La finale du tournoi Martel à la bourloire Saint-Louis |
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Dimanche, 26 Janvier 2014 02:00 |
Le 26 janvier, s'est déroulée à la bourloire Saint-Louis de Roncq la finale du tournoi Martel qui a opposé l'équipe du cercle Sacré-Coeur contre celle des « Copains de la bourle », du cercle Saint-Christophe à Tourcoing. La fédération des sociétés de bourle fondée en 1933 comptait à l'époque plus de 100 sociétés. Il reste aujourd'hui 15 bourloires essaimées à Tourcoing, Neuville, Roncq, Halluin et Mouvaux.Le tournoi intercommunal Martel se déroule chaque année et s'est choisi ce nom au décès du fondateur. Auparavant, il s'appelait le tournoi des A.C.P.G. (Anciens Combattants et Prisonniers de Guerre). Cette finale du tournoi Martel a été l'occasion pour la bourloire de montrer combien ce sport perpétue une tradition vivace, très liée autrefois à l'activité textile. On retiendra aussi la victoire des "Copains de la bourle" ! (Ph. Th. Thorel) |
Un label national décerné à l’ESR Foot |
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Samedi, 25 Janvier 2014 02:00 |
Pour la 3ème fois consécutive, le District Flandre de la Ligue du Nord de la Fédération Française de Football a remis le 25 janvier au stade Joël-Bats un label fédéral à l'Etoile Sportive Roncquoise (parmi les 33 attribués) pour l'amélioration du fonctionnement de son école de foot, ses qualités d'accueil, d'encadrement, d'éducation et d'enseignement, sa participation à la fidélisation des effectifs – en hausse de 9% avec 472 licenciés contre 414 l'année précédente – la valorisation de ses éducateurs et dirigeants, la promotion de l'esprit sportif, du fair-play et le respect des lois du jeu. C'est dire si ce label national honore le club roncquois dont l'école fédère pas moins de 139 enfants des catégories U6 à U11 et 193 enfants en intégrant les catégories U12 et U13. Cette reconnaissance de qualité s'adresse à ses dirigeants d'hier et d'aujourd'hui, d'Ernest Ritaine, Jean-Pierre Maillet à Jean-Marie Absin, l'actuel président, en passant par tous les éducateurs, Thierry François, Olivier Keignaert, les responsables de l'école de foot, et tous les autres. « Ce label représente une valeur inimaginable, il vient de la Nation », a souligné Marcel Dehoo, membre du comité directeur de la Ligue du Nord et président de l'OS Fives, « il faut s'occuper des enfants et les occuper, c'est cela l'essentiel ».
Jusqu'en juin 2015
Mickaël Foor, du conseil de district en foot d'animation, a remis des ballons, des chasubles, des tee-shirts au club roncquois en rappelant que l'ESR Foot a respecté tous les critères fixés par le District pour l'obtention de ce label et ce depuis juin 2013 jusqu'à juin 2015, date à laquelle le label sera remis en question. Pour Vincent Ledoux, entouré de Rodrigue Desmet, son premier adjoint, et Antonio Da Silva, adjoint aux sports, « le sport doit être pratiqué par toutes les générations dans un souci de bien-être ». Saluant Ernest Ritaine, l'ancien président, Jean-Marie Absin et tous les éducateurs de l'ESR Foot, le Maire a également lancé un appel à la mobilisation des parents autour du sport pour leurs enfants : « l'objectif de l'AMIS, c'est de faire en sorte que le jeune connaisse mieux le sport qu'il a choisi, de faire en sorte qu'il y ait un dialogue entre les enfants, les parents et les éducateurs sportifs ». Et d'encourager la pratique du sport à Roncq ! (Ph. Th. Torel) |
Frédéric Persoon incarne l’amour du foot |
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Vendredi, 17 Janvier 2014 02:00 |
Agé de 44 ans, ce natif de Roncq a fait ses gammes footballistiques dans son quartier des Chats-Huants quand, enfant, il jouait avec des copains avant de rejoindre l'ESR Foot. Puis, son parcours exemplaire lui a permis de côtoyer des joueurs d'exception, Bernard Lama, Abedi Pelé, Jocelyn Angloma… Entraîneur du SC Hazebrouck depuis octobre 2013, il n'a jamais oublié ses racines roncquoises où ses parents lui ont transmis des valeurs humaines essentielles. Il y a le discours, cadré, exigeant, franc, tissé d'objectifs - « il faut aller chercher les capacités enfouies chez chaque joueur » - et il y a l'homme, furieusement humain, qui entretient des liens très forts avec les autres. Le football lui a tout donné dans son existence - autant de références sportives qu'humaines - il a même guidé sa vie : sept années passées au LOSC dont cinq au sein du centre de formation (apprenti et stagiaire pro comme aujourd'hui Corentin Halucha) qu'il a quitté à l'âge de 18 ans, quatre ans au SCO Roubaix où il a joué en National, 11 ans à l'ES Wasquehal où il a vécu l'incroyable montée en Ligue 2 et signé un contrat pro à l'âge de 28 ans. Enfin13 ans à l'US Dunkerque où il a étrenné pendant une décennie ses galons d'entraîneur-adjoint et participé à la montée de l'équipe première en CFA, un an et trois mois à Saint-Amand où il a vécu une année intense comme entraîneur à part entière. Depuis plusieurs mois au SC Hazebroucq, il tente de relever un autre challenge, à savoir la reconstruction d'un club qui évolue actuellement en DHR. Au-delà d'un parcours et d'un palmarès plus que respectables, il reste un homme armé de fortes convictions et d'une droiture à toute épreuve. Il se nourrit toujours de souvenirs indéfectibles, la victoire de Wasquehal où il jouait en défense centrale face à Lens 3 buts à 0 alors que les Artésiens sortaient de coupe d'Europe mais aussi la victoire de Dunkerque face à Montpellier en 2009 quand les Héraultais fêtaient leur accession en Ligue 1, le match au stade Geoffroy Guichard de Saint-Etienne…
« J'ai besoin d'un projet sportif humain »
Educateur dans l'âme, il a passé ses diplômes d'entraîneur avec d'autres joueurs d'exception soucieux de prolonger leur carrière de joueur, toujours au bord des terrains : Laurent Blanc, Alain Boghossian, Lionel Charbonnier… « Je suis ambitieux, j'ai envie de devenir un entraîneur de haut niveau, je dois pour cela encore passer d'autres diplômes », reconnaît-il, sachant que le premier objectif est d'abord la remontée de son club, le SC Hazebrouck. Son discours est truffé de récurrences, à commencer par la valeur du travail. « On n'a rien sans mal », se plaît-il à répéter, « il ne faut jamais rien lâcher, on apprend toujours de ses échecs, il faut essayer de rebondir en permanence ». Il est à la fois droit dans ses bottes et sensible : « je pense avoir laissé un bon souvenir dans les clubs où je suis passé, j'ai besoin d'un projet sportif humain qui me nourrit ». A la fois humble et honnête avec ses joueurs avec qui il entretient des liens quasi-filiaux, il exprime inlassablement son envie de transmettre ses convictions. Admiratif de Michel Platini « qui savait tout faire avec un ballon », heureux de la qualité de jeu apportée par un PSG même s'il comprend les critiques à l'égard du foot business - « je me sers de cette qualité de jeu en tant qu'entraîneur » - Frédéric Persoon témoigne aujourd'hui de ce parcours qui lui a souri : « mes parents m'ont inculqué des valeurs solides, j'ai joué dans les meilleurs clubs régionaux, Lille, Roubaix, Wasquehal, Dunkerque, auprès de joueurs exceptionnels, que demander de plus ? » |
Corentin, un Roncquois chez les «pros» du LOSC |
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Jeudi, 16 Janvier 2014 11:32 |
Face à Amiens, en 32èmes de finale de la Coupe de France, le 5 janvier dernier, Corentin Halucha a vécu un rêve éveillé. Durant un quart d'heure, en fin de rencontre, le jeune latéral droit a joué auprès de David Rozenhal et autres cadors du LOSC. « Mince, qu'est-ce que je fais là ? », s'est-il étonné lui-même. Forgé d'un mental d'acier et d'une force de caractère exemplaire, le jeune Roncquois de 18 ans garde néanmoins les pieds sur terre. Lucide et mature, il analyse très vite la situation : « sur le terrain, vous pensez plus à l'adversaire qu'à vos partenaires, si prestigieux soient-ils. Il n'y a pas vraiment de pression, c'est dans le vestiaire qu'on prend la mesure des retombées médiatiques. » Même s'il a profité d'une opportunité - la blessure au Parc des princes de Franck Béria durant la rencontre PSG-LOSC - Corentin n'a pas été appelé par hasard par René Girard, le coach de l'équipe qui crée la surprise en Ligue 1. Son parcours sans faute est jalonné d'envie, d'efforts, de pugnacité, de sacrifices et animé d'une hygiène de vie irréprochable. Corentin est porté par des valeurs de respect, d'humilité, de discipline et de travail inculquées par ses parents eux-mêmes sportifs dans l'âme. Pas question de s'enflammer, simplement de travailler pour donner le meilleur de lui-même en s'inspirant de joueurs-modèles, Mathieu Debuchy, Lucas Digne, voire de Yohann Cabaye dont les parents résident eux aussi à Roncq. Son père Olivier a été footballeur à Roubaix et à Tourcoing et a intégré pendant quatre ans le centre de formation du RC Lens où il a failli devenir professionnel. Anne, sa maman, a été championne départementale en athlétisme, sur 100 et 200 mètres, à l'UST. Aujourd'hui, Corentin fait la fierté de ses parents comme de ses deux frères, Baptiste et Adrien qui évoluent au sein de l'Etoile Sportive Roncquoise, respectivement en U15 et en U16. Tout a commencé à l'âge de quatre ans quand il frappe déjà dans le ballon sous l'oeil exercé de son papa, alors responsable des débutants au Tourcoing Football Club. Trois ans plus tard, Michel Vandamme et Francis Dubreucq, émissaires éminents du LOSC, détectent ses qualités, notamment sa vitesse et sa lecture du jeu. « A ce moment-là, je ne voulais pas rejoindre le LOSC parce que je ne voulais pas quitter mes copains ! » se souvient-il.
« Ne pas brûler les étapes »
Il ne regrettera pourtant pas son choix et il va devenir un pur produit du centre de formation du LOSC. « En grandissant, je me suis rendu compte que le LOSC est un grand club où l'on travaille dans les meilleures conditions, où l'on fait du sur-mesure », reprend-il. Mais ses parents lui rappellent son premier devoir : il doit d'abord passer son Bac. En section sport-études, il enchaîne les entraînements après les cours, d'abord au collège Lavoisier de Lambersart puis au lycée Jean Perrin de La Madeleine. Il glane un titre de champion de France sport-études alors qu'il est en Première et obtient son bac STG en juin dernier. Dans le même temps, il a joué à tous les niveaux au LOSC, d'U9 à U19. Mais en mai dernier, il se fracture une vertèbre dorsale, une blessure qui va l'éloigner des terrains pendant quatre mois. « Il compense son petit gabarit (1,71 mètre) par un travail acharné, il a transformé ce que d'autres considèrent comme un handicap en force mentale », reconnaît son papa. Sa carrière de footballeur prend un tournant sous la forme d'un cadeau de Noël. « Il était en vacances en décembre dernier quand, Rachid Chihab, le directeur du centre de formation du LOSC l'appelle pour le tester », se rappelle sa maman, « et cela a été le grand saut, il est passé du centre de formation et de l'équipe U19 entraînée par Stéphane Dumont au groupe pro, sans passer par l'équipe CFA qu'il a depuis intégrée ». Si ses frères savent que c'est mérité, Corentin sait qu'il doit encore beaucoup travailler pour espérer jouer avec l'équipe pro en Ligue 1. « Il ne faut pas brûler les étapes », souligne Olivier Halucha, « il est très bien encadré, le LOSC est vraiment à notre écoute, il est trop tôt pour signer un contrat professionnel, pour l'instant c'est un stagiaire au sein de l'équipe pro, il faut préserver cet équilibre ». Depuis les minutes partagées avec les professionnels du LOSC sur la pelouse d'Amiens, les médias sont plus présents, les commerçants roncquois lui parlent de sa prestation. Mais Corentin sait que rien n'est jamais acquis. Il accompagne ses frères à l'ESR Foot où il va voir jouer les jeunes avant de retourner le soir au centre de formation de Luchin, il n'oublie jamais ses racines. « Mon ambition est de gagner des titres, de préférence avec mon club formateur, c'est ce qu'il y a de plus beau ! » |
Disparition d’une figure de l’ULJAP |
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Jeudi, 02 Janvier 2014 11:43 |

C'est avec une très grande tristesse que l'ULJAP a appris, fin 2013, le décès bien trop précoce d'Olivier Carion, membre de l'ULJAP depuis deux saisons, et qui représentait brillamment le club dans sa section handisport (classe 6). Ceux qui l'ont vu jouer ont sans doute été impressionnés par sa technique si particulière. Né dans l'Avesnois, c'est à la pré-adolescence qu'Olivier Carion avait découvert le tennis de table. Il avait arrêté ses études pour se consacrer à sa passion. Champion de France individuel en 2007 et en 2008, champion de France par équipe en 2010, il figurait encore sur le podium en 2011 et en 2012. Après Lys-lez-Lannoy, c'est à Roncq qu'il avait poursuivi son parcours sportif. Il avait également remporté les internationaux en Argentine et au Brésil, là où se dérouleront les jeux paralympiques d'été en 2016. Ses funérailles ont été célébrées le 27 décembre 2013 à Glageon, dans l'Avesnois. |
La belle santé du Judo Club ! |
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Lundi, 30 Décembre 2013 10:32 |
 
Le dernier entraînement de l'année 2013, plus ludique qu'à l'ordinaire, a permis de rassembler tous les licenciés du Judo Club, petits et grands, sur le tatami trop petit pour accueillir les 70 élèves présents. Le club vit bien dans ses nouvelles installations du Centre Technique Municipal, qu'il occupe maintenant depuis plus d'un an. Il comptabilise plus de 100 licenciés dont une soixantaine s'est déjà illustrée cette saison à l'occasion de différents tournois. Les premiers résultats engrangés cet automne sont prometteurs! Chez les poussins, Martine Weiss, Capucine Baudin et Justin Decrock ont remporté leur district, Elise Delage s'y est classée 2ème et a remporté deux tournois amicaux ! En benjamins, Nahël Kherzane s'est classé 3ème des districts et a fini 5ème du tournoi régional de Leers, alors que son partenaire d'entraînement Emilien Declercq s'est hissé en finale à Leers! Chez les minimes, Tristan Maroille a été finaliste à Leers ainsi qu'au district, et Dimitri Vanryssel s'est classé 3ème du district et surtout 1er au championnat académique UGSEL où il représentera le club et le collège Saint Thomas au Championnat de France! Enfin, chez les juniors, Faustine Dublancq s'est classée 5ème du Championnat du Nord, et se qualifie pour les demi-finales du Championnat de France alors qu'elle n'est encore que cadette! Toutes ces performances augurent de bons résultats pour la suite de la saison pour les plus jeunes, et devraient permettre au club roncquois de comptabiliser quelques ceintures noires supplémentaires en son sein, d'ici le mois de juin prochain. |
Noël au tennis : des échanges nocturnes ! |
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Lundi, 16 Décembre 2013 12:33 |
 
S'il fallait décerner un prix de l'originalité aux diverses fêtes de Noël organisées actuellement dans la commune, nul doute qu'il serait attribué au Tennis Club de Roncq. Le 13 décembre, à partir de 17h et jusqu'à 22h - d'abord une soixantaine de jeunes avant que les adultes ne se prêtent à cette expérience inédite - le club avait en effet organisé des échanges de balles en nocturne, sans le moindre éclairage. Autant dire qu'on ne voyait que les balles fluorescentes ainsi que quelques bandes réfléchissantes. Une expérience qui vaut celle du parcours dans le noir mis en place aux Chiens Guides d'Aveugles !
Autant dire que cela relevait de la gageure pour assurer les photos d'un tel événement mais grâce à la complicité d'un photographe averti, nous pouvons vous adresser des clichés étonnants ! |
La ronde de Noël de l’USR Cyclo a fait des adeptes ! |
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Vendredi, 13 Décembre 2013 19:22 |
   
Le 8 décembre, dès potron minet, l'USR Cyclo avait joué les pères Noël en organisant une marche à la gloire du bon personnage débonnaire ainsi qu'un circuit VTT. Vin chaud, soupe au potiron et bonne humeur étaient au programme ainsi que l'affluence, plus importante qu'en 2012 ! |
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