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Festivités de Noël : marché, défilés, concerts et grand spectacle pyrotechnique Imprimer Envoyer
Jeudi, 24 Novembre 2016 17:47

panneaux_entree_vignetteMarché de Noël (50 exposants salle Catry et dans les chalets place Jaurès), animations diverses (La Reine des Neiges le jeudi, un sculpteur de ballons avec sa trottinette motorisée le vendredi, les classiques de Noël interprétés par un accordéoniste le dimanche), concerts de l'Ecole Municipale de Musique vendredi («Christmas Show» avec les élèves) et samedi soir («Show must go on» avec les professeurs), défilés de mode le vendredi à 18h et à 19h30, spectacle inédit (son, lumières et feux d'artifice) dans le parc de l'Hôtel de Ville le samedi entre 17h et 20h et animations déambulatoires rue des Arts (présence exceptionnelle du Père Noël et de diverses compagnies, «Cirk Triffis», les illumineurs de la «Compagnie K», Gromikis «Remue Ménage», «Ezec le Floch» et les lucioles «Zizanie», «Noël en fanfare»… vin chaud, repas), autant de festivités qui constitueront un rendez-vous incontournable dans le Centre-Bourg.
Voici le programme des animations prévues dans le Centre-Bourg: Marché de Noël avec une cinquantaine d'exposants, place Jean-Jaurès et salle Catry, jeudi 8 et vendredi 9 décembre de 17h à 20h, samedi 10 de 10h à 20h et dimanche 11 de 10h à 18h. Animations déambulatoires et spectacle pyrotechnique le samedi de 17h à 20h ; défilés de mode sous chapiteau le vendredi 9 décembre à 18h et à 19h30 ; concerts de Noël gratuits le vendredi à 19h (« Crhistmas Show » avec les élèves de l'Ecole Municipale de Musique), le samedi à 20h (« Show must go on » avec les professeurs de l'EMM, l'ensemble vocal adulte et le Brass Band de l'EMM).
Voir la brochure complète en cliquant ici
Retrouvez l'édition 2012 des festivités de Noël en cliquant ici, l'édition 2013 en cliquant ici et l'édition 2014 en cliquant ici
Retrouvez les concerts de Noël de l'Ecole Municipale de Musique en 2012 en cliquant ici, ceux des élèves de l'EMM en 2013 en cliquant ici et ceux des élèves de l'EMM en 2014 en cliquant ici
Retrouvez les concerts de Noël des professeurs de l'Ecole Municipale de Musique en 2013 en cliquant ici et ceux de 2014 en cliquant ici
Retrouvez les marchés de Noël de 2012 en cliquant ici, de 2013 en cliquant ici, de 2014 en cliquant ici

Retrouvez le marché de Noël de 2015 en cliquant ici, les concerts de Noël de l'Ecole Municipale de Musique en 2015, ceux des élèves en cliquant ici, ceux des professeurs en cliquant ici, les festivités de Noël en 2015 en cliquant ici, le défilé de mode en 2015 en cliquant ici

 
Resto du Cœur : de plus en plus de personnes seules Imprimer Envoyer
Mardi, 22 Novembre 2016 12:21
Restocoeur3-vignetteLe 22 novembre, dès 9h, 42 bénéficiaires de l'antenne locale des Restos du Coeur ont franchi cette année et pour la 18ème campagne d'hiver consécutive organisée à Roncq la porte du local mis à disposition par la Ville dans les bâtiments de l'Orangerie, av. Alphonse-Loeul, à l'arrière de l'école Kergomard. Avec cette année une tendance lourde : la quasi-totalité des bénéficaires sont des personnes seules de plus de 50 ans, à l'exception de deux ou trois familles. 
Personnes isolées, sans travail… le point commun des bénéficiaires se résume à des revenus extrêmement modestes, quelques centaines d'euros par mois tout au plus. A l'image de cet homme de 59 ans qui a travaillé toute sa vie dès l'âge de 14 ans, en blanchisserie et dans d'autres secteurs industriels. Jusqu'au jour où il perd son emploi, c'était il y a trois ans. Depuis, avec son épouse, il survit grâce à l'Allocation Solidarité Spécifique, soit 488 euros par mois par personne. « Une fois mes charges et mon loyer payés, il ne me reste rien et je dois attendre l'âge de 67 ans pour bénéficier de ma retraite puisque j'ai travaillé en Belgique », témoigne-t-il. Depuis deux ans, lui et son épouse se nourrissent grâce au Resto du Coeur roncquois. « J'ai de la chance, ma femme est toujours avec moi et mes cinq enfants ont tous un travail ».

Nouveau responsable, nouvelle organisation

Le nombre de bénéficiaires – ils étaient 72 à la fin de la dernière campagne d'hiver – s'est stabilisé. Grâce à une importante logistique de la Ville (camionnettes du CCAS), le Resto a ouvert dans un local plus petit qu'auparavant. Comme l'explique Raymond Pouchelle, le nouveau responsable de l'antenne du Resto roncquois, une nouvelle organisation a été mise en place en raison de l'exiguïté du lieu : deux distributions au lieu d'une le mardi à 9h et à 10h, et une autre le vendredi à 9h. Les distributions de vêtements se déroulent le vendredi à 10h30.
L'équipe de 15 bénévoles est bien rôdée, aussi bien pour la distribution des repas que pour l'accueil des bénéficiaires : « on joue également un rôle d'orientation. Les bénéficiaires ne sont pas toujours bien informés, on travaille étroitement avec le CCAS de la Ville, avec Pôle emploi… que ce soit pour des adhésions à la CMU, à la Mutuelle « Ma commune Ma santé », etc. On va essayer de mettre en place durant cette campagne des après-midi récréatifs (tricot, café, partage…) pour créer des liens ».
Cette nouvelle campagne d'hiver des Restos du Coeur va durer 16 semaines, jusqu'au 10 mars 2017.
Les distributions se déroulent les mardis à 9h et à 10h et les vendredis à 9h et à 10h30 (vêtements) à l'Orangerie, jusqu'au 10 mars 2017. Accueil café dès 9h
 
TAP : handicap et citoyenneté conjugués de façon ludique Imprimer Envoyer
Mardi, 22 Novembre 2016 11:31
TAP-handicap-vignetteDurant la semaine du 21 novembre, les Temps d'Activités Périscolaires se sont arrêtés un moment sur une sensibilisation des enfants aux handicaps physiques, « ce qui parle le plus aux enfants » souligne Anthony Pirès, responsable UFCV du secteur Enfance/Jeunesse. Une belle manière d'aborder par ce prisme du handicap le thème de la citoyenneté, comme ce fut le cas auparavant pour l'entraide et le partage.
« Chaque animateur(trice) a travaillé sur différents thèmes, du handisport avec l'organisation de jeux paralympiques au langage des signes pour les plus jeunes en passant par un atelier de production de clips vidéo ou de sketches pour illustrer les difficultés quotidiennes éprouvées par les personnes handicapées. Parcours de motricité à « l'aveugle », jeux des sens… toutes les approches ludiques n'avaient qu'un seul objectif comme le confirme Sonia Derbali, coordinatrice périscolaire pour l'UFCV : « susciter une prise de conscience chez les enfants autour des handicaps ». Mission remplie. (Photos Thierry Thorel)
 
A la résidence « Le Lavoir », on démystifie l’autisme en créant un journal Imprimer Envoyer
Samedi, 19 Novembre 2016 16:00
autisme7-vignetteLe 19 novembre en matinée, la salle partagée de la résidence « Le Lavoir » où sont hébergés une dizaine de jeunes autistes adultes autonomes bruissait de réflexions propres à une salle de rédaction. Rien d'étonnant puisque les jeunes autistes présents préparaient la sortie de leur journal à l'occasion de la journée de sensibilisation au handicap, le 3 décembre prochain. Un travail commenté, approfondi, encadré par une animatrice et suivi par une jeune « service civique » communicante. Un travail destiné à démystifier l'autisme et à montrer comment les jeunes adultes présents développent diverses démarches pour s'intégrer et s'inclure dans la vie sociale. Voisinage, solidarité, rencontre, convivialité, compréhension de l'autisme, engagement avec les autres, partage associatif… étaient bien évidemment au menu de cette matinée très studieuse.
Fabienne De Oliviera, fondatrice de l'association ISRAA et maman d'une fille autiste aujourd'hui adulte, explique cette démarche qu'elle a initiée et qui se pérennise maintenant avec cette résidence d'accueil d'autistes autonomes unique en France : « le combat que j'ai mené a été le même pour beaucoup de parents sans perspectives pour leurs enfants autistes. Comment pouvait-on imaginer alors un parcours différent ? La réponse s'est d'abord appuyée sur la nécessité de l'habitat pour ce public. Cette résidence novatrice s'est ouverte en décembre 2015 et aujourd'hui le bilan est très positif ».

Des partenariats avec la Mairie et avec Auchan

« L'accueil a été très bon à Roncq et dans ce quartier du Blanc-Four, les résidents ont trouvé leurs repères dans leur environnement, ils y puisent de la sérénité et de l'équilibre, ils peuvent désormais se poser après bien souvent des années de chaos, ils ont trouvé ici un équilibre de vie. Cette expérimentation montre que tout est à inventer en matière d'autisme. »
« Ils ont pu développer ici des relations de voisinage grâce à de l'aide et à de solidarité », reprend Mme De Oliviera, « il y a des échanges (anniversaires, repas…), on parvient à casser l'image négative de l'autisme. Pour cela, il faut expliquer qui ils sont, partager leurs centres d'intérêt, c'est tout l'objet de ce journal ». Tout a été rendu possible grâce à la compréhension de toutes celles et ceux qui croisent, côtoient ou vivent auprès de ces jeunes qui peuvent désormais travailler ou accéder aux loisirs à proximité de leur logement.
Dans le même temps, les partenariats se développent : un contrat de bénévolat a été noué avec la Mairie (avec la Bibliothèque et les Archives municipales) alors qu'un autre contrat pourrait déboucher sur de l'apprentissage au coeur de la restauration de la Ville. Un autre partenariat a également été noué avec un acteur privé roncquois, à savoir l'hypermarché Auchan et plus particulièrement avec le Drive. 
Vous pourrez retrouver cette démarche avec les résidents autistes du « Lavoir » dans un reportage vidéo consacré à la sensibilisation à différents handicaps sur www.roncq.TV dès le 14 décembre prochain
 
Le collège Eluard fait son ciné salle Gérard-Philipe Imprimer Envoyer
Vendredi, 18 Novembre 2016 15:42
film_deux_capsAu collège Eluard, une vingtaine d'élèves de tous les niveaux (6è-3è) font leur festival cinématographique. Le projet lancé par Marie-Hélène Jounwaz, enseignante de Lettres, soucieuse de valoriser les expressions artistiques se poursuit pour la 3ème année consécutive. Après un atelier photo mis en place il y a trois ans et encadré par Virginie Laurent, photographe professionnelle, elle a lancé le 7ème art en septembre 2014 avec le concours de la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles). Le jeudi 24 novembre à 20h, salle Gérard-Philipe, sera projeté la 2ème production de cet atelier, un court métrage intitulé « Les deux clans » avec son making-off de 15 minutes.
Après le cinéma muet, le thème abordé a été celui des effets spéciaux avec un soin apporté à l'histoire du cinéma (Méliès…). Un an de travail, des tournages au collège, dans le parc de l'Hôtel-de-Ville, devant le cinéma Gérard-Philipe, au théâtre de la Rianderie à Marcq-en-Baroeul, une distribution de cinq adultes, six élèves, deux figurants et trois membres du personnel du collège (cuisinier, informaticien, femme de ménage) pour un objectif qui va bien au-delà de la réalisation d'un film d'une petite dizaine de minutes.
Très vite, une quinzaine de collégiens a adhéré à la démarche qu'ils vénèrent aujourd'hui. Tout a commencé en 2014 avec la réalisation d'un court métrage muet – mais avec une bande son sans paroles - d'une dizaine de minutes intitulé « Tempus Fugit » (« La fuite du temps ») pour lequel une affiche, une bande-annonce et un making-off ont été réalisés avec projection le 22 juin 2015 au cinéma Gérard-Philipe en séance publique, en présence du réalisateur Max René d'«AlphaFilms ».

Un tournage au long cours à la manière de Lars Von Trier

Bis repetita lors de l'année scolaire suivante, toujours avec Max René qui apporte ses compétences et le matériel et Hervé Bodet, enseignant de Sciences Physiques. Les collégiens ont écrit le scénario et l'association de parents d'élèves du collège a même joué le jeu en figurant dans la distribution. On a vu en juin dernier sur le terrain roncquois une équipe de tournage investir divers lieux pour tourner un nouveau court métrage, avec rigueur et application.
Ces collégiens apprennent à se responsabiliser – « l'idée, c'est qu'ils soient capables de travailler en équipe, qu'ils soient autonomes et qu'ils aillent au bout de leur projet », souligne Marie-Hélène Jounwaz - avec la mise à disposition d'un matériel professionnel. Pour ce second court métrage, deux élèves, Nathanaël Guidez et Thomas Filez, ont manié les caméras et joué les chefs opérateurs.
A raison d'une heure hebdomadaire à laquelle s'ajoute une heure et demie de tournage toutes les deux semaines, ils ont travaillé pendant un an. Pour la réalisation du 3ème court métrage qui sera placé sur le thème de l'adolescence, l'atelier cinéma intégrera des jeux théâtraux et de l'improvisation. « On fera un tournage au long cours à la manière de Lars Von Trier pour explorer d'autres méthodes d'écriture et de tournage », s'enthousiasment les deux enseignants, « on fera également davantage participer les élèves au montage ». Une chose est sûre : cet atelier fait naître des vocations. Ainsi, un élève passe désormais des castings après avoir effectué ses premiers pas d'acteur au collège Eluard ! (Photos Thierry Thorel)
« Les deux clans », court-métrage réalisé par l'atelier cinéma du collège Eluard, en séance publique le jeudi 24 novembre à 20h au cinéma Gérard-Philipe, projection gratuite suivie du making-off et d'un débat
 
Chanter en adoptant le langage des signes Imprimer Envoyer
Vendredi, 18 Novembre 2016 15:33
chant-signe-vignette_bisMurielle Vandenouc dirige la chorale des enfants de l'Ecole Municipale de Musique. Jamais, dans sa carrière, elle n'avait eu à apprendre aux enfants une chanson…signée. C'est ce qui s'est passé durant l'automne suite à la demande de la Mairie de participer à l'opération de sensibilisation du handicap en répétant une chanson – « La ballade nord-irlandaise » de Renaud – qui sera présentée lors du concert de Noël à l'église Saint-Piat le 9 décembre.
Alexia Jouvenez, présidente de l'association « Signons avec Zélie », a appris à la chorale le langage des signes et le résultat a dépassé l'attente comme l'explique Murielle Vandenouc : « c'est complètement nouveau, j'ai appris ce langage en même temps que les enfants très enthousiastes. Ils ont une capacité d'assimilation incroyable, ils l'ont fait avec joie et bonne humeur. C'est d'autant plus une belle manière d'ouverture au handicap que cette chanson parle de paix et de fraternité à l'heure de Noël, c'est tout simplement formidable ». (Photos Thierry Thorel)
Vous pourrez retrouver un reportage-vidéo sur cette opération de sensibilisation au handicap avec ce moment fort dès le 14 décembre sur www.roncq.TV
 
Foyer Michelet : coquillages et crustacés… Imprimer Envoyer
Vendredi, 18 Novembre 2016 10:56
crustaces1-vignette87 convives avaient pris place autour des tables du foyer Michelet le 17 novembre pour permettre aux résidents de se retrouver autour d'un repas « crustacés » d'anthologie. Avec le groupe Lou Clark pour mettre l'ambiance et on n'a pas été déçu. Ce joli moment convivial et festif a été, comme d'habitude, organisé de main de maître par l'association présidée par Angelo et toute son équipe !
 
A l’école Jaurès, des enfants de CP apprennent le langage des signes Imprimer Envoyer
Jeudi, 17 Novembre 2016 18:03
zelie16-vignetteComment mieux sensibiliser des enfants de CP au handicap qu'en les invitant à se mettre in situ et de façon ludique ? C'est la démarche qu'a développée le 17 novembre à l'école Jaurès Alexia Jouvenez, maman d'une enfant atteinte de surdité et présidente de l'association « Signons avec Zélie ». Après s'être présentée en quelques signes, elle a amené les enfants à formuler des mots et les lettres de l'alphabet uniquement en ayant recours au langage des signes, un langage à part entière.
Sous l'oeil attentif de Peggy Robert, Conseillère Municipale au Handicap, à l'accessibilité et à la mobilité réduite, les élèves ont pu ainsi se mettre dans la peau d'enfants sourds qui ne cessent de développer la vue et l'ouïe pour se faire comprendre et communiquer. Plusieurs enfants on pu faire écrire leur prénom au tableau rien qu'en épelant les lettres avec… des signes.
« J'explique aux enfants ce que c'est être sourd et comment ressentir des vibrations et des sons autrement que par l'oreille », explique Alexia Jouvenez, « s'ils rencontrent une personne sourde dans la rue, c'est important qu'ils sachent dire lui bonjour tout simplement avec un signe. Les enfants sont très sensibles à cet autre moyen de communication parce que c'est simple à apprendre, ils posent des questions très pertinentes sur la surdité ».
Vous pourrez retrouver cet apprentissage des signes dans un reportage vidéo consacré à la sensibilisation à différents handicaps sur www.roncq.TV dès le 14 décembre prochain
 
Le tome 3 de « Si Roncq m’était conté… » est sorti Imprimer Envoyer
Jeudi, 17 Novembre 2016 17:49
conte3-vignetteLe Club Roncquois d'Histoire Locale poursuit sur sa lancée sous la forme d'une saga. Voilà quelques années, les membres du club avaient édité un premier recueil de cette série consacrée à des témoignages et des interviews de « témoins de l'histoire quotidienne à Roncq depuis un siècle », précise Bernard Delval, secrétaire de l'association, « nous sommes cette fois allés à la rencontre de témoins de l'histoire artisanale, industrielle ou associative ».
Et cet opus passionnera les férus d'histoire roncquoise, celle tissée d'anecdotes et de parcours de vie parfois des plus exemplaires ou étonnants. La galerie de portraits présentée par Bernard Delval mais aussi Francis Lebrun et Pierre Delvoye est assez croustillante quand elle couture la vie d'une commune par des personnages qui ont fait date. On y retrouve la vie agricole avec Louis Hennion qui raconte sans détour sa traversée du XXème siècle, la vie textile avec la famille Delahousse pas épargnée par les horreurs de la guerre et qui a trouvé un héros en la personne de Lucien Anselme, engagé volontaire en 1912, officier au combat et mort pour la France en 1917 (la photo exceptionnelle du blockhaus où il est décédé en Belgique figure dans l'ouvrage).
André Couvreur, artisan coiffeur rue de Lille, Bernard Lamblin, tenancier du « Central Tabacs », Roger Bayart qui créera ensuite « Roncq Ambulance », Jean-Marie Broquart et Georges Wallecamps, figures du Blanc-Four, Pierre Filez de l'entreprise de vins éponyme, Joseph Leys de la brasserie elle aussi éponyme, Serge Denève ou encore Polydore Joseph Vansteenkiste racontent au fil des pages passionnantes leur Roncq, celui qui appartient au passé mais qui fonde l'identité locale d'aujourd'hui. Un ouvrage dédié à la vie tout simplement, celle qui a jalonné ce XXème siècle aux multiples visages et évolutions, et qui se bonifiera à n'en pas douter au fil du temps comme un bon vin.
« Si Roncq m'était conté… témoignages de familles », tome 3, en vente dans les deux librairies roncquoises, « Dictée Récré » dans le Centre-Bourg et « Montecristo » au Blanc-Four, au prix de 10 euros, ou encore le jeudi après-midi à partir de 14h30 auprès du Club Roncquois d'Histoire Locale, au 40, rue Henri-Barbusse. Vous pouvez encore vous procurer les deux premiers tomes auprès du CRHL
 


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