction de la demande (-3,2%) à l'inverse des plus de 50 ans (+4,9%). Les ouvriers non qualifiés ont vu eux aussi leur évolution de demande d'emploi à la baisse (-6,5%).  
La ville affiche ainsi son dynamisme économique, attirant chaque jour 7000 salariés sur son territoire qui, demain, seront encore plus nombreux avec l'implantation de 1er parc d'activités du 21ème siècle de la Métropole – le parc Pierre-Mauroy dont une extension de 15 hectares est déjà programmée au Plan Local de l'Urbanisme.

(*) : les catégories A, B, C regroupent les demandeurs d'emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi. Pour la catégorie A, il s'agit de personnes sans emploi ; pour la catégorie B, de personnes ayant exercé une activité réduite courte, c'est-à-dire de 78 heures au moins au cours du mois ; pour la catégorie C, de personnes correspondant aux anciennes catégories 1, 2, 3, 6, 7 et 8
 


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