roncq en metropole
Audits énergétiques et environnementaux Imprimer Envoyer
Vendredi, 01 Août 2014 09:54
carte Vous avez un projet de rénovation? Vous souhaitez connaitre les solutions énergétiques les plus adaptées pour votre logement ? Faites réaliser un audit énergétique et environnemental de votre logement ! Pour 200€ TTC vous bénéficierez d'un audit énergétique et environnemental complet de votre logement ! En effet, pour l'année 2014, dans le cadre du Plan « 100 000 logements », Lille Métropole, en partenariat avec la Région Nord-Pas-de-Calais, participe au financement de 405 audits énergétiques et environnementaux, à hauteur de 80 % (soit environ 800€ TTC).

Quel intérêt pour vous ?
• Bénéficier d'un audit énergétique et environnemental complet de votre logement, réalisé par un auditeur expert
• Obtenir des préconisations de travaux hiérarchisés et chiffrés
• Bénéficier de conseils pratiques, techniques, financiers personnalisés.

Quelles conditions ?
• Etre propriétaire d'une maison individuelle datant d'avant 1989 et localisée sur l'une des 85 communes de Lille Métropole
• Avoir un projet à court terme d'amélioration thermique de votre logement (chauffage, isolation, énergies renouvelables, ventilation... )

Comment procéder ?
• Contactez votre mairie ou votre Espace Info énergie pour obtenir la liste des auditeurs

Plus d'infos ici
 
A la reconquête de soi dans une Maison Relais Imprimer Envoyer
Vendredi, 11 Juillet 2014 16:54
maisonrelais-vignette  A la mi-novembre, les premiers occupants vont prendre possession de la Maison Relais érigée rue du Dronckaert et gérée par l'association lilloise Martine-Bernard. Cette structure de 15 studios pour 16 places, dotée d'un bureau éducatif, a pour objectif de loger des personnes autonomes de plus de 40 ans en voie de reconstruction, personnelle et professionnelle, l'âge moyen étant de 50 ans.
Tout sera mis en oeuvre pour développer la vie collective auprès des trajectoires individuelles. Ce sera l'une des missions de Juliette Leweurs, responsable de cette Maison Relais après avoir dirigé celle de Marcq-en-Baroeul et par ailleurs assistante sociale. « Elle prendra en charge l'accompagnement individuel et collectif, la coordination des partenariats et la gestion logistique de la structure », souligne Denis Parmentier, chef de service éducatif au sein de l'association, « l'idée étant d'insuffler une dynamique du « bien vivre ensemble » avec des prises régulières de repas en commun, des sorties ensemble, et d'autres projets fédérateurs comme l'aménagement d'un jardin, la réalisation d'un terrain de pétanque par exemple…».  
Dans cette démarche de reconquête de soi dans une dynamique collective, tous les partenaires extérieurs sont sollicités et coordonnés, à l'instar du CCAS de Roncq. Certains projets comme le repas et la fête de Noël seront mutualisés et associeront les six Maisons Relais gérées par l'association, à Wasquehal, Haubourdin, Marcq-en-Baroeul, Nieppe, Ebblinghem (près d'Hazebrouck) et Roncq.
Le taux annuel de rotation au sein de ces Maisons Relais est d'environ 11%. « C'est du logement autonome, pas de l'hébergement », ajoute Denis Parmentier, « nous assurons par ailleurs une gestion locative sociale favorisant la prévention de l'impayé de redevance ». La Maison Relais s'ouvrira progressivement à ses occupants à partir de la mi-novembre jusqu'en fin d'année. Une astreinte sera assurée 24h/24, « il y aura toujours un interlocuteur faisant partie d'une équipe expérimentée », précise Denis Parmentier. Rue du Dronckaert, ce projet d'ouverture s'inscrit dans un environnement de mixité sociale avec la proximité de la nouvelle résidence « Les carrés verts » et d'un quartier historique.
 
Parc d’activités Pierre-Mauroy : une voie de desserte en fin d’année Imprimer Envoyer
Jeudi, 03 Juillet 2014 17:07
valorparc-vrd-vignette  L'entreprise Colas a entrepris depuis un mois les travaux de VRD (Voiries, Assainissement et Réseaux divers) du futur parc d'activités Pierre-Mauroy. Une voirie primaire de desserte sera achevée en fin d'année, comme l'annonce Corentin Le Toullec, porteur du projet à la SEM de la Ville Renouvelée. Building International démarrera la construction de ses bâtiments début 2015. Actuellement, s'achève l'élagage d'un certain nombre d'arbres le long de la drève (le bois coupé sera valorisé) qui relie la rue de Lille au Bd de l'Eurométropole, pour permettre l'aménagement de la voirie primaire. En septembre, les anciens bâtiments Grimonprez seront démolis tout comme le blockhaus qui trône au coeur de la future zone.    
Builiding International va pouvoir implanter ses bâtiments sur une superficie de 28 569 m2 (environ 13 000 m2 de surface plancher) dès début 2015. Les travaux de VRD engagés depuis un mois vont s'étaler sur environ huit mois, le temps de réaliser cette première voirie de desserte qui va relier la rue de Lille au Bd de l'Eurométropole pour permettre l'implantation des premières entreprises.
En septembre, se déroulera la démolition des anciens bâtiments Grimonprez et du blockhaus. La drève deviendra piétonne depuis la rue de Lille jusqu'au futur croisement avec la voie de desserte et les arbres seront préservés sur cette partie-là, en limite avec le futur espace boisé de plusieurs hectares qui deviendra public.

Une phase conditionnelle d'aménagement est prévue

Sur le terrain, se dessine déjà le tracé de la future voie de desserte au bord de laquelle seront aménagées des noues (fossés) avec les terres végétales du site actuellement stockées sous forme de monticules. « L'objectif est de faire en sorte que l'espace public structure le futur parc d'activités, que ce soit propre et agréable visuellement », souligne Corentin Le Toullec. Une phase conditionnelle d'aménagement est même prévue si la commercialisation de ce parc le nécessite.   
Cette fois, face au CVE, on entre de plain pied dans la réalisation de ce premier parc d'activités du 21ème siècle de la métropole lilloise. Initié par LMCU, ce parc tertiaire à haute performance environnementale sera à la fois durable, attractif, innovant et ambitieux sur 12 hectares.
 
Huit collégiens prennent leur envol ! Imprimer Envoyer
Mardi, 24 Juin 2014 15:45
simulateur-vignette  En cette fin d'année scolaire, il y a des résultats qui ne trompent pas sur la qualité de l'enseignement prodigué et le travail des élèves. Au collège Eluard, neuf élèves de 4ème et de 3ème ont passé fin mai leur Brevet d'Initiation Aéronautique, une formation dispensée par l'établissement depuis plusieurs années déjà. Huit d'entre eux l'ont obtenu dont un avec mention Très Bien et deux avec une mention Assez Bien. De quoi faire décoller des vocations vers des carrières prometteuses !
La classe de Denis Carnier a des allures de labo de physique-chimie et d'ailleurs c'en est un. Mais à l'arrière, dans une autre pièce, deux simulateurs de vol trahissent une toute autre formation. L'un, plus sommaire, est en place depuis plusieurs années. L'autre, plus élaboré, doté d'un « manche », de pédales, de commandes et d'un écran informatique, est opérationnel depuis quelques mois. « Ils ont pu travailler durant l'année sur ces simulateurs », souligne Denis Carnier, l'enseignant de physique-chimie, qui a assuré leur formation à raison de deux heures hebdomadaires. Météo, histoire de l'aviation, aérodynamique, mécanique du vol, navigation et sécurité, connaissance des aéronefs étaient au programme comme une visite du musée du Bourget grâce à l'aide des parents d'élèves.
Ces élèves qui ont passé leur BIA au lycée Gustave-Eiffel d'Armentières ont également volé sur des Robin R-400, des avions de l'UALRT, l'Union Aérienne de Lille-Roubaix-Tourcoing basée sur l'aérodrome de Bondues. Ils ont même pris les commandes de ces appareils en vol pendant environ une heure, en deux fois. Pour ces élèves, c'était la première fois qu'ils montaient dans un  avion. « On était un peu stressé au début, au moment du décollage, et puis ça s'est très bien passé, on avait tellement envie de voler ! »
Pour Victor Di Bartolo qui a obtenu la mention Très Bien, sa motivation a progressé au fil des cours. « Faire carrière dans l'aviation, cela peut être une possibilité mais pas un objectif pour le moment », confie-t-il.
Prochainement, ces élèves pourraient découvrir le vol à voile, plus complexe et plus impressionnant. Avant peut-être de voler vers d'autres horizons !
 
La collecte des Déchets Ménagers Spéciaux se poursuit Imprimer Envoyer
Lundi, 23 Juin 2014 10:37
DMS-vignette  Depuis le 1er janvier 2012, a cessé la collecte des encombrants qui est dorénavant organisée sur rendez-vous. En revanche, la collecte des Déchets Ménagers Spéciaux se poursuit en différents points de la commune. Une camionnette stationne régulièrement place Jean-Jaurès, aux abords de la salle Catry, au complexe sportif Joël-Bats ou encore au parking de la gare pour recueillir les produits dangereux pour la santé et l'environnement : acides (chlorhydrique, sulfurique, décapants, détartrants…), bases (soude, ammoniaque, détergents,  eau de javel…), solvants liquides (diluants, détachants…), aérosols, phytosanitaires (pesticides, fongicides…), produits pâteux (peintures, colles…), huiles et graisses végétales, huiles moteurs et hydrauliques, médicaments, radios, déchets de soins conditionnées en boites réglementaires (seringues, aiguilles). (Ph. Th. Thorel)
Les horaires et les jours de points de stationnement de la camionnette de collecte des DMS d'Esterra sont régulièrement annoncés dans l'agenda de la Ville de Roncq, en page d'accueil du site www.roncq.fr
 
CIT : la micro-crèche est ouverte Imprimer Envoyer
Mercredi, 11 Juin 2014 12:09
  C'était devenu un serpent de mer. L'implantation d'une crèche sur le CIT a suscité nombre de projets (Baby loup, Crèche And Do…) avortés mais c'est finalement un décret du 7 juin 2010 qui va autoriser l'ouverture de micro-crèches d'une capacité maximale de dix berceaux afin d'améliorer l'offre d'accueil collective et adaptée des enfants de deux mois et demi à trois ans. Céline Ostyn, une Roncquoise de 26 ans, a ouvert dès novembre 2011 une micro-crèche dans le parc d'activités des Wattines à Linselles qui a très vite trouvé son public avec l'aval du Conseil général, de la PMI et de la CAF. Elle vient d'ouvrir, ce 11 juin, une seconde micro-crèche sur le CIT, dans les immeubles du Mont, au 53 av. de l'Europe.
La micro-crèche « Histoires d'enfants » qui vient d'ouvrir sur le Centre International de Transport est plus vaste que celle de Linselles d'environ une dizaine de mètres carrés. L'aménagement d'un local de 140 m2, doté de deux dortoirs, d'un espace de jeux, d'une salle de change, d'une cuisine, d'une salle pour prendre les repas et partager des activités, d'un bureau, a été particulièrement réussi. Le lieu est serein et situé à deux pas du Bd de l'Eurométropole et de l'A22. Il n'en faut pas plus pour que les premiers enfants inscrits sont issus de Roncq, Halluin, Villeneuve d'Ascq, Wasquehal…
Dix enfants âgés de 0 à trois ans peuvent être accueillis et sont encadrés par une auxiliaire et une aide-auxiliaire en puériculture, une assistante maternelle et une éducatrice, sans oublier Céline Ostyn, la responsable. « On se situe entre l'assistante maternelle et les crèches familiales », souligne-t-elle.
A ce projet indépendant de la Ville, viennent se greffer des valeurs développées par Céline Ostyn : « la micro-crèche doit être un lieu d'accueil favorisant le développement psychomoteur et la socialisation par le développement de jeux libres, d'activités dirigées, d'activités manuelles… L'objectif est de favoriser les découvertes, l'ouverture au monde. Des sorties sont proposées aux enfants et les livres y occupent une place privilégiée ». L'autre maître-mot, c'est la confiance : « l'équipe ne doit pas se substituer aux parents, une relation de confiance doit s'installer ».
Micro-crèche « Histoires d'enfants », du lundi au vendredi, accueil de 7h30 à 9h30, départ des enfants entre 16h et 18h30, Immeuble du Mont A sur le CIT. Tél : 03 61 97 63 62, site : www.histoires-d-enfants.com, mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
 
Dominique Dalle, coach de l’entrepreneuriat des jeunes Imprimer Envoyer
Mercredi, 28 Mai 2014 09:43
  Linselloise d'origine, Dominique Dalle vit deux passions qui ont pris racine dans son enfance, la musique et l'entreprise. Depuis huit ans, elle dirige l'antenne régionale de l'association « Entreprendre pour apprendre » et, à ce titre, sensibilise chaque année 6500 jeunes à l'entrepreneuriat. Le retard est en effet colossal en France par rapport à nos voisins européens : son association ne sensibilise à la création d'entreprise qu'à peine 1% des 800 000 jeunes ciblés quand, aux Pays-Bas ou en Suède, ce quota atteint les 60% !
Son large et généreux sourire est à l'image de l'enthousiasme qui l'anime. A Roncq, Dominique Dalle est surtout connue pour son attachement viscéral à la musique. « J'ai intégré l'Ecole de Musique quasiment à son origine, dans les années 1982-83, j'ai suivi mes premiers cours de solfège à l'école Brel », se souvient-elle, « j'ai démarré à la flûte à bec avec Francis Billet, avant de choisir le piano. Mes parents voulaient à l'époque que je joue de l'orgue ! »
Parallèlement à l'apprentissage de la musique, Dominique Dalle a fait toute sa scolarité à l'école Jules-Vallès, puis au collège Eluard. Après le piano, elle a suivi des cours de jazz et les pratiques musicales collectives l'ont amenée à jouer du saxo. Elle a également rallié la Philharmonie où elle a endossé le poste de vice-présidente.
C'est aussi dans son enfance, auprès d'un papa expert-comptable, qu'elle a appris à vivre au rythme de l'entreprise. « C'est au moment de remplir les déclarations d'impôts qu'il y avait le plus d'entrepreneurs dans la maison », se rappelle-t-elle, « ces gens-là nous ont transmis la passion de l'entreprise ».
Son parcours s'inscrira dans cette approche de l'entreprise : DEA de macro-économie européenne en 1999, expériences professionnelles à la faculté de Valenciennes puis au siège social de la BGE (Boutique Gestion Espace), à Villeneuve d'Ascq. « C'est à ce moment-là, de 2000 à 2006, que j'ai découvert que 80% des demandeurs d'emploi veulent créer leur entreprise parce qu'ils sont sans activité », témoigne-t-elle.

Un langage commun entre l'enseignant et l'entreprise

A la naissance de son premier enfant, elle accepte de diriger l'antenne régionale de l'association « Entreprendre pour apprendre » présidée par Amaury Flotat. La tâche s'annonçait gigantesque quand, à l'époque, seulement 150 jeunes étaient accompagnés par l'antenne régionale de l'association à l'entrepreneuriat. Convaincue des trésors cachés en chaque être humain dont cette capacité à entreprendre, elle met en oeuvre avec son équipe une sensibilisation à l'entrepreneuriat dont l'impact va exploser en huit ans, grâce « à la bonne capacité d'écoute et d'analyse des membres de l'association ». « La vraie difficulté a été de faire naître une prise de conscience en même temps qu'un langage commun entre l'enseignant et l'entreprise, il fallait que ces acteurs partagent les mêmes convictions en matière d'insertion socio-professionnelle et d'apprentissage », assure Dominique Dalle.
Dès lors, l'association parvient à faire intégrer la création d'entreprise dans les projets pédagogiques des établissements scolaires. Dernièrement, lors du « Festival de l'initiative », concours national de création d'entreprise organisé par « Entreprendre pour apprendre », des collégiens de 13-15 ans de Saint-Thomas à Roncq se sont fait remarquer avec le projet « Bulle 2 gourmandises » qui a vu éclore la création de savons bio en forme de pâtisseries. A l'arrivée, ces collégiens ont réussi à dégager en fin d'année près de 500 euros de chiffre d'affaires, à se familiariser avec l'invention d'un produit, les études de marché, les charges fixes et variables, les délais de paiement… « On remarque que les taux de réussite dans les établissements où l'on a inscrit l'entrepreneuriat dans le projet pédagogique sont plus élevés les années suivantes », affirme Dominique Dalle, « créer une mini-entreprise est une belle manière de mieux se connaître, un révélateur pour construite un parcours de formation ».
Les finales nationales de ce concours se dérouleront les 4 et 5 juin à Paris. Quatre établissements du Nord y participeront dont le collège bilingue Jeannine Manuel de Marcq-en-Baroeul (création d'un stick de beurre pour beurrer rapidement et efficacement ses tartines). Ce rendez-vous est l'un des points d'orgue de cette démarche de sensibilisation. Parmi les objectifs de Dominique Dalle, il y a celui de voir l'entrepreneuriat se développer dans le cadre des nouveaux rythmes scolaires. « Des animateurs pourraient sensibiliser les jeunes à la création d'entreprise, il y a tout un travail à mener dans les écoles pour inscrire cette démarche au coeur des activités périscolaires ». (Ph. Th. Thorel)   
 
Parc Pierre-Mauroy : la fibre optique avant les VRD Imprimer Envoyer
Lundi, 26 Mai 2014 15:18
  L'entreprise Colas entreprendra le 3 juin prochain les travaux de VRD (Voiries, Assainissement et Réseaux divers) du futur parc d'activités Pierre-Mauroy. Pour l'heure, la société arrageoise AFDEM, spécialisée dans la fibre optique, est en train de déployer 200 mètres de fibre le long de la drève, entre le Bd de L'Eurométropole et la rue de Lille. 
Builiding International va pouvoir implanter ses bâtiments sur une superficie de 28 569 m2 (environ 13 000 m2 de surface plancher) dès 2015. Des travaux préparatoires ont déjà eu lieu, à commencer par les branchements d'assainissement. Actuellement, la société AFDEM procède à la pose de fibre optique, une opération qui se terminera en fin de semaine pour céder la place à la société Colas le 3 juin afin de démarrer les VRD.
Ces travaux de VRD vont s'étaler sur environ huit mois, le temps de réaliser cette première voirie qui va relier la rue de Lille au Bd de l'Eurométropole pour permettre l'implantation des premières entreprises.
En juillet, se déroulera la démolition des anciens bâtiments Grimonprez. Cette fois, face au CVE, on entre de plain pied dans la réalisation de ce premier parc d'activités du 21ème siècle de la métropole lilloise. Initié par LMCU, ce parc tertiaire à haute performance environnementale sera à la fois durable, attractif, innovant et ambitieux sur 12 hectares.
 
Restauration scolaire mutualisée avec Tourcoing dès septembre Imprimer Envoyer
Lundi, 26 Mai 2014 11:44
  Découvrir la cuisine centrale de Tourcoing, c'est entrer dans un temple moderne et performant de préparation des repas. Tout a été pensé et adapté pour que le personnel travaille dans les meilleures conditions, dans des espaces lumineux, généreux et respectueux de la marche en avant, afin qu'ils répondent à une exigence de sécurité, de qualité et d'équilibre alimentaire. Cette cuisine sera mutualisée avec Roncq dès le 2 septembre et préparera non plus 4500 repas quotidiens mais 6000.
Dans les couloirs immaculés, réfrigérés en certains endroits, l'obsession de l'hygiène est permanente. Le personnel est équipé de combinaisons ad hoc et de masques, les locaux répondent à un code couleurs pour sectoriser sans faille ceux destinés au circuit court ou au circuit long, pour scinder les espaces de préparation chaude des locaux de préparation froide.
Opérationnelle depuis septembre 2012, la cuisine Brossolette est dotée d'un matériel à la pointe : marmites et poly-sauteuses programmables, plaques de cuisson à feu vif, fours multifonction programmables à commandes tactiles, conditionneuse en ligne automatique à la sortie de la zone chaude, cellules de refroidissement, chambre froide d'allotissement…
Tous les repas sont pesés et mesurés selon les recommandations du GEMRCN - Groupement d'Etude des Marchés en Restauration Collective et Nutrition - pour répondre à la règle édictée de l'équilibre alimentaire des enfants. Suivre Benoît Van Batten et Arnaud Vanneste, respectivement responsables des services de restauration et de production, c'est accompagner un métronome dans cet univers qui délivre des repas sans fausse note.
Reportage: texte, Patrick Bonte, photos, Thierry Thorel

 


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