Noël Fantastic, du 6 au 9 décembre ! |
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Lundi, 26 Novembre 2012 18:00 |
  
L'édition 2012 des festivités de Noël sera en tous points « Fantastic », et le coeur de ville battra au rythme de la métropole. Vous pourrez aller à la rencontre des Cosmosaures, des Marcheurs de Lumière et autres Monstres Verts, vous pourrez suivre le traîneau Fantastic du Père Noël ou vous réchauffer autour de breuvages mystérieux. Roncq fera encore « Ville ensemble » autour d'un programme des plus festifs : -Du jeudi 6 décembre au soir et jusqu'au dimanche 9 décembre (jeudi et vendredi de 17h à 20h, samedi de 10h à 20h, dimanche de 10h à 18h), marché de Noël place Jean-Jaurès avec la présence de Saint-Nicolas le jeudi. -Le vendredi 7 décembre à 19h à l'église Saint-Piat (entrée gratuite), grand voyage avec les élèves de l'Ecole Municipale de Musique au royaume des percussions, des chorales, des pratiques collectives et instrumentales. -Le samedi 8 décembre de 17h à 20h, animations déambulatoires dans le Centre-Bourg dans le cadre de Roncq- Lille 3000 Fantastic, avec Les Marcheurs de Lumière, Eau d'Etoiles, Le Cirque gOnflé… et bien d'autres animations : le traîneau « Fantastic » du père Noël, la brasserie « Fantastic » (menu chaud au prix de 5€), l'igloo du vin chaud, la coquille offerte par les Vitrines Roncquoises et remise par le père Noël aux enfants sages… -Le samedi 8 décembre à 20h30 à l'église Saint-Piat (entrée gratuite), concert Fantastic avec les professeurs et élèves de l'Ecole Municipale de Musique, l'ensemble vocal, le Brass Band… et d'autres surprises ! -Le dimanche 9 décembre à 17h, concert de plein air gratuit rue des Arts avec les percussionnistes roncquois : Batucada, steel-drum, batteries et percussions en tous genres ! |
Le verger des 42 bébés de l'année |
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Samedi, 24 Novembre 2012 13:11 |
Les arbres fruitiers plantés dans une pâture à l'arrière de l'Hôtel-de-Ville vont devenir les "copains de Nature" des parents et des enfants nés durant la dernière année écoulée. Depuis 2001, 750 arbres ont ainsi été plantés pour constituer à chaque fois un poumon vert, une belle manière d'associer l'importance écologique de l'arbre sur la planète au « Vivre ensemble ». Comme l'a souligné le 24 novembre Sylvain Lamblin, conseiller municipal délégué à l'état-civil mais aussi à la jeunesse, « l'arbre unit la famille, les générations, l'écologie, le Vivre ensemble ». A la naissance de ces 42 enfants, les vingt pommiers, dix poiriers, six pruniers et six cerisiers ont pris racine. « La famille est le seul lieu de l'éducation, la société fonctionnera d'autant mieux que vous aurez bien élevé votre enfant, avec ce qu'il faut d'autorité juste et aimante », a scandé Vincent Ledoux dans une salle Catry bruissant de rumeurs juvéniles, « l'arbre est un beau symbole puisqu'il va nous survivre tout en contribuant à sauver la planète, et les enfants vont construire leur imaginaire autour de ces arbres plantés pour eux. Les enfants ont des racines, à vous les parents de leur donner des ailes ! » Les parents sont d'autant plus sensibles à ce geste qu'ils souhaitent vivre dans une ville à la campagne. Ils sont également repartis avec un diplôme et un joli cadeau, un puzzle en bois. Plus tard, les enfants devenus grands se reposeront dans l'ombre fraîche des frondaisons de ce verger, en lisière des parcs centenaires de la Ville.
Retrouvez l'album photos dans la rubrique VOTRE MAIRE/DECOUVRIR RONCQ
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Rejoignez l’association « Nord Pas-de-Calais Tchernobyl » |
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Vendredi, 23 Novembre 2012 17:02 |

La catastrophe de Tchernobyl, c'était il y a plus de 25 ans ! Mais rien n'a changé. Les enfants nés après l'évènement vivent avec leur famille sur une terre toujours contaminée. L'association « Nord Pas-de-Calais Tchernobyl » vous propose d'être la famille d'accueil de ces enfants, un mois en été, pour leur redonner des couleurs pour toute l'année ! Rejoignez l'association dans cet élan de générosité. Pour tous contacts et renseignements : Nord Pas-de-Calais Tchernobyl, Tél : 03 20 47 58 44, 03 27 46 57 56, 03 21 83 08 54, www.tchernobylenfants.com |
Banque alimentaire : la barre des 10 tonnes a été franchie ! |
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Vendredi, 23 Novembre 2012 12:54 |
     
Ils sont dix bénévoles par heure à se relayer pendant deux jours, ces 23 et 24 novembre, postés à chacune des portes d'entrée de l'hypermarché Auchan comme à celle de Leroy-Merlin. Ils arborent un large sourire et vous remettent un sachet au profit de la collecte nationale de la Banque Alimentaire. Il s'agit d'offrir des denrées non périssables destinées aux familles les plus nécessiteuses via les Restos du coeur et nombre d'associations caritatives (Secours Populaire, Saint-Vincent de Paul…). Ainsi, 35 à 40 bénéficiaires roncquois fréquentent l'association Saint-Vincent de Paul, essentiellement des femmes en situation de solitude ou de rupture familiale. « Il y a des gens plus malheureux que nous », reconnaît Jean-Paul, retraité neuvillois, « j'aide chaque année et je le fais aussi bien pour les gens que pour les animaux », ajoute une autre dame, « je ne gagne pas beaucoup d'argent mais il y a des personnes encore plus démunies que moi », témoigne cette autre cliente de l'hypermarché. Comme les années précédentes, l'association roncquoise Saint-Vincent de Paul orchestre cette campagne 2012 sous la houlette de son nouveau président, Christian Mille, et sous la conduite de Jean-Louis Beauventre, Hervé Delvas, Jacqueline et Georges Wallecamps, les responsables de la Banque Alimentaire à Roncq. Deux camionnettes mises à disposition par la Ville de Roncq et l'association des Chiens Guides d'Aveugles transportent les denrées collectées à la salle Joël Bats, avant qu'elles soient acheminées au Port fluvial de Lille où se trouve le centre régional de la Banque Alimentaire du Nord. Les scolaires et collégiens roncquois montrent une nouvelle fois l'exemple en collectant également de leur côté. A l'arrivée, la barre des 10 tonnes a été franchie comme les deux années précédentes avec 10,173 tonnes dont 1,3 tonne pour les écoles! |
La SSI offre une belle leçon de fraternité ! |
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Dimanche, 18 Novembre 2012 12:13 |
La 4ème Semaine de la Solidarité Internationale a été l'occasion d'un formidable partage d'authenticité et de fraternité avec des étudiants maliens et des représentants de Sélinkégny et de la région de Kayes, au Mali. A l'heure où ce pays africain est plongé dans les affres et les exactions perpétrées par des salafistes au Nord-Mali - "Il n'y avait jamais eu auparavant de radicalisme au Mali qui a toujours su historiquement s'ouvrir à l'expression libre", souligne Tambadian Dembele, étudiant en maîtrise de droit public à Paris - ces jeunes Maliens expriment par leurs sourires, leurs paroles apaisées et leur culture universelle l'espoir qui les anime. "L'être humain est le meilleur investissement qu'on peut avoir", reconnaît humblement Mohamed Diaby, gynécologue-obstétricien à l'hôpital public de Bamako, la capitale malienne. "On ne peut pas permettre que des étrangers prennent la moitié de notre territoire", assure, péremptoire, Aminata Dembele, originaire de Bamako, venue suivre en France des études supérieures en économie de gestion. Les paroles ont été fortes, cinglantes, sans concession, mais lourdes de sens et éprises de liberté. Salle Catry, deux projections de film ont rappelé des réalités parfois occultées - "le travail exercé ici, en France, n'est même pas imaginable au Mali, tellement c'est dur" - par la force de témoignages relatant des parcours de vie mais aussi des aspirations à des lendemains qui chantent. Des membres de l'Association pour l'Aide au Développement du village de Sélinkégny (APADS) sont venus rassurer le public sur la situation à Sélinkjégny, liée à Roncq depuis 1988 par un jumelage-coopération, et rappelé la nécessité de cette coopération décentralisée entre la France et le Mali. "D'avoir dédié cette Semaine de la Solidarité Internationale au Mali nous a beaucoup touchés", s'est ému Boubakar quand Fodié Diaby, président de l'APADS, s'est félicité de la fraternité, "cette belle leçon de la SSI". Patrick Lecomte, président de Roncq-Sélinkégny, a fait part de l'évolution "très prometteuse" de la région de Sélinkégny où se mettent en place l'extension et la rénovation du Centre de Santé Communautaire doté d'un personnel qualifié. "Le Mali est le pays le plus accueillant de la Terre", a-t-il lancé, "c'est le plus grands pays d'Afrique pour sa musique". Un concert traditionnel de Kora l'a rappelé avec éclat. "L'afrique est le berceau de l'humanité et sera l'avenir de l'humanité", a scandé Vincent Ledoux, Maire de Roncq. Le goûter malien préparé par l'APADS pouvait alors être l'occasion de découvrir notamment le bissap à base de fleurs d'hibiscus et d'oranger. Le temps de la fraternité était aussi celui de la sensibilisation, comme l'a souhaité Vincent Ledoux : "il reste à faire venir les jeunes Roncquois à la rencontre des jeunes Maliens, il reste à faire comprendre qu'on ne doit plus laisser la moitié de son assiette à la cantine en osant dire que c'est bon pour les petits Africains!"
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CTM : deux nouvelles permanences d'urbanisme |
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Vendredi, 16 Novembre 2012 13:26 |

Depuis le 17 novembre, la permanence téléphonique du samedi matin, de 8h30 à 11h30, assurée jusqu'alors au CTM a été basculée vers le Guichet Unique au 03 20 25 64 27. Par ailleurs, deux nouvelles permanences hebdomadaires d'urbanisme sont proposées au public à compter de décembre 2012, le mardi de 12h à 13h30 et le jeudi de 16h30 à 18h. Merci d'en prendre bonne note.
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Liane 4 : ça se dessine au Dronckaert |
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Jeudi, 15 Novembre 2012 17:15 |
 
L'aménagement des voiries dans le cadre de la mise en service de la Liane 4 enregistre depuis le 8 octobre le dernier gros épisode avec le chantier situé entre la concession Renault, Auchan et la rue des Orions à Tourcoing. Ce chantier est réalisé en plusieurs phases par l'entreprise Ramery : la 1ère phase concerne le tronçon entre la concession automobile et l'hypermarché et une seconde phase s'étirera d'Auchan à la rue des Orions. Il s'agit de réaliser des couloirs de bus latéraux, de refondre totalement l'entrée du centre commercial avec la mise en place de nouveaux arrêts de bus et d'un carrefour à feux qui va gérer d'un côté l'accès à Auchan, de l'autre les accès aux concessionnaires, au Carré des Halles et à la boulangerie Louise. Ont déjà été posés les premiers enrobés de ce tronçon entre la rue du Dronckaert et Auchan. Il s'agit des trottoirs avant que la même opération ne se répète pour la chaussée. Le pavage d'un quai bus est en cours de réalisation près du futur Calinauto. Puis on assistera au basculement de circulation pour permettre l'aménagement de l'autre sens (Roncq-Tourcoing). |
Romuald Stampers n'a rien oublié de son calvaire |
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Jeudi, 15 Novembre 2012 11:41 |
 
Né en mars 1923 à Linselles, Romuald Stampers réside à Roncq depuis son mariage. Dans sa mémoire parfois confuse, comme hantée, se bousculent les souvenirs de sa détention pendant la seconde guerre mondiale, dans le secteur de Valenciennes. Une seule photo racornie et désormais encadrée résume les quatre mois et demi vécus sous le joug ennemi : dans un groupe de prisonniers, on reconnaît l'expression d'un visage inquiet, celui de M. Stampers quand il n'avait encore que 17 ans. Tout s'est passé très vite, sans raison. Le 9 octobre 1940, des soldats allemands tambourinent à la porte de la maison familiale, rue des Ecoles à Linselles. Ils réclament du linge et des vivres que s'empresse de leur donner Mme Stamper. Son fils, Romuald, sera alors sommé de les accompagner, sans savoir pourquoi. En mairie, il est refoulé en raison de son jeune âge mais il décide de prendre la place d'un père de famille. « Je n'aurais pas supporté que quelque chose arrive à ce monsieur, j'aurais alors eu l'air de quoi ? C'est pourquoi j'ai pris sa place », lâche-t-il tout à trac. Un camion l'emmène comme ses neuf compagnons d'infortune à la caserne Négrier à Lille où il séjournera pendant onze jours. Le second voyage le transportera à la caserne Vincent à Valenciennes. « Des 317 prisonniers, j'étais le plus jeune à l'exception d'un Tourquennois, à peine moins âgé que moi », soupire-t-il, « ma captivité a duré quatre mois et demi, jusqu'au 15 février 1941. » Toute tentative d'évasion était passible de la peine de mort. « Si quelqu'un prenait la fuite, cinq membres de la famille étaient aussitôt pris en otages à leur tour », se souvient M. Stamper. « On devait niveler des tranchées anti-char du côté de Denain et aménager un champ de tir près de Valenciennes », se rappelle-t-il comme si c'était hier. En guise de nourriture, un seul repas bien maigre était distribué chaque jour, en fin d'après-midi, composé d'un petit morceau de saucisson, d'un peu de margarine, d'un morceau de pain et d'un peu de soupe sans consistance. « J'avais besoin de manger, c'était insupportable, parfois une sentinelle allemande me donnait une pomme-de-terre, j'étais tellement fatigué et affamé que je souffrais de vertiges ». L'inanition n'est jamais loin. Rien n'est trop beau comme ces quelques haricots ramassés dans le bus qui les transporte et qu'ils se partagent, un par un. Ou encore ce chat pris au collet dont la tête sera partagé par quatre prisonniers. « Un jour, le bus nous a déposé dans un grand entrepôt où j'ai dû pousser des wagonnets chargés sur des camions, c'était éprouvant », se remémore Romuald, « quand je suis entré dans ma chambrée, à la caserne, j'ai sangloté tellement j'étais épuisé, j'ai bu ma soupe et mes larmes en même temps ! » De retour chez lui, sa maman très affectée par son internement tombera dans ses bras, très affaiblie. « J'ai retrouvé ensuite mon travail au tissage Paul et Jean Tiberghien, je me suis engagé au 43ème R.I. de Lille en septembre 1944. » M. Stampers est désormais titulaire d'une carte de déporté portant la mention « interné politique » et invalide de guerre. |
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