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112 sapins ont été collectés pour servir de paillage |
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Lundi, 30 Janvier 2017 18:18 |
 Vous avez été aussi nombreux que l'an passé à déposer votre sapin de Noël au Centre Technique Municipal pour lui donner une autre vie sous forme de compost. A l'issue de la collecte, du 2 au 15 janvier, on a recensé 112 sapins qui ont été broyés par les techniciens de la Ville et former ainsi un paillage écologique, pratique et économique destiné à protéger les massifs de la Ville des rigueurs hivernales et des reprises indésirables de mauvaises herbes au printemps. A noter que dix de ces sapins ont été ramassés dans les fossés de la rue Pasteur où ils avaient été impunément jetés.
Les sapins ont été broyés au Centre Technique Municipal. Réduits à l'état de copeaux, ils ont été utilisés comme paillage pour les massifs des différents quartiers de la Ville. Les plantes (bruyères, fraisiers, rhododendrons, azalées...) ont en effet besoin de sols acides que procure ce type de mulching. |
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Habitat : l’avancée des chantiers malgré l’hiver |
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Lundi, 30 Janvier 2017 15:27 |
 L'attractivité de la Ville en matière d'habitat se poursuit en différents points de la commune. Après « Les Carrés Verts » et « Le lavoir », une autre opération de logements a démarré dernièrement dans le secteur Dronckaert/A22, non loin de la résidence des Azalées en remontant vers le Boulois et le Bois d'Achelles. 57 logements y verront le jour, réalisés par le bailleur Notre Logis et le promoteur Loginor. Notre Logis y implante un collectif de 14 logements locatifs (11 PLUS et trois PLAI) mais aussi huit maisons en location (six PLUS et deux PLAI) et quatre autres en location-accession à partir de 184 715€, programme baptisé « Les villas du Vert Bois ». La livraison de ces maisons en location-accession situées en bordure de la rue du Dronckaert devrait être effective dès le 1er trimestre 2017.
Dans le même temps, le promoteur Loginor lance sur le même site un programme estampillé « Les Villas Trendy » dont la commercialisation a débuté en mai dernier. Ces 18 maisons individuelles en T4 ou T5, avec jardin, parking, carport ou garage, sont vendues à partir de 260 000€. Loginor lancera également les travaux de son programme dès la fin du 1er trimestre 2017. Actuellement, le programme Notre Logis est bien avancé et pourra livrer des logements en cette année 2017.
Des appartements en accession et en location à deux pas du Centre pour 2018
Enfin, depuis septembre et après la déconstruction de la friche Coubronne qui était étendue sur 3780 m2 au 270 de la rue de Lille, à proximité du complexe sportif Guy-Drut, le gros-oeuvre de « L'intemporel » est en cours de réalisation avec les fondations de la future résidence qui comprendra quatre immeubles (R+4 pour les deux immeubles principaux, R+3 poujr l'immeuble en front-à-rue et l'immeuble en fond de parcelle) dont un en front-à-rue rue de Lille. Le promoteur immobilier « Icade Promotion » réalise sur ce site 49 appartements en accession, du studio au T4, prolongés de larges balcons ou terrasses donnant sur un jardin arboré. Au dernier étage, seront proposés des jardins familiaux avec terrasse. Cette résidence estampillée « L'intemporel » présentera une hauteur de 13,50 mètres pour une surface plancher de 4289,20 m2. Les acquisitions démarrent à 128 500€ (studio) jusqu'à 379 000€ (4 pièces de 111 m2 de surface habitable). Les premières livraisons sont prévues au 1er trimestre 2018.
Le bailleur social Vilogia va réaliser de son côté 21 appartements locatifs. Au global, cette résidence comportera 3 T1, 26 T2, 35 T3, 6 T4. (Photos Thierry Thorel)
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Vœux à la police : forte baisse de la délinquance |
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Vendredi, 27 Janvier 2017 20:00 |
 Le 27 janvier, les voeux à la police ont été échangés aux Anciennes Ecuries entre Vincent Ledoux, Député-Maire, Yves Lefebvre, Maire de Linselles, les élus des villes de Roncq et de Linselles et les représentants des forces de l'ordre – David Preud'homme, commissaire divisionnaire de Tourcoing, le commandant Olivier Verquin, les policiers, les ASVP et policiers municipaux et bien d'autres. Cette rencontre a été l'occasion de remerciements et de gratitude des édiles pour la police. En 2016, les faits de délinquance ont baissé de plus de 10% à Roncq – 760 faits constatés, 100 de moins qu'en 2015 – et à Linselles - plus de 200 faits constatés, 46 de moins qu'en 2015 – ce qui ramène ces statistiques au-dessous des niveaux des années 2011 et 2012. Vincent Ledoux s'est inquiété de la dérive des réseaux sociaux, « caisses de résonnance avec parfois peu de discernement », ce qu'il n'a pas manqué de signaler au Ministre lors d'une intervention à l'Assemblée Nationale. Le Député-Maire s'est également félicité du travail mené conjointement par les polices nationale et municipale, les pompiers, les élus, les services municipaux, les bailleurs sociaux (relogement de 15 familles après l'incendie des Clairières en mars dernier)… « Il y a dans la population de l'affection et du soutien pour notre police municipale, souvent agressée à tort sur les réseaux sociaux ».
Vincent Ledoux a insisté sur la lutte à mener au quotidien contre les vitesses excessives sur nos routes tout en se félicitant de l'excellent travail de protection et d'écoute des personnels soignants de l'hôpital de Tourcoing. Et de s'inquiéter du « djihadisme, un phénomène durable qui nous vaut encore aujourd'hui l'Etat d'urgence. Je suis attentif à ce que l'on ait dans les écoles tous les dispositifs de protection des enfants. On pense aussi aux dispositifs de solidarité de voisinage ». Et le Députe-Maire d'exprimer la solidarité indéfectible des élus à l'égard des policiers. « Vous êtes dans l'abnégation, parfois au péril de votre vie », a-t-il confié, « c'est pourquoi nous travaillons dans une confiance partagée, dans une intelligence de collaboration ». Ce qui ne peut se faire selon lui « sans une amélioration des rouages entre justice et sécurité ».
Yves Lefebvre, Maire de Linselles, a redit combien la sécurité des concitoyens passe par l'intercommunalité et la mutualisation nécessaire des moyens. « On est en train d'étudier la mise en place d'une police intercommunale avec Bousbecque et Wervicq-Sud mais ce ne sera pas avant début 2018 », a-t-il souligné, « la solidarité des voisins vigilants établis à Linselles a permis notamment d'éviter deux cambriolages et l'interpellation un peu plus tard des cambrioleurs par les patrouilles de Roncq ».
Accent porté en 2017 sur la lutte contre la délinquance routière
David Preud'homme s'est félicité des résultats enregistrés en 2016 dans la division de police Tourcoing-Lys avec des faits de délinquance en baisse de 10% par rapport à 2015. « Les baisses sont même historiques à Linselles et à Roncq ». Avec six fonctionnaires, le commissariat de Roncq joue un rôle essentiel et polyvalent comme en témoignent les chiffres de 2016 : 1000 personnes accueillies, 770 mains courantes pour autant de tranches de vie ainsi enregistrées, 600 dossiers sortis et plus de 1000 heures de patrouille.
Il reste une source d'inquiétude pour le commissaire divisionnaire : la sécurité routière. « On a recensé six tués en 2016 sur l'ensemble de la division Tourcoing-Lys contre 7 l'année précédente mais on assiste à une explosion de la délinquance routière, conduite sous stupéfiants, sans permis, sans assurance, avec de fausses plaques belges… On va tenter d'avoir une stratégie plus axée sur ces infractions en 2017. »
L'occasion pour M. Preud'homme de remercier Vincent Ledoux pour avoir accordé une partie de sa réserve parlementaire à l'acquisition d'un radar mobile au profit de la Police Nationale. Ce qui a été officialisé sur place avec la double signature apposée au bas de la convention de mise à disposition de ce matériel à la Police Nationale. Ces échanges de voeux se sont terminés autour d'un buffet gourmand. (Photos Thierry Thorel)
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Les 32 ans de bénévolat de Thérèse Denecker |
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Vendredi, 27 Janvier 2017 16:42 |
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 Le 28 janvier, à la Maison des Associations, Thérèse Denecker a reçu la Médaille d'Or (15 ans) de la Fédération des Secouristes Français de la Croix Blanche, en présence de Vincent Ledoux, Député-Maire, d'Antonio Da Silva, Adjoint au Sport et à la Vie associative, et de Thierry Marquis, président départemental. Une distinction qui vient s'ajouter à d'autres - médaille de bronze en 2007, mérite associatif de la Ville en 2003… - et qui confirme la reconnaissance de ses pairs et de la population. Elle-même est reconnaissante de l'amitié et des contacts développés au cours de ses années de dévouement exemplaire.
Rien ne prédestinait cette Marcquoise d'origine à endosser le rôle de présidente d'association, et qui plus est au service de la santé publique. A 75 ans, elle n'en tire aucune gloire mais préfère retenir les valeurs humaines qui se dégagent de son parcours associatif. « Avec Christian, mon second mari décédé en 2012, c'est en rejoignant le club roncquois de cibistes en 1982 qu'on a rallié la même année la Croix Rouge pour avoir le brevet de secourisme », se souvient Thérèse, dont la faconde n'a d'égal que sa générosité, « et j'y suis restée 17 ans, j'en suis même devenue responsable roncquoise les deux dernières années auprès de la trentaine de membres secouristes. On assurait les postes de secours lors des grandes manifestations, on organisait des lotos… ».
Et puis vint le divorce en l'année 2000. « En raison des positions de la Croix Rouge de Tourcoing dont on dépendait, on ne pouvait plus assurer de postes de secours lors des Puces de mai, des courses cyclistes au CIT ou encore au quadriathlon, j'ai donc démissionné comme 18 membres du groupe que l'on formait et, ensemble, on a créé à Roncq une section de la Croix Blanche parce qu'on voulait poursuivre nos activités de secouristes. On repartait à zéro, sans matériel, Jean-Paul Dalle nous avait alors aidé et même fourni un véhicule avant que l'on achète le nôtre grâce à une aide du député d'alors, Christian Vanneste. »
Elle partage aujourd'hui ses souvenirs foisonnants, cet homme sauvé après un malaise cardiaque lors d'une fête du 15 août ou encore l'incendie des ateliers de la gare en mai 2015 qui avait réduit en cendres la camionnette de la Croix Blanche et tout le matériel qu'elle contenait. Sans oublier les temps forts partagés du temps de la Croix Rouge, l'anniversaire des dix ans du jumelage entre Roncq et Todmorden en 1992 auquel avait participé son mari défunt ou encore la signature de la charte de jumelage avec Delbrück en Allemagne. « De tout cela, je garde un beau regard », confie-t-elle, « j'ai appris plein de choses et surtout j'ai vécu d'amitié, on se retrouve souvent, on parle encore de Cibi, vous savez quand on est bénévole, il faut essayer de donner son temps avec plaisir. » (Photos Thierry Thorel) |
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Rue de Lille : rabotage avant pose des enrobés |
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Vendredi, 27 Janvier 2017 10:48 |
 La prudence est doublement recommandée rue de Lille en ce vendredi 27 janvier. En effet, avant la pose des enrobés entre l'av. Alphonse-Loeul et l'hôtel Formule 1, l'entreprise « Colnot balayage » procède au rabotage de la chaussée avant la pose des enrobés prévue le 31 janvier, ce qui constituera la dernière étape du réaménagement des trottoirs et du stationnement sur cette portion de la rue de Lille, au Nord de la commune.
Attention, durant ce chantier de rabotage, la circulation est alternée et elle doit être absolument respectée pour éviter tout accident. (Photos Thierry Thorel et Patrick Bonte)
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Déchets Diffus Spécifiques : les dates 2017 des collectes place de la gare |
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Jeudi, 26 Janvier 2017 16:56 |
 Pour lutter contre les dépôts d'ordures sauvages, des points de collecte ont été mis en place par Esterra. Ainsi, à Roncq depuis 2009, une camionnette stationne pour recueillir vos Déchets Ménagers Spéciaux. En 2017, elle stationnera comme l'an passé au parking de la Gare, de 14h à 15h les jours suivants, à raison d'une collecte par mois : 3/02 - 6/03 - 6/04 - 4/05 - 1/06 - 6/07 - 3/08 - 7/09 - 5/10 - 2/11 et 7/12. Ces déchets sont aussi acceptés dans les déchèteries de la métropole (la plus proche se trouve rue de la Lys à Halluin).
Il s'agit des acides (chlorhydrique, sulfurique, décapants, détartrants…), des bases (soude, amoniaque, détergents, eau de javel…), des solvants liquides, des aérosols, des produits phytosanitaires (pesticides, fongicides, herbicides, engrais…) des produits pâteux (peintures, colles, vernis, cires…), des huiles et graisses végétales (huile de friture…), des huiles moteurs et hydrauliques, des médicaments, des radios ou encore des déchets de soins conditionnés en boîtes réglementaires (seringues, aiguilles).
Vous pouvez ainsi accomplir un geste simple et efficace pour la propreté de la Ville et de la planète.
Pour plus d'infos :
http://www.esterra.fr/collectes-pdf/CALENDRIER_DDS_2016.pdf |
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Courriels et sites Internet frauduleux : la CAF met en garde |
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Jeudi, 26 Janvier 2017 16:36 |
 Si vous recevez un mail de la Caisse d'Allocations Familiales qui vous paraît suspect, où l'on vous demande notamment le numéro de votre carte bancaire, soyez plus que vigilant surtout si l'on vous promet un versement d'une somme conséquente. La CAF met en garde face à des sites pirates qui imitent celui de votre CAF. Pour cela, elle vous donne de précieux conseils que vous pouvez retrouver en cliquant sur le lien suivant :
http://www.caf.fr/actualites/2016/attention-aux-courriels-et-sites-internet-frauduleux |
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5ème Rétromécanic : Guy ou la passion de la restauration automobile |
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Mercredi, 25 Janvier 2017 19:05 |
 Guy Dhont n'est pas un retraité paisible. A 71 ans, il est même sur tous les fronts de l'activité : il rénove et agrandit sa maison de la rue de Lille tout en se consacrant à sa passion du tir sur cible, sans oublier un autre hobby pour les voitures anciennes. Pendant deux décennies, il n'a eu de cesse de redonner vie à des carrosseries à l'agonie, dénichées du côté de Ghyvelde, ou auprès d'un ami. « Il y a 20 ans, je voulais acheter une Harley Davidson mais mon épouse n'aurait pas pu en profiter », raconte-t-il, le regard à peine nostalgique, « alors on s'est dit pourquoi pas un cabriolet ancien ? »
Mais la belle anglaise – une MGB de 1965 dotée d'un moteur de 1800 cm3 – était plus proche de l'épave que de la voiture de collection. Durant quatre ans, le travail de Guy est sans relâche, été comme hiver dans son garage à l'espace limité. Il remet alors au goût du jour son ancien métier de tôlier-chaudronnier, démonte toutes les pièces de la voiture, du moteur au châssis en passant par la carrosserie. Il soude, ponce, enduit, rectifie le galbe des ailes et des portes, peint en cabine, démonte et polit les bielles, bref, il se démultiplie comme un couteau suisse pour parvenir à ressusciter magnifiquement cette MG à la beauté incomparable. « Je l'ai vendue parce que je n'avais pas suffisamment de place pour la garder », reconnaît-il avec un brin d'amertume, « financièrement je n'ai rien gagné mais j'ai éprouvé du plaisir pendant quatre ans », ce que confirme son épouse.
Qu'à cela ne tienne, il rachète une autre épave dans la foulée, au début des années 2000, cette fois une MGA de la même époque ou presque, toujours pour assouvir cette passion des belles anglaises. Le travail est le même, acharné, puissant, comme guidé par une foi, celle de l'esthétique automobile. La voiture renaît, étincelante après deux ans et demi d'efforts. Et Guy la revendra « parce que son moteur de 1600 cm3 n'était pas assez puissant pour l'emmener sur les autoroutes ».
Il a créé un tournebroche pour restaurer plus facilement une voiture !
Une TR4 de 1965 subira ensuite la même cure de jouvence après cette indéfectible et furieuse envie de la faire renaître de ses cendres. La démarche est incandescente tant le travail est intense. « Celle-là, je l'ai toujours, elle est puissante avec son moteur de 2,2 litres que j'ai entièrement nettoyé et son overdrive (une 5ème vitesse à commande électrique) qui lui assure plus de confort », témoigne-t-il. Avant, il roulait à la queue leu-leu quand il était inscrit à des clubs de collectionneurs, maintenant il se fait plaisir avec des amis, sillonne les petites routes, musarde et fait des haltes pour pique-niquer. « Je restaurerais toujours des voitures anciennes si j'avais un grand garage », soupire-t-il. On a quand même l'impression que le dernier chantier a été celui de trop, la restauration éprouvante d'une Triumph GT6 de 1969 pour laquelle il a même créé de toutes pièces une sorte de tournebroche pour mieux travailler dessus. « Je n'ai roulé que 500 Km avec cette voiture avant de la revendre », lâche-t-il sans remords.
Comme pour les précédentes éditions, il sera présent à la 5ème Rétromécanic, le 9 avril prochain dans l'écrin du parc Vansteenkiste. « J'aime bien m'y rendre pour rencontrer d'autres collectionneurs passionnés », assure-t-il, « je vais même faire venir des amis avec des engins jamais vus comme une moto-chenille ! » La flamme n'est décidément pas prête à s'éteindre…
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