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« BOA » et « SPI » : filiales d’une holding à la progression spectaculaire |
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Mercredi, 19 Février 2020 18:27 |
 Il y a à peine 20 vingt ans, Patrick Soler créait sa société d'édition de logiciels « SP informatique » à Actival. Puis en 2008, les quelques salariés de l'époque - quatre à la création - ont traversé la rue de Lille pour rallier la pépinière Leurent. L'entreprise « SP informatique » est alors devenue « BOA » comme « Bureautique Office Aménagement ». Toute l'hyper-croissance à trois chiffres de cette société réside dans une extraordinaire complémentarité liée à des opportunités et à des demandes : entre le matériel informatique et le mobilier adapté aux ordinateurs, il n'y avait en effet qu'un pas à franchir. Puis est venu le temps de l'agencement des espaces dédiés, puis celui du service informatique (logiciels sur mesure, audit et conseil, installation, sauvegarde des données, sécurité…).
Désormais, c'est « Soler Patrick Holding » et ses deux filiales, BOA (pour le mobilier et l'agencement) et SPI (pour le développement de l'informatique) qui ont pris possession fin 2019 de locaux flambant neufs au parc « Dronckaert II », sur plus de 1000 m². « Nous avions été les premiers à acheter du terrain sur ce parc d'activités, avec Not'car », se souvient Etienne Soler, le fils de Patrick, en charge du développement, « c'était important d'avoir un show-room et un espace suffisamment spacieux pour héberger 22 salariés, nos commerciaux, nos collègues du bureau d'études, nos administratifs… ».
Pour parfaire cette complémentarité et maîtriser l'univers entre informatique, mobilier adapté, espaces et agencements dédiés, il restait à développer les services liés au numérique. Cela a été chose faite avec le rachat des droits de franchise du groupe national « XEFI », partenaire informatique, bureautique, cloud et logiciels.
Développer d'autres points de chute dans des grandes villes françaises
La holding roncquoise qui dispose actuellement de quatre agences françaises (Roncq, Troyes, Pau, Avignon) rayonne dans tout l'Hexagone dans le secteur tertiaire (banques, établissements financiers, commerces de détail, collectivités…), et s'est déjà attachée le marché des universités de Lille et de Valenciennes, du nouveau rectorat lillois (870 postes de travail)… « Parmi les projets futurs, on aimerait racheter une menuiserie pour réaliser nous-mêmes les agencements », reprend Etienne Soler, « on souhaite consolider l'existant et mener à bien d'autres projets de points de chute à Metz, Lyon ou encore Nantes ».
Cette holding est également très attachée aux valeurs éco-responsables et a développé un parc de véhicules électriques pour ses commerciaux, a mis en place le tri sélectif dans ses locaux, et développe le « Made in France » comme pour ses réalisations au Rectorat, entièrement françaises, où les déchets ont été limités à cinq bennes pour 870 postes de travail ! « On vise aussi bien à respecter l'environnement en développant les circuits courts, en faisant appel au recyclage des déchets, qu'en intégrant dans nos prestations le bien-être des collaborateurs(trices) par une mise en oeuvre réfléchie des aménagements d'espaces (lieux de repli dans un open space…) ». Rien n'est laissé au hasard, l'une des clés de la réussite…
« BOA » et « SPI », filiales de la « Holding Patrick Soler », 192 rue de la Latte prolongée,
Tél : 03 20 03 00 68
Site : www.boa-mobilier.fr et www.sp-informatique.fr
Facebook : Boa mobilier
LinkedIn : Boa mobilier et aménagement
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« N&A Factory » : coiffure et beauté des mains et du regard |
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Vendredi, 14 Février 2020 19:12 |
 Quand l'amitié se transforme en un projet professionnel partagé, elle éclate en pleine lumière. C'est ce que l'on ressent quand on franchit le seuil du 399, rue de Lille. L'ancien salon « Art et coiffure » a été totalement rafraîchi, repensé et ripoliné pour offrir des espaces lumineux et modernes où s'étendent des postes dédiés à la coiffure, à la prothésie ongulaire et à la beauté du regard.
Aurélie Carlier, coiffeuse de 25 ans, titulaire d'un CAP et d'un BP coiffure, et Néomie Gadeyne, 24 ans, prothésiste ongulaire et technicienne de cils, amies depuis près de dix ans, ont su rebondir. Licenciée économique fin 2019 après avoir travaillé dans le même salon, Aurélie a décidé de continuer à exercer sa passion pour la coiffure. Parallèlement, Néomie, à l'origine aide-soignante, a décider d'entamer sa reconversion pour rejoindre Aurélie dans ce projet d'activités complémentaires, la coiffure pour l'une, les ongles et les cils pour l'autre.
Après sept mois de montage du dossier – création d'une SARL grâce notamment à des aides de la BGE (Boutique Gestion Espace), d'Initiative Lille Métropole Nord qui leur a décerné deux prêts d'honneur, de Nord Actif qui se porte caution pour le prêt bancaire – et un mois et demi de travaux réalisés par les deux familles qui se sont retroussées les manches, le superbe salon est prêt à accueillir la clientèle alors que les rendez-vous sont déjà légion. Et « N&A Factory » est aussi le partenaire d'une marque française de produits naturels liés au commerce équitable, à base d'huiles essentielles. Cette belle aventure de deux associées est la concrétisation d'une amitié qui n'attend plus que la clientèle (femmes, hommes, enfants) pour se pérenniser.
« N&A Factory », coiffure mixte et enfants, prothésie ongulaire, beauté du regard, 399, rue de Lille, ouverture le lundi de 9h à 14h, , les mercredi, jeudi, vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 18h30, le samedi de 8h à 16h30, fermeture le dimanche et le mardi
Tél : 03 66 19 07 50
Facebook : N&A Factory
Instagram: netafactory |
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La « Brasserie artisanale des lions » aura pignon sur rue en avril |
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Mardi, 11 Février 2020 18:07 |
 Les anciens ont encore en mémoire les brasseurs d'hier - Lannoy-Tooris, Leys – implantés à Roncq. On croyait ce temps révolu mais depuis quelques années les brasseurs reviennent en force. En 2017, Olivier De Brueker créait la brasserie lilloise au CIT et début avril 2020, Alexandre Vasseur franchira lui aussi le pas de la création d'une activité brassicole. La passion est le fil conducteur de ces entrepreneurs soucieux de retrouver l'esprit artisanal et convivial si cher aux brasseurs flamands et wallons.
Au 5bis de la rue Pasteur, c'est une porte de garage comme tant d'autres qui dissimule un atelier bluffant, entièrement rafraîchi et remis à neuf, où de la production de tôle en inox d'hier, on passe soudain aux cuves et au zinc pour déguster une bière blonde ronde et sans trop d'amertume. C'est tout au moins la promesse formulée par Alexandre Vasseur pour l'ouverture de cette brasserie vraiment pas comme les autres.
A commencer par l'Estafette Renault de 1979, elle aussi entièrement remise à neuf, qui trône à l'entrée et qui augure des distributions de bière à venir mais pas seulement. Elle devrait attirer tous les regards lors de la 8ème Rétromécanic, le 12 avril prochain. Il y a aussi ce bar séculaire en orme, décapé par le maître des lieux, qui contraste avec les cuves en inox prêtes à accueillir les futurs brassins. L'ambiance est autant vintage que moderne, on imagine déjà la dégustation de chopes dans ce décor de cinéma.
Un atelier aussi espace de dégustation
« Electricien et électromécanicien auto de formation, j'ai travaillé pendant 18 ans dans l'automobile, 15 ans chez Renault puis dans un centre de pare-brise à Armentières », témoigne Alexandre, « mais ces cinq dernière années, j'ai fait de la bière en amateur, avec mon père ». Rien d'étonnant à ce qu'il franchisse alors le pas de la création d'une brasserie, fusse-t-elle artisanale, pour produire « le champagne de notre région ».
Le plus dur finalement a été de dénicher un local, car pour le reste, la passion chevillée au corps, tout semble simple à l'entendre. Il récupère des cuves et une embouteilleuse, achète deux fermenteurs, aménage un espace de fermentation, se ravitaille en orge de France, achète du houblon près d'Ypres, s'attache les compétences et les services d'amis et le tour est presque joué. « La cuvée 2V » devrait faire saliver les premiers adeptes dès le mois d'avril, dans cet atelier qui se voudra aussi espace de dégustation. Alexandre Vasseur n'attend désormais plus qu'une chose : vivre enfin de sa passion… tout en redonnant vie à l'activité brassicole et de renouer ainsi avec ce passé si cher aux Roncquois.
Brasserie artisanale des lions, 5 bis rue Pasteur (ouverture en avril 2020), Tél : 06 37 88 83 76, Mail :
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« Roncq entreprendre », un club d’entrepreneurs en gestation qui a besoin de vous |
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Jeudi, 30 Janvier 2020 12:56 |
 L'idée généreuse et altruiste de création d'un club réunissant des entrepreneurs mais aussi des porteurs de projet a toujours germé à Roncq, avec plus ou moins de réussite. Ainsi, en septembre 2014, Bruno Ackou, chef d'entreprise – il dirigeait la société de communication « Tapis Rouge » basée à Roncq – donnait naissance à l'association estampillée BEST comme « Business Et Solidarité dans le Travail » pour permettre à une vingtaine d'entrepreneurs du Nord de la Métropole d'apprendre à mieux se connaître et d'échanger des conseils professionnels sans négliger le retour à l'emploi pour des personnes en manque de travail.
Cette fois, Bruno Ackou et Ludovic Bourreli, gérant des sociétés « Fastwork » et « Fastility Concept » basées à Dronckaert II – coordination de chantiers de second oeuvre et d'aménagement pour la grande distribution, le secteur tertiaire et les particuliers – souhaitent relancer un club d'entrepreneurs roncquois qu'ils dénommeraient « Roncq entreprendre ». Les objectifs sont clairement identifiés : apprendre à mieux se connaître tout en étant solidaire, promouvoir l'emploi, aider et accompagner la création d'entreprise. Pour que ce club voit le jour, ils lancent un appel à tous les entrepreneurs roncquois pour venir le rejoindre, pour cela vous pouvez contacter Ludovic Bourreli au 06 72 28 61 38 |
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« Fastwork », un seul interlocuteur pour réaliser vos projets d’aménagement |
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Jeudi, 30 Janvier 2020 12:13 |
 Après un parcours de salarié et de co-gestionnaire dans le bâtiment durant plus d'une décennie, Ludovic Bourreli a décidé de créer il y a quatre ans au parc « Dronckaert II » une 1ère société de contractant général et de coordinateur de prestataires et de gestion de travaux de second oeuvre et d'aménagement au service d'un client, un particulier, une enseigne de la grande distribution ou encore une entreprise de service. Comme le souligne le slogan commercial de Fastwork, le principe est simple à partir du moment où ces entreprises et particuliers ne souhaitent pas gérer eux-mêmes un suivi de chantier avec différents prestataires : « vous avez des idées ? Notre métier c'est de les mettre en oeuvre pour vous ! »
« Pour faciliter la tâche des clients, je propose d'être le seul interlocuteur dans tous les corps de métier liés au second oeuvre et à l'aménagement dans le bâtiment », résume Ludovic Bourreli. Avec des exigences dont profite le client : le respect des délais et la qualité des prestations. Pour parfaire ce service essentiel, le gérant de « Fastwork » va créer deux ans plus tard une seconde société très justement estampillée « Fastility Concept » et qui, en 24 mois, va embaucher sept salariés issus de tous les corps de métiers. En fait, « Fastility » est un prestataire de « Fastwork », de quoi optimiser la flexibilité dans la réalisation des chantiers.
Ces deux sociétés interviennent essentiellement dans la grande région Nord sans négliger des chantiers situés dans d'autres régions, voire en Belgique. La clientèle est diversifiée, de « Leroy Merlin » à « Point P » en passant par des personnes privées. A l'entrée du parc d'activités « Dronckaert II », les deux sociétés sont installées dans le 1er bâtiment à droite dont le propriétaire n'est autre que Ludovic Bourreli.
« Fastwork » et « Fastility Concept », 198, rue de la Latte prolongée, parc « Dronckaert II ».
Tél : 06 72 28 61 38
Site : www.fastwork.fr
Mail :
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Facebook : Fastwork |
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« Bouquinerie du Sart » : des livres à la friperie |
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Lundi, 27 Janvier 2020 18:49 |
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 Début juin 2019, s'ouvrait dans la galerie commerciale de l'hypermarché Auchan la « Bouquinerie du Sart », une librairie solidaire dont le concept a été adopté très rapidement par la clientèle. Déjà implantée dans le quartier du Sart à Villeneuve d'Ascq depuis cinq ans, cette librairie au double statut – à la fois association et entreprise – n'a qu'un objectif : faire rayonner le livre en le vendant à petits prix pour mener à bien une mission de réinsertion, en l'occurrence l'objectif du retour à l'emploi pour actuellement 35 personnes dont 7 sont à Roncq. Depuis début janvier, la bouquinerie est aussi devenue friperie, de quoi drainer plus de fréquentation et donc plus de réinsertion.
Dans l'entrepôt du Sart, le personnel en réinsertion est désormais chargé de trier livres et vêtements avant leur remise en vente : 1 ou 2€ pour les livres, de 5 à 35€ pour la friperie composée de vêtements hommes et femmes et aussi d'accessoires. « Il s'agit de remettre sur le chemin de la vie professionnelle des personnes qui doivent apprendre à devenir fiables, à être de bons camarades et professionnels », souligne Domitille Widmaier, responsable des magasins de Villeneuve d'Ascq et de Roncq.
Désormais, un tiers du magasin de Roncq situé dans la galerie commerciale est dédié à la friperie. Les vêtements sont récupérés directement sur place, doivent être en bon état et nettoyés, avant leur mise en rayon. Des ventes spéciales mensuelles (enfants…) sont également prévues. Cette démarche est d'autant plus exemplaire sur le plan de l'insertion qu'elle entre également dans ces nouvelles habitudes de réemploi au profit de l'environnement. |
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Nouvelle boutique de prêt-à-porter féminin rue des Arts |
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Mardi, 21 Janvier 2020 16:54 |
 Une nouvelle boutique de prêt-à-porter féminin vient de s'ouvrir au 3 rue des Arts, emboîtant le pas à « Noir///Cerise » dans un même esprit cosy et chaleureux. Nathalie Heyman est une Tourquennoise qui a voué tout son parcours professionnel à l'univers de la VPC (Vente Par Correspondance), d'abord chez Vert Baudet, puis à la Blanche Porte avant de consacrer trois décennies comme responsable publicitaire au sein de Damart. Mais, en parallèle, elle a toujours nourri le projet d'ouvrir sa boutique.
Après avoir étrenné son expérience et ses compétences durant un an et demi dans une boutique de prêt-à-porter, à Beaucamps-Ligny, elle vient de concrétiser son rêve en achetant le pas de porte de « Noir///Cerise », rue des Arts, et succédant ainsi à Bérengère De Smet qui s'y était installée durant cinq ans. Tout s'est passé par le bouche-à-oreille. « Je m'inscris vraiment dans la démarche de Bérengère et je prolonge ainsi l'univers qu'elle avait magnifiquement développé », confie Nathalie Heyman.
Cette boutique de prêt-à-porter féminin propose également des chaussures, des bijoux et une petite brocante occasionnelle de déco. Dès que l'on franchit la porte, on se sent comme chez soi dans ce lieu intimiste et parfaitement agencé.
Nouvelle boutique de prêt-à-porter féminin et accessoires, 3, rue des Arts. Ouverture à partir du 1er février du mardi au samedi de 10h30 à 18h30, en mode plus éphémère jusque là. Tél : 06 80 72 67 42 |
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Vœux aux acteurs économiques : l’esprit de conquête anime Roncq |
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Mardi, 21 Janvier 2020 11:11 |
 « Que nos commerçants, nos entrepreneurs et nos artisans se sentent bien à Roncq, en parfait équilibre, je vous souhaite des voeux de bien entreprendre et d'authenticité », a déclaré Rodrigue Desmet, Maire, à l'issue des interventions de ces voeux présentés aux acteurs économiques de la Ville le 20 janvier en soirée. Pour la 1ère fois, ceux-ci se déroulaient à l'Atrium de La Source qui a accueilli une centaine de représentants(es) du monde économique roncquois.
C'est tout d'abord Anne Thorez, Adjointe au Développement économique et à l'emploi, qui a accueilli chaleureusement le public : « vous êtes des héros des temps modernes, des gens courageux », a-t-elle adressé aux uns et aux autres avant d'exprimer ses voeux de façon poétique, paraphrasant Brel : « je vous souhaite des rêves à n'en plus finir, je vous souhaite de respecter les différences des autres, de résister à l'enlisement, de ne jamais renoncer à la recherche, à l'aventure ».
Brigitte Lherbier, sénatrice et élue tourquennoise de longue date, s'est félicitée de la vie apportée par les commerçants et artisans dans les centres-villes. « Vous êtes animés d'un esprit de conquête, de challenge », rappelant au passage que la sénatrice est à leur service pour tous les dysfonctionnements rencontrés.
Alain Flipo, secrétaire et membre du bureau CCI grand-Lille, a rappelé qu'il est là pour défendre les valeurs des acteurs économiques. « Notre objectif à la CCI, c'est d'améliorer votre bilan, vous pouvez bénéficier d'expertises financées en grande partie par la collectivité » a-t-il souligné, insistant sur ses racines proches de Roncq, en tant que résident du Brun-Pain. « La problématique d'aujourd'hui, c'est la reconquête des centres-villes alors que 72% des Français(es) plébiscitent le commerce de proximité », a-t-il repris, « coproduisons donc l'économie de demain, on doit réinventer la ville et les usages de demain ». Et de se féliciter du dialogue noué à Roncq entre la grande distribution et le petit commerce.
Rodrigue Desmet s'est dit « très fier du centre-ville roncquois comme du Blanc-Four qui s'est enrichi de l'ouverture d'une supérette, nous continuerons à accompagner et à aider nos acteurs économiques ». Est venu ensuite le moment de partage autour du buffet gourmand offert par la Ville et qui a ponctué cette belle soirée. |
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« L’étude Richard » : l’immobilier sous toutes ses formes |
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Mercredi, 15 Janvier 2020 16:51 |
 Au 7, rue des Frères Bonduel, l'étude Richard voyait le jour en novembre 2017. Depuis, elle a bien grandi et a d'ailleurs investi l'étage de cette belle demeure ancienne. Cette façade est dédiée à toutes les formes de prestations autour de la gestion immobilière : gestion privée, conseil juridique, optimisation fiscale, transaction atypique (vente d'églises…), recherche foncière, montage de dossier, courtes formations en immobilier (agents mandataires…).
A l'intérieur, huit salariés sont à pied d'oeuvre pour vous accueillir, dont un Roncquois, spécialiste de l'investissement en résidence principale. Julien Lemaire-Deligny et Jean-Baptiste Briffault, sont co-gérants et propriétaires de l'étude Richard alors que Yann Gadeyne est associé spécialisé en conseil d'investissements. Julien Lemaire-Deligny connaît bien Roncq pour y avoir travaillé dès 2003 auprès du notaire Alexandre Deswarte avant de créer son propre cabinet de gestion de patrimoine. « C'est une ville que j'apprécie beaucoup et qui est située au coeur d'un secteur dynamique. On y trouve des produits immobiliers pour tous les profils et tous les budgets », assure-t-il.
A la manière d'un couteau suisse, le cabinet de gestion propose de nombreuses démarches, gestion privée (400/500 clients dans la métropole), administrateur de biens, conseil, formation, recherche foncière… « On propose des prestations clés en mains », reprend Julien Lemaire-Deligny, par ailleurs enseignant en droit, « on va louer et gérer un bien mais aussi y réaliser des travaux s'ils sont nécessaires, on propose une prestation immobilière de A à Z ».
Cette étude entend aussi oeuvrer dans le respect de la planète en gérant autrement les documents et les prestations : zéro papier, zéro déchet, signature et stockage électroniques, basculement vers des véhicules électriques, accompagnement des travaux pour veiller au respect des règles écologiques… (Photos Thierry Thorel)
« L'étude Richard » du nom de l'ancien médecin, 7, rue des Frères Bonduel, Tél : 03 20 28 02 33
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