Neuf collégiens créent leur mini-entreprise « Sweat & Sound » |
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Mardi, 17 Mars 2015 18:43 |
Le collège Saint-Thomas, rue de Lille, a intégré en 3ème une option DP3 comme « Découverte Professionnelle 3 heures ». Neuf collégiens ont adhéré à ce programme qui avait déjà vu d'autres groupes se faire remarquer les années précédentes, notamment le projet « Bulle 2 gourmandise » qui a vu éclore la création de savons bio en forme de pâtisseries. Cette fois, sous la houlette de Lucas Dedeken, désigné PDG, la mini-entreprise a pris les contours d'une fabrique de sweats à écouteurs intégrés, au terme d'une démarche qu'ils ont maîtrisée de bout en bout, depuis l'idée mise en oeuvre jusqu'à la couture des systèmes d'attache des écouteurs sans oublier la vente des produits présentés lors d'un défilé de mode organisé en février dernier salle Catry. Certes, les collégiens ne sont pas livrés à eux-mêmes. Ils sont encadrés par deux enseignants, Fleur Dhaenens en SVT et Jean-François Decaussin en histoire-géo, soucieux de participer à leur manière à ce tremplin enrichissant, et également par Typhaine Piller, chargée de mission de l'association « Entreprendre pour Apprendre (EPA) ». Typhaine les prépare notamment à participer à l'épreuve régionale du « Festival de l'initiative » - plus grand salon national en ce qui concerne la sensibilisation à l'entrepreneuriat des jeunes – qui se déroulera le 27 mai prochain au Zénith à Lille. « Ils doivent constituer un dossier, un power point, ils participeront à des « coaching days » en avril pour se préparer à affronter le jury », souligne-t-elle. « L'idée est venue d'un copain du sous-PDG », indique Lucas, « il avait vu ce type de sweat à capuche avec des écouteurs intégrés aux Etats-Unis ». Le collège leur a accordé un prêt de 500 euros à rembourser en fin d'année scolaire. De quoi responsabiliser les collégiens qui le savent : ça passe ou ça casse. Pour le logo floqué sur le sweat, ils se sont rapprochés du parrain de la mini-entreprise de l'année dernière qui a décidé de continuer l'aventure en leur apportant une aide professionnelle. Le logo a ainsi été réalisé à l'aide d'un logiciel à « La plaine Images » de Tourcoing, à partir de la tête d'un singe. Et c'est une entreprise douaisienne qui a floqué les logos sur les sweats. Au Zénith de Lille le 27 mai
Finalement, l'opération la plus délicate semble avoir été de coudre les systèmes d'attache des écouteurs. « Je leur ai expliqué comment coudre, ce qui n'a pas été facile pour des garçons mais en travaillant sur des prototypes, ils s'en sont bien sortis ! » reconnaît Fleur Dhaenens. Finalement, les collégiens ont été professionnels jusqu'au bout des doigts, comme le remarque Jean-François Decaussin : « c'est une entreprise à part entière qu'ils ont montée, ils ont passé des entretiens, l'association EPA leur a prodigué une aide via une plate-forme (modèles de facture, organigramme, définition des fonctions dans l'entreprise…), ils ont mené une étude de marché, trouvé les concurrents et les fournisseurs et ils ont réalisé le produit qu'ils ont vendu 30 euros à 58 exemplaires lors d'un défilé de mode qui a été très suivi le 18 février à la salle Catry ». Plus que jamais confiants en eux-mêmes, ils iront encore sur le marché d'Halluin, leur sweat sera même en vitrine de certaines boutiques, bref, leur mini-entreprise a tout d'une grande, y compris de dégager des bénéfices dont ils feront don à Charlie Hebdo et au Téléthon. Le rêve ainsi concrétisé va peut-être trouver une nouvelle satisfaction le 27 mai au Zénith de Lille s'ils décrochent un prix. « Le plus important dans toute cette belle histoire, c'est que les collégiens ont respecté toutes les étapes du projet et les délais, c'est d'abord cela leur réussite », assure Jean-François Decaussin. (Ph. Thierry Thorel)
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Olivier Libbrecht crée son entreprise et valorise son expérience |
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Vendredi, 13 Mars 2015 15:36 |
Olivier Libbrecht, Roncquois de 51 ans, a fait de son expérience professionnelle un atout pour créer sa Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle (SASU), estampillée LSTP comme Location Services Travaux Publics. Après une formation en génie civil, il a occupé différents postes dans de grosses sociétés, chef de chantier chez Colas (rocade Nord-Ouest, extension de l'aéroport de Lesquin, percement des tunnels du tramway le long du Grand Boulevard…), conducteur de travaux dans une coopérative valenciennoise, opérateur et technico-commercial pour les Eaux du Nord… Il a également été auditeur interne au COFRAC, le Comité Français d'Accréditation (laboratoires de contrôle). Il s'est notamment spécialisé dans le contrôle et la réhabilitation des réseaux d'assainissement, ce qui est devenu l'activité de sa société qui inclut également le contrôle et l'entretien des voiries. Il travaille pour les professionnels mais également pour les particuliers (curage et vidange de fosses septiques, vérification de tout à l'égout à l'aide d'une caméra…). Olivier Libbrecht s'est formé à la création d'entreprise à la BGE (Boutique Gestion Espace) de Tourcoing en janvier dernier avant de démarrer sa nouvelle activité. A Roncq, il a notamment fait travailler l'un de ses prestataires lors de la pose de nouveaux enrobés rue du Billemont. LSPT, contrôles et entretiens voiries et assainissements, Olivier Libbrecht, Tél : 06 41 04 01 54, Mail :
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Les producteurs locaux à la rencontre du public de l’hypermarché |
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Samedi, 21 Février 2015 19:01 |
Opération sympa le 21 février dans la galerie commerciale de l'hypermarché roncquois. Les stands d'une trentaine de producteurs issus de toute la région – de la Vallée de la Lys au Touquet – ont investi ce temple de la grande distribution pour aller à la rencontre d'un autre public, à l'occasion de l'ouverture du salon de l'agriculture. L'occasion pour eux de présenter et de faire goûter leurs produits, gaufres, pains, saumon… « C'est intéressant de faire connaître à nos clients ces producteurs locaux qui, pour la plupart, souffrent d'un déficit de communication alors qu'ils sont aussi nos partenaires », souligne Philippe Laurent, directeur d'Auchan Roncq, « c'est une manière pour nous d'intégrer le monde productif local ». Parmi ces producteurs, figuraient les produits d'excellence de Thalassa Gastronomie, société installée dans le parc d'activités des Champs, non loin de l'hypermarché. « On en profite pour proposer aux personnes des dégustations de saumon sous toutes ses formes », témoigne Franck Favier, commercial de l'entreprise, « les gens aiment bien ce que nous leur proposons mais ils ne nous connaissent pas suffisamment. A nous à faire des efforts de communication ».
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« Smarteo Water » sur le CIT : l’ingéniosité d’une start-up |
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Lundi, 16 Février 2015 17:47 |
Pierre Polier et Loïc Charron se sont associés pour créer il y a trois ans une SAS en région parisienne, dans un garage familial, estampillée « Smarteo Water ». Cette start-up d'informatisation de la gestion d'un réseau public d'alimentation en eau a grandi et a quitté le coeur de la capitale pour s'installer à Roncq, dans le Centre International de Transport, où elle espère grandir et atteindre de 10 à 15 salariés en 2016. Un choix qui ne doit rien au hasard… Les compteurs d'eau vont s'informatiser pour qu'ils puissent être gérés à distance. C'est sur ce pari d'avenir que les deux associés ont bâti leur société. Agés respectivement de 38 et 25 ans, Pierre Polier et Loïc Charron ont deux profils distincts : le premier est ingénieur Arts et Métiers, le second a suivi une formation commerciale et informatique. Ensemble, ils ont analysé les vertus du module radio qu'ils ont développé et qui se fixent sur les compteurs d'eau. Selon Loïc Charron, il va permettre de « relever à distance l'index de consommation, de modéliser l'écoulement de l'eau dans le réseau – actuellement 25% de l'eau en France n'arrive pas chez les particuliers – d'alerter par SMS ou mail le particulier en cas de fuite, de détecter d'éventuelles fraudes ou encore de transmettre des données sur la température pour éviter le gel d'un compteur, etc. » « Mettre en place notre système n'entraîne pas de surcoût pour la collectivité », assure Loïc Charron, « il s'agit juste d'un capteur qui transmet à distance des informations ». Et les ondes électromagnétiques émises seraient mille fois moins puissantes que celles d'un téléphone portable !
« La croissance de notre activité est plus forte que celle d'Internet »
L'optimisme est de rigueur dans cette jeune société qui travaille avec un opérateur national qui vient de lever 100 millions d'euros pour aménager le réseau (modules, antennes, gestion informatique). « On s'appuie aussi sur d'autres partenaires, fabricants de compteurs, écosystèmes français… », reprend Loïc Charron, « aujourd'hui, on déploie nos premières installations en France, au pays de Gex (banlieue de Genève, côté français), on répond à tous les appels d'offres, on se positionne ». Alors, pourquoi cette start-up s'est implantée à Roncq ? « Nos critères de sélection nous ont amenés ici », répond-il, « notre matériel est importé via le port d'Anvers et l'on souhaite s'attaquer au marché de l'Europe du Nord, le marché belge est d'ailleurs potentiellement important pour nous ». Et sur le CIT, locataires de Building International qui n'hésitera pas à les accompagner dans leur développement, Pierre Polier et Loïc Charron savent qu'ils ont tous les atouts : situés au bord de la Belgique le long de l'A22, mais aussi au coeur d'une métropole européenne, grand vivier de compétences, où le recrutement est aisé. « La croissance de notre activité est très importante, plus forte que celle d'Internet ». Dernièrement, « Smarteo Water » a donné naissance à un site-pilote près de Narbonne. Le développement ne fait que débuter ! « Smarteo Water », 4, av. de l'Europe dans le C.I.T., tél: 03 20 70 79 70, site : www.smarteo-water.com, mail :
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Le leader français du déménagement sur le CIT |
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Vendredi, 30 Janvier 2015 18:39 |
Depuis le 7 janvier dernier, Demeco, le leader français du déménagement, dispose d'une agence dans le Centre International de Transport, sur une parcelle de 6000 m2, en lieu et place de l'ancien négoce d'oeufs, non loin du centre de tri postal. Une implantation stratégique au coeur de la métropole lilloise pour développer des activités en France et dans l'Europe du Nord (Belgique, Angleterre, Allemagne). L'agence Demeco Grimonpont, auparavant sise à la Chapelle d'Armentières, réalise une moyenne de six déménagements par jour, soit 120 par mois. Deux chauffeurs viennent d'être embauchés et d'autres recrutements sont prévus d'ici l'été. Quinze camions offrant des volumes de 20 à 90 m3, 1600 m2 d'entrepôt sur 6,50 mètres de hauteur, 200 m2 de bureaux, et un terrain engazonné qui va vite être asphalté pour accueillir les véhicules. Un point de chute taillé sur mesure que Sébastien Berthelot, le directeur d'agence, n'avait pas réussi à dénicher ailleurs dans la métropole. C'est dire sa satisfaction, lui qui travaille désormais à Roncq avec 15 salariés en exploitation (chauffeurs, chefs d'équipe, déménageurs) et quatre administratifs. Deux autres agences Demeco sont installées dans la région, l'une à Lomme et l'autre à Calais. Si les particuliers constituent 70% de la clientèle et les entreprises les autres 30%, les habitudes de déménagement ont bien évolué ces dernières années. « Il y a une quinzaine d'années, on enregistrait beaucoup de déménagements de retraités vers la Côte d'Azur », témoigne Sébastien Berthelot, « aujourd'hui, les mêmes retraités déménagent pour retourner dans leur région d'origine ou pour se rapprocher d'un membre de leur famille, ils privilégient le confort de vie au soleil ».
Résider à Lille, travailler à Paris ou à Londres
A l'inverse, les déménagements vers la métropole lilloise sont essentiellement motivés par des mutations professionnelles. « On voit aussi beaucoup de gens travailler à Paris et résider à La Madeleine, à deux pas des gares pour emprunter le TGV au quotidien », explique le directeur de l'agence, « c'est un phénomène qui s'amplifie désormais avec Londres. » « A la Chapelle d'Armentières, on avait l'habitude de travailler sur le secteur de Tourcoing, Marcq, Bondues, Mouvaux, Linselles… ». Autre atout pour cette agence Demeco : la mise à disposition de près de 300 containers garde-meubles individuels de huit mètres cube chacun. « On est les seuls à acheminer jusqu'au domicile du client le container vide, à le remplir et à l'acheminer jusqu'à son point de stockage dans nos locaux », s'enthousiasme Sébastien Berthelot. Déménagements Demeco Grimonpont, 19, av. de l'Europe, Tél : 03 20 77 13 52 ou 06 09 79 95 41, Fax : 03 20 77 19 29, Mail :
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, Site : www.demeco.fr
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Chocmod : la carte du développement et de l'innovation |
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Vendredi, 30 Janvier 2015 12:55 |
La confiserie industrielle roncquoise décide de jouer la carte de l'investissement et de l'innovation. Après l'implantation en 2011 d'une unité de production de truffes chocolatées au Canada de 3000 m2, après la construction d'une extension de 4000 m2 sur le site roncquois, près du Bois Leurent, soutenue financièrement par la Métropole Européenne de Lille, c'est le temps du développement avec l'élaboration chaque année de nouveaux produits. Dernièrement, la pâte de truffe à tartiner produite dans l'unité industrielle implantée au Canada. Dans le même temps, l'entreprise a embauché huit CDI dans divers secteurs – conditionnement, commercial, qualité, recherche et développement – ce qui a permis d'augmenter les effectifs (43 salariés). Le nouveau bâtiment de 100 mètres de long sur 38 mètres de large et neuf mètres de hauteur, à température dirigée, est opérationnel depuis juin 2014. Doté de trois quais d'embarquement, il abrite du stockage géré de façon informatique, avant d'accueillir à terme des lignes de fabrication de nouveaux produits chocolatés et de confiserie. « C'est une réponse au besoin d'innovation indispensable à notre compétitivité, nous sommes toujours le leader mondial de la production de la truffe chocolatée, mais il faut sortir de nouveaux produits destinés à la grande distribution, aussi bien en France qu'à l'international (Etats-Unis, Europe, Asie) pour répondre aux nouveaux modes de consommation », souligne Sophie Niemczewski, Responsable des Ressources Humaines, « on a sorti récemment les « Clusters » à base de chocolat, noisettes et biscuit pour le grignotage, ou les « Fruity Mallow » associant fruit et guimauve et qui se vendent très bien ». Dernièrement, une délégation japonaise était à Roncq, composée de clients mais aussi de futurs clients venus découvrir le savoir-faire de la confiserie roncquoise. Aujourd'hui, la société Chocmod dont la création remonte à l'année 1948 (Chocolaterie Moderne) est capable de produire à Roncq où elle est implantée depuis 1995 à l'angle de l'av. de Flandre et de la rue de Lille, 11 000 tonnes annuelles de truffes, chocolats et autres guimauves et produits de confiserie. Petit événement au sein du personnel: le départ à la retraite d'Annie Criado après 43 ans de travail au sein de cette entreprise qu'elle a toujours appréciée ! (Ph. Th. Thorel) |
« DABE » sur Dronckaert II : le pari du web |
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Vendredi, 30 Janvier 2015 12:23 |
En avril 2014, une nouvelle jeune société créée en 2009 à Linselles s'est implantée dans le parc d'activités « Dronckaert II », non loin de Not'Car. Les deux gérants associés, David Cassaro et Bernard Lesperres, sont roncquois. Au départ, ils ont créé un site internet – devisimmediat.com - dédié à l'élaboration de devis dans le bâtiment, grâce à un logiciel élaboré par Pierre, un webmaster intégré dans l'équipe. « On a cherché à se développer et on a eu l'idée d'élaborer un site d'apprentissage du golf avec Joël Bernard, un golfeur professionnel », précise David Cassaro, « grâce à ce site moncoachdegolf.com on donne des cours de golf en ligne avec l'aide de vidéos tournées par nos soins ». Prochain site à être mis en ligne : moncoachdeselfdefense.com pour lequel des tournages ont été réalisés dernièrement à Roncq. Cette petite société fait beaucoup appel à des étudiants (IUT de Lille, IC-fac). « On a d'autres projets sur le même principe », annonce David Cassaro qui apprécie particulièrement son implantation à Roncq, au coeur d'une commune dynamique et à deux pas de l'A22 ! DABE, parc du Dronckaert II, Tél : 06 73 45 05 23 |
Manufactures Catry: la vidéo est en ligne |
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Jeudi, 29 Janvier 2015 16:50 |
Fabricant de moquette traditionnelle haut de gamme depuis 1912, Catry Tapis est une entreprise centenaire qui incarne l'excellence de l'artisanat national. Tapisseurs des palais républicains, des hôtels de prestige, les manufactures Catry occupent une niche qui en fait la dernière entreprise de fabrication textile roncquoise. Une vidéo de la dernière entreprise textile traditionnelle implantée à Roncq a été mise en ligne sur www.roncq.fr ou sur http://www.youtube.com/user/villeroncq Rue des frères Bonduel, la façade est des plus discrètes, pour ne pas dire anonyme. Qui pourrait d'ailleurs croire que les lés de moquette produits derrière les murs émoussés qui s'allongent jusqu'au bout de la rangée Delahousse recouvrent des escaliers plus prestigieux les uns que les autres, Sénat, Elysée, Assemblée Nationale, Académie Française, hôtels Crillon ou Bristol. Créés en 1912 par l'arrière grand-père de l'actuelle gérante, Caroline Catry, les Manufactures Catry retracent un siècle d'histoire, tissée au fil du Temps, à travers quatre générations au service d'un même métier et qui, à force de passion et de travail, ont su s'imposer comme le fleuron de la fabrication artisanale française de tapis et de moquette haut de gamme. Car les métiers à tisser de l'usine de Roncq produisent un travail artisanal reconnu, notamment par l'hôtellerie de luxe. La pérennité de cette « niche textile » repose sur les tapis d'escaliers réalisés à 80% en laine et à 20% en nylon polyamide, un produit pour lequel Catry a été pendant longtemps leader en France avec pas moins de sept dessins déclinés sur une palette de 38 coloris. Ces tapis réalisés sur une trentaine de métiers à tisser capables de sortir des lés oscillant de 70 cm à plus d'un mètre de largeur, voire jusqu'à deux mètres, représentent 60% de l'activité de l'entreprise, les autres 40% portant sur la fabrication de moquette et de produits décoratifs. Le catalogue Catry est riche de plus de 10 000 dessins dont les plus anciens datent du 18ème siècle! Catry se positionne comme un acteur de l'art de vivre et du confort à la française. La région parisienne concentre à elle seule 85% de la clientèle. (Ph. Thierry Thorel)
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« Soltech » : sécurité et domotique |
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Mardi, 27 Janvier 2015 19:24 |
Vasco Rijo, âgé de 34 ans, est arrivé à Roncq il y a deux ans après un parcours impressionnant qui l'a mené du Portugal, son pays d'origine, à divers pays africains. Avec une solide formation en électronique et en électricité, il a travaillé pour de grands groupes industriels (Volkswagen, Martini…) au Portugal avant d'installer des sites de production dans l'agro-alimentaire en Angola. C'est la rencontre de sa future épouse d'origine roncquoise, Cathy, qui va l'amener à quitter son pays pour le Nord de la France. Désormais installé rue de la Latte, il a pu compter sur elle (enseignante à l'EIC à Tourcoing après une formation dans le commerce international) pour perfectionner son apprentissage de la langue française et se mettre au diapason de la création d'entreprise. Il a aussi démarché divers organismes, Chambre des Métiers, de Commerce… avant de devenir auto-entrepreneur dans la domotique, l'électronique, la sécurité (alarmes, détecteurs de fumée, vidéosurveillance…) ou encore l'électricité. Son expérience – il avait déjà créé cette même activité près de Lisbonne – lui permet d'être en contact avec les plus grandes marques de matériel électronique et de sécurité. Autre atout : il peut travailler aussi bien dans la région qu'en Belgique ! Soltech solutions technologiques, www.soltechno.fr, Tél : 06 11 04 10 90 |
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