Rue du Dronckaert : circulation très perturbée de Neuville à l’Av. de Flandre |
|
|
Lundi, 21 Janvier 2019 18:15 |
La construction et l'exploitation d'un réseau de transport d'énergie thermique issue de la valorisation de déchets du CVE est en cours de réalisation. Après l'implantation de ce réseau le long du Bd de l'Eurométropole, ce chantier se poursuit rue du Dronckaert. Grâce à l'action de la Ville auprès de la MEL, seule la partie de la rue du Dronckaert située entre Neuville-en-Ferrain et l'Av. de Flandre est impactée. Le reste de la rue du Dronckaert jusqu'au Pied-de-Boeuf sera épargnée. Le chantier se déplacera en effet de l'autre côté de l'A22. Pour l'heure, on enregistre de grosses difficultés de circulation rue du Dronckaert, entre Neuville-en-Ferrain et l'Av. de Flandre, surtout aux heures de pointe. Ce secteur est à éviter absolument. La Métropole Européenne de Lille a attribué à Covalys la nouvelle concession pour l'exploitation du Centre de Valorisation Energétique d'Halluin (CVE). Ce nouveau contrat prévoit la construction d'un réseau de transport de chaleur entre Halluin et les réseaux de chaleur de Lille/Roubaix qui sera mis en service en 2020 après une succession de chantiers. Cette démarche valorisera l'énergie fatale qui est issue du processus d'incinération au CVE. Elle créera ainsi une nouvelle source de chaleur renouvelable. Celle-ci alimentera en chaleur de nombreux bâtiments (logements, équipements…). C'est dans ce cadre qu'est réalisé actuellement ce réseau de transport d'énergie thermique appelé aussi « autoroute de la chaleur », ce qui nécessite des contraintes rue du Dronckaert. |
Rois et reines fêtés à la Bibliothèque |
|
|
Vendredi, 18 Janvier 2019 10:48 |
La Bibliothèque animait le mercredi 16 janvier, un créa-conte sur le thème « des petits rois et des petites reines. »
Dans un premier temps, les enfants se sont appliqués à la création d'une couronne. Peinture, gommettes … Tout était mis à leur disposition pour laisser libre court à leur imagination. Parents et Grands-parents étaient ravis.
Les jeunes, très assidus, ont ensuite assisté à la lecture du conte.
En fin d'atelier, les créations de nos apprentis artistes trônaient fièrement sur leur tête. |
Collecte de jouets par les salariés d’Auchan : 1100 euros pour « Wonder Augustine » |
|
|
Vendredi, 18 Janvier 2019 10:28 |
L'histoire tragique de la petite Augustine a ému toute la planète et, après sa récente disparition, le combat se poursuit pour financer la recherche médicale contre le cancer pédiatrique. C'est en août dernier que le diagnostic était tombé pour Augustine : une tumeur du tronc cérébral était dépistée chez la petite fille de 4 ans résidant à Wattrelos. Cette tumeur était inopérable et incurable… Début septembre, l'association « Wonder Augustine » était créée et un peu plus d'un mois plus tard Augustine est partie, « son souffle s'est arrêté » témoigne sa maman touchée en plein coeur. Fin 2018, les 850 salariés d'Auchan Roncq se sont mobilisés en apportant des jouets vendus lors d'une opération de sensibilisation organisée le 2 décembre dernier dans la galerie commerciale de l'hypermarché roncquois.
Le 17 janvier, à l'issue de cette superbe opération philanthropique, un chèque de 1100€ a été remis par Manon Barrier et Didier Coué, respectivement directrice et directeur-adjoint d'Auchan Roncq, à l'association « Wonder Augustine » représentée par Pauline Deuriendt, trésorière et tante de la petite Augustine. En effet, plus de 700 jouets avaient été collectés et offerts par les salariés de l'hypermarché roncquois avant d'être mis en vente. C'est la somme collectée qui a été remise à l'association « Wonder Augustine » alors que les jouets invendus ont été remis au Secours populaire. « C'est le résultat d'une mobilisation interne », se félicite Didier Coué, « il y a des collaborateurs dans l'hypermarché qui ont envie de s'engager ». Mme Blondel qui mène elle aussi un combat pour sa fille malade a été à l'origine de cette action à laquelle s'est associé l'hypermarché roncquois. "Un groupe d'amis a réalisé un travail extraordinaire pour déclencher une telle démarche qui a pu être concrétisée grâce au formidable relais des salariés d'Auchan", tient à souligner Mme Blondel.
"Une nuit pour 2500 voix" à l'occasion de la journée mondiale de lutte contre les cancers pédiatriques
« C'est une belle manière de penser aux autres », s'est félicité Rodrigue Desmet, Maire, « je salue le déploiement et l'engagement des salariés d'Auchan , c'est un bel exemple et un beau message ». Manon Barrier s'est tout autant félicitée, rappelant la démarche de l'hypermarché auprès de deux jeunes stagiaires autistes, « on préfère les actions philanthropiques à long terme, qui s'inscrivent dans la durée ». Faire bouger les choses, sensibiliser, c'est l'objet de cette action. Plus généralement « Wonder Augustine » souhaite sensibiliser l'opinion et les pouvoirs publics sur les cancers de l'enfant. Au-delà de ces missions, l'association souhaite aider à « combler le manque de budget » alloué à la recherche consacrée aux cancers pédiatriques. En effet, chaque année en France, 2500 enfants et adolescents sont diagnostiqués d'un cancer ou d'une leucémie, 500 d'entre eux en décéderont, souvent dans de lourdes souffrances (vision, équilibre, force, réflexe… altérés par la tumeur). Le 15 février prochain, ce sera la journée mondiale de lutte contre les cancers pédiatriques. A cette occasion, le collectif dont fait partie « Wonder Augustine » lancera la 1ère édition d'« Une nuit pour 2500 voix » (plus d'infos sur la page Facebook de « Wonder Augustine »). |
Thierry Desmet voue une passion pour les voitures anciennes depuis l’enfance |
|
|
Jeudi, 17 Janvier 2019 18:10 |
Thierry Desmet est agent Ford au 595 rue de Lille. C'est là qu'il entretient et vend des voitures contemporaines. C'est également là qu'il bichonne des véhicules anciens, voire très anciens, pour leur redonner leur lustre d'antan et gommer ainsi l'usure du temps. C'est une passion chevillée au corps et à l'âme. Originaire de Wambrechies, Thierry Desmet connaît Roncq depuis toujours ou presque, et il s'y est implanté il y a 11 ans. A 55 ans, il se souvient que cette passion chronophage et dévorante est apparue dès l'enfance. « J'ai toujours aimé les voitures », se souvient-il, « j'ai toujours voulu les réparer ». De l'intention à la réalité, le pas a été franchi un jour de 1984 quand il a vu passer, tel un fantôme surgi du passé, une Citroën Traction. Il n'a alors eu de cesse d'en acquérir une, ce qu'il a fait en épluchant les petites annonces d'un journal spécialisé, quitte ensuite à dénicher un garage, à développer des trésors d'imagination pour la restaurer de fond en comble, du châssis au moteur en passant par les moindres détails.
Désormais, sa vie a basculé et tourne autour des voitures. Il a enchaîné les résurrections de Citroën Traction pendant plus d'une décennie, admirant les formes galbées de l'auto mythique, son odeur, sa conduite si particulière, loin du confort aseptisé des véhicules d'aujourd'hui. « Je peux rentrer les yeux bandés dans une voiture ancienne et vous donner instantanément la marque », assure-t-il.
Une famille propriétaire de la même voiture depuis 1928 !
Et puis, au fil des années, la Traction a cédé le pas aux voitures anglaises, puis américaines. « Mes envies ont évolué », reconnaît-il mais certainement pas blasé. Devenu agent Ford, Thierry Desmet – dont le nom signifie forgeron en flamand, ce qui le rapproche encore un peu plus de la mécanique – s'est mis à aimer ces voitures venues d'un autre continent, à commencer par les Mustang qu'adorait un certain Steve Mac Queen. « Une vingtaine de Mustang passent chaque année dans mon garage, que ce soit pour de l'entretien, des travaux de carrosserie, une remise à niveau », reprend-il, « ce que j'aime dans la Mustang, c'est son moteur et ses centaines de chevaux ».
Dans son atelier, les histoires se bousculent comme celle de cette Renault Monasix de 1928, dotée d'un moteur V6, d'un volant à droite – cela faisait chic à l'époque - et d'une ossature en bois sur laquelle ont été fixées des feuilles métalliques. « Cette voiture appartient à la même famille depuis quatre générations », confie-t-il, « le grand-père de la dernière génération est né dedans et c'est pour lui qu'on m'a demandé de la faire rouler à nouveau tout en la gardant dans son état actuel ».
Plus loin, un pick-up Ford F1 semble sorti tout droit d'un film américain des années 30 avec sa bouille d'animal sauvage. Et, dans un recoin, traîne un châssis mis à nu, celui d'une Austin Healey de 1962. Juste à côté, le moteur posé sur un diable et entièrement repeint paraît démesuré. « Quand on réalise une restauration complète, on déconstruit tout et on reconstruit tout », assure Thierry Desmet, un tantinet péremptoire, « ce châssis va partir chez le sableur, puis il sera repeint, le moteur sera remonté, la voiture va revivre ». C'est exactement ce qu'on ressent en observant juste à côté un Combi VW de 1969 dans sa robe bleu ciel. Ces voitures anciennes ont le droit à une nouvelle vie au nom d'une nostalgie qui nous renvoie aux plus belles heures de l'enfance. (Texte Patrick Bonte, photos Romane Turpin) |
Vœux du Maire à la Maison de retraite, à l’heure d’un chantier qui fera date |
|
|
Jeudi, 17 Janvier 2019 16:43 |
Fin août 2019, débutera la première opération tiroir dans le cadre de l'extension et de la réhabilitation de la Maison de retraite « La Colombe », avec le déménagement de 50 résidents dans la nouvelle extension dont la phase 1 sera achevée. Le 17 janvier, c'était l'occasion pour Rodrigue Desmet d'adresser ses meilleurs voeux de bonheur et de santé à l'ensemble du personnel de l'établissement et aux résidents en insistant sur l'accompagnement de la ville dans ce moment qui fera date. Le chantier qui a débuté en 2018 s'achèvera en effet en 2021 et d'ici là deux opérations tiroirs vont rythmer la vie de la structure. En présence de Mme Muteba, directrice de l'établissement roncquois, de Chantal Nys, Adjointe aux Fraternités locales, Peggy Robert, Adjointe au Patrimoine, Claudine Zahm, Conseillère municipale à la maison de retraite, Rodrigue Desmet a rappelé la participation de la Ville dans ce projet, sous forme pérenne, soit au niveau de la salle de motricité, soit au niveau de l'animation. Le Maire a salué tous les personnels qui font vivre au quotidien la Maison de retraite, que ce soit en cuisine, à l'animation, dans les soins et les gestes apportés aux résidents pour leur assurer un bien-être. Mme Muteba en a fait de même en remerciant tous les résidents et les membres du personnel qui s'impliquent dans « notre maison avec humanité et amour ». Elle a évoqué la considération mise en oeuvre, « c'est notre force, c'est ce qui nous encourage ». Dans la foulée, elle a annoncé les phasages des travaux de ce vaste chantier – dont le coût s'élève à 9,7 millions d'euros. « Les délais sont tenus, on a même une petite avance », s'est-elle félicité, « fin août/début septembre, sera menée la première opération tiroir avec le déménagement de 50 résidents, puis une seconde opération tiroir se déroulera en 2020, le temps d'aménager les locaux médicaux, les salles de motricité et du conseil d'administration. Dans les locaux actuels, on est obligé de pratiquer la kiné dans les couloirs, après le chantier ce ne sera plus qu'un vieux souvenir, on aura une vue plus dégagée sur le jardin ». Pas de doute, pour les 86 résidents de « La Colombe », ces voeux sont une étape au coeur de ce chantier qui annonce de beaux lendemains. (Photos Thierry Thorel)
|
Une formation pour améliorer le temps de la restauration scolaire |
|
|
Jeudi, 17 Janvier 2019 11:45 |
Quelles solutions concrètes pour valoriser le temps du repas des enfants et les savoir-faire, favoriser l'éveil au goût et la réduction du gaspillage alimentaire ? C'est pour répondre à ces questions qu'une formation est organisée par la Ville dans le cadre du programme « Vivons en Forme » au profit des équipes municipales affectées à la restauration scolaire dans les écoles publiques (personnels en salle, en cuisine). Ainsi, une quinzaine d'agents pour chacun des différents pôles de restauration (Brel/Picasso, Neruda, Kergomard, Jaurès/Curie) participent à cette formation animée par Agnès Lommez de « Vivons en Forme ». Il s'agit de faire progresser la relation encadrant-enfant, d'aider le personnel à servir le repas adapté à l'âge de l‘enfant, à diminuer le bruit… Autant d'axes d'amélioration sans coût financier pour faire évoluer l'organisation. Pour cela la formation théorique développe 12 modules : savoir-faire, actions autour de l'organisation des repas, implication des enfants, gestion des comportements alimentaires, actions autour de l'éveil au goût, valorisation des fruits, des légumes, de l'eau, réduction du gaspillage alimentaire… Une mise en pratique suivra la théorie durant les deux à trois mois à venir et une seconde intervention est programmée en mars/avril pour donner du sens au temps périscolaire (jeux, relaxation…). (Photos Romane Turpin)
|
A « La Maisonnette », premier rendez-vous de l’année autour de la galette |
|
|
Mercredi, 16 Janvier 2019 10:20 |
Retrouvailles conviviales le 15 janvier en fin d'après-midi aux MAC « La Maisonnette », rue Destombes, à l'occasion du partage de la galette des rois par les enfants, les parents et le personnel de la crèche familiale « Les Petits Compères ». Moment savoureux et fraternel qui a précédé la mise en route de l'atelier « Baby signs » animé par Raphaëlle, assistante maternelle, et Nathalie, auxiliaire. De même un atelier d'approche « Snoezelen » va être proposé prochainement. Mais l'heure était d'abord au partage de la galette en présence de Graziella Desurmont, responsable de la structure, et de toute son équipe bienveillante ! |
Des cahiers de doléances à votre disposition à l’Annexe-Mairie |
|
|
Mercredi, 16 Janvier 2019 10:01 |
Suite à la réception de la lettre du Président de la République, et conformément à sa demande, Rodrigue Desmet, Maire de Roncq et l'ensemble du conseil municipal ont souhaité mettre à disposition des citoyens, depuis le 15 janvier 2019, des cahiers de doléances afin d'ouvrir le grand débat national. Quatre cahiers reprennent ainsi les quatre grandes thématiques proposées par l'Etat, et un cinquième cahier est ouvert pour les remarques diverses. Les personnes souhaitant participer à ce débat et déposer leurs doléances sont accueillies à l'Annexe-Mairie, rue Jules-Cornard, au guichet unique, du mardi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h, le samedi de 8h30 à 11h30. Une plateforme nationale est opérationnelle depuis le 21 janvier sur https://granddebat.fr/ |
|
|