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48 logements prendront place sur une parcelle près de l’école Saint-François |
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Lundi, 10 Septembre 2018 16:35 |
 Une nouvelle opération d'habitat portée par « Vinci Immobilier Résidentiel » verra prochainement le jour à Roncq, dans le Centre-Bourg, au niveau du 31 rue de la Latte, sur un terrain de 5278 m2 contigu au bâtiment historique de l'école Saint-François. 48 logements vont être construits, 34 en accession par « Vinci Immobilier » et 14 en location à vocation sociale par « Notre Logis ». On y trouvera un T1, 20 T2, 22 T3, 4T4 et un T5.
Sur cette parcelle arborée de 5278 m2, tous les arbres abattus seront replantés, sachant que ceux situés en fond de parcelle seront maintenus. L'entrée de cette nouvelle opération d'habitat d'une superficie plancher de 3211 m2 se situera à gauche de la batterie de garages. Elle sera constituée de deux immeubles distincts : le premier en R+1 d'une hauteur de 8,60 mètres abritera les 14 logements locatifs, le second en R+2 d'une hauteur de 11,60 mètres, plus éloigné, abritera les 34 logements en accession. Leur disposition respectera l'intimité du voisinage.
Les façades des deux immeubles seront traitées en brique et enduit avec un couronnement en bardage métallique sur les attiques. Une note champêtre et bucolique sera apportée à l'ensemble de la résidence. De nombreuses haies seront plantées afin d'individualiser des jardinets en rez-de-chaussée d'immeubles, 41 arbres de haute tige d'essences régionales seront plantés pour agrémenter les espaces verts. En ce qui concerne le stationnement, des places seront réservées pour les riverains.
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Le site Cosyn sera rendu à l’opération d’habitat le 15 octobre |
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Lundi, 10 Septembre 2018 11:39 |
 Au Blanc-Four, les travaux de démolition de l'ancien site Cosyn sont en cours depuis les dépôts des permis de construire les 29 juin et 12 octobre 2017. Là où étaient installées une entreprise de transports puis la société Cosyn spécialisée dans les emballages industriels en bois, les travaux de déconstruction se poursuivent dare-dare. Après avoir procédé par petites touches en consolidant les murs mitoyens ou en les restituant aux hauteurs réglementaires de deux mètres, l'entreprise Dhaze termine les démolitions. Table rase de ce site sera effective le 15 octobre prochain, date à laquelle débuteront les voiries et autres réseaux de l'opération d'habitat à venir sur ce site du Blanc-Four.
C'est en effet une très belle opération d'habitat qui se dessine sur ce site situé entre les rues de Linselles et de Lille, sur une superficie de terrain de 6153 m2. 67 logements Loginor et Notre Logis y prendront place, en faisant référence à l'histoire de ce quartier puisque le mot « sabotiers » - clin d'oeil à l'ancienne entreprise de fabrication de sabots - figurera en bonne place dans la dénomination de ce nouveau lotissement, tout comme celui des « Hauts de Roncq ».
46 appartements répartis dans deux collectifs (R+3) érigés en front-à-rue des rues de Linselles (32 logements Loginor en accession) et de Lille (14 appartements locatifs Notre Logis de type 2 et 3) borderont le coeur d'îlot constitué de 21 maisons mitoyennes de type 4 et 5 (14 maisons Loginor en accession avec jardin privatif, carport et 8 maisons Notre Logis avec jardin privatif et parking, 5 en location et 2 en location-accession, à noter une seule maison Notre Logis individuelle dans ce lotissement).
La commercialisation des maisons Loginor – plus d'infos au 03 20 65 74 74 ou sur www.groupe-loginor.com - débutera le mois suivant les démolitions et celle des appartements suivra. A titre d'exemple, une maison de trois chambres de 84 m2 avec carport et parking sera vendue à partir de 240 000€. |
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Remplacement des compteurs de gaz : mieux enregistrer vos consommations |
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Lundi, 10 Septembre 2018 01:00 |
 Actuellement, GRDF a confié à l'entreprise « Solutions 30 » la réalisation de travaux de changement de votre compteur de gaz naturel. Cette opération selon GRDF qui prend en charge intégralement son coût, vise à assurer la fiabilité d'enregistrement de vos consommations conformément à la réglementation en vigueur.Le détail de la brochure dans l'album photos ci-joint.
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Le travail titanesque du CRHL pour sortir un ouvrage-référence |
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Jeudi, 06 Septembre 2018 18:17 |
 Désormais, le journal de Félix Decottignies est devenu un ouvrage, celui du Club Roncquois d'Histoire Locale. Ecrit sur la base d'observations quotidiennes, ce journal d'un notable de 58 ans plus proche du 19ème siècle que du 20ème siècle encore naissant, directeur de l'usine à gaz de Roncq située alors dans la même rue éponyme, était l'une des sources d'informations de la vie roncquoise durant les années 1914-1918 particulièrement éprouvantes pour une population qui s'est réduite comme peau de chagrin, passant de 6530 habitants en 1914 à environ 300 en 1918. Tel un entomologiste, Félix Decottignies a absolument tout noté dans son journal, jour après jour, du cercle familial aux réquisitions ordonnées par la Kommandantur, autant de constats implacables que de ressentis glaçants. De quoi noircir 1200 pages que les membres du CRHL ont pendant trois ans lues, décryptées, pour en tirer une synthèse passionnante et fouillée d'un peu moins de 200 pages. Comme l'écrit le président Pierre Guillemaud dans sa préface, se félicitant de ce travail collectif : « cet ouvrage nous permettra modestement de nous inscrire dans la lignée des « Passeurs de Mémoires » ».
C'est la synthèse d'un journal chronologique qui décortique une longue période d'occupation allemande de 1914 à 1918 avant la fuite des troupes ennemies et l'arrivée des soldats anglais. Plusieurs mots récurrents jalonnent ce récit sans complaisance : occupation, réquisitions, otages, punition, ravitaillement, armistice. Tout est dit ou presque.
« Le plus frappant, c'est l'âpreté de cette occupation », souligne Bernard Delval, secrétaire du CRHL, « il y avait quasiment autant de soldats allemands que de Roncquois, ils réquisitionnaient tous les jours, des pompes à eau jusqu'aux orties en passant par les pigeons, tout y passait dans les moindres détails jusqu'au piano de la famille Decottignies. C'était devenu un tel acharnement que lorsqu'il y avait un jour sans réquisition, cela paraissait anormal ». Située à 15 kilomètres du front, la commune sous tension et où tout manque cruellement est rapidement plongée dans la misère.
Une exposition salle Catry les 14 et 15 décembre
Pas de concession dans ce récit où la vie dans ses demandes les plus originelles reprend ses droits, la mitraille et l'effroi de la guerre sont omniprésents. Au bout de cet enfer, la vie reprend en octobre 1918 et Désiré Leurent, le Maire de l'époque, déclare la libération le 28. Rien de particulier le 11 novembre 1918, l'hommage aux morts sera célébré plus tard. Le bilan de cette guerre à Roncq est terrifiant : 225 appelés et volontaires roncquois morts pour la France, 75 maisons entièrement détruites, 350 endommagées, 5 usines bombardées ou sabotées, écoles, mairie, hospice, église ont subi des dégâts.
Un soldat roncquois, Lucien Delahousse, dernier enfant d'une famille qui a créé le tissage de la Vallée, est mort en héros le 17 août 1917, tué au combat durant la 2ème bataille des Flandres près de Boesinghem. Simple soldat, puis caporal, sergent, sous-lieutenant et lieutenant, plusieurs fois blessé au combat, décoré de la Croix de Guerre avec palmes et de la Légion d'Honneur, sa brillante conduite au feu a été exemplaire. Le journal de Félix Decottignies qui a traversé un siècle grâce à sa famille trouve grâce au travail du CRHL une mise en lumière reconnue à l'heure d'une commémoration qui s'annonce poignante.
« Si Roncq m'était conté… d'après le journal d'un occupé en 14-18 Félix Decottignies », 10€, en vente dans les deux libraires roncquoises du Blanc-Four et du Centre-Bourg, renseignements auprès de Bernard Delval : 06 82 11 77 80
Exposition du CRHL les 14-15 décembre autour du centenaire de l'armistice du 11 novembre 1918, salle Catry avec présentation de 12 panneaux consacrés à des photos et documents relatifs à Félix Decottignies et à la 1ère Guerre mondiale
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L’ancienne voie ferrée va laisser place à la « Voie verte du Ferrain » |
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Jeudi, 06 Septembre 2018 16:35 |
 Dans quelques semaines, vont débuter sur plus de trois kilomètres, du « Pellegrin » au « Pied-de-Boeuf », les travaux de démontage de l'ancienne voie ferrée Halluin-Somain alimentant en charbon les usines textiles aux 19ème et 20ème siècles. Ce chantier qui consiste à enlever les traverses et les rails, sera mené par l'Etablissement Public Foncier, gestionnaire du site appartenant à la Métropole Européenne de Lille.
Dans l'attente de la réalisation du projet global de 11 km soucieux d'assurer une continuité des déplacements doux - d'Halluin à Tourcoing en passant par Roncq et Mouvaux -, et à la demande pressante du Maire auprès des services communautaires un aménagement PROVISOIRE sur le territoire roncquois de cette future « Voie verte du Ferrain » sera achevé au début du printemps 2019 afin d'accueillir notamment la prochaine édition des « Foulées Nature ». Avec une largeur double (trois mètres) de l'existante et une assise stabilisée comme aujourd'hui, cette voie verte deviendra un équipement de l'espace naturel métropolitain au service de la biodiversité et de déplacements alternatifs (marche et course à pied mais aussi vélo et PMR).
La « Boucle des 2 clochers » - du Lierre au Blanc-Four - est devenue depuis 2010 un chemin de traverse particulièrement apprécié des Roncquois mais pas seulement. Elle est devenue au fil des ans une référence en matière de qualité de vie et de cadre de vie qui font la renommée de Roncq. Prochainement, la partie ferrée de la « Boucle des 2 clochers » va donc être démontée et aménagée pour devenir l'une des composantes de la « Voie verte du Ferrain » intercommunale. Après des travaux de renforcement de l'ouvrage d'art situé au niveau de la rue de la Vieille Cour, de pose d'un matériau stabilisé, des équipements la jalonneront – zones de repos dotées de bancs, mobilier urbain renforçant la sécurité… - et deux passerelles seront même édifiées pour franchir à Halluin la RD191 et à Tourcoing le Grand Boulevard (Av. de la Marne).
Le chantier va débuter rapidement en cohérence avec l'actuelle implantation d'un réseau d'énergie thermique depuis le CVE. En effet, EPF va démonter les rails et les traverses de la voie ferrée de la rue du Dronckaert jusqu'au quartier des Francs à Tourcoing avant l'arrivée sur ce secteur de ce chantier d'implantation du réseau d'énergie thermique, actuellement en cours le long du Bd de l'Eurométropole. Le budget global d'aménagement de cette « Voie verte du Ferrain » pris en charge par la MEL – qui sera gestionnaire du site après sa mise en service – s'élève à environ 14 millions d'euros dont 9 millions d'euros pour la réalisation de la voie verte et 5 millions d'euros pour les ouvrages d'art (quatre à restaurer, un à créer).
En quelques repères
-La voie ferrée va être démontée sur plus de trois kilomètres par l'EPF à Roncq prochainement – cela pourrait démarrer dès le mois d'octobre - pour aménager la future « Voie verte du Ferrain » dont une réalisation PROVISOIRE sera terminée sur le territoire roncquois au début du printemps 2019
-Plus de 11 Km de cheminement formeront la future « Voie verte du Ferrain » sur le tracé de l'ancienne voie ferrée Halluin-Somain, d'Halluin à Tourcoing en passant par Roncq et Mouvaux, ce qui permettra de relayer en vélo Roncq à Lille en prolongeant l'itinéraire de la « Voie verte » par les pistes cyclables du Grand Boulevard
-Environ 14 millions d'euros, tel est le coût supporté par la Métropole Européenne de Lille pour réaliser cette « Voie verte du Ferrain » dont elle assurera la gestion. 9 millions d'euros seront destinés à la réalisation de la voie verte et 5 millions d'euros seront consacrés aux ouvrages d'art (quatre à restaurer, un à créer)
-Les travaux définitifs d'aménagement de la Voie verte du Ferrain seront réalisés à Tourcoing en 2021, à Roncq en 2022 (après l'aménagement provisoire effectué avant fin mars 2019), à Halluin en 2023. La passerelle enjambant la RD191 sera réalisée en 2024. |
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Jour de rentrée au foyer Michelet |
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Jeudi, 06 Septembre 2018 15:22 |
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Quelques jours après la rentrée scolaire, c'est au tour des seniors du foyer Michelet de se retrouver autour des traditionnelles « moules-frites ». Et ils furent nombreux au rendez-vous.
Cet évènement festif continue d'attirer les foules et faire salle comble.
Au cours d'une visite amicale, Rodrigue Desmet a félicité le président Angelo Contrafatto et toutes les participantes et participants à ce moment de convivialité. Et Antonio Da Silva a partagé ce repas de rentrée avec beaucoup d'appétit et d'enthousiasme !
Le repas s'est poursuivi sur les notes endiablées de l'orchestre et quelques pas de danse
Un bel évènement qui d'année en année continue d'attirer son public. |
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Actival II n’est plus que poussières avant l’arrivée d’une opération d’habitat |
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Mercredi, 05 Septembre 2018 16:38 |
 C'est une page de l'histoire textile roncquoise qui se tourne avec la réalisation d'une opération d'habitat de haute qualité sur les 12 000 m2 du site Actival II. Le projet portera sur environ 223 logements dont 71 locatifs sociaux et 44 en accession sociale. La déconstruction s'achève et table rase est faite sur près d'un siècle de cette activité textile. Impressionnant. Un concasseur réduit même en miette les blocs de pierre et autres briques des anciens murs émoussés.
Le tissage de drap avait été construit dans les années 1881-1884 par Désiré Leurent-Lefort. Mais en 1903, les fils Leurent associés décidèrent de transférer la draperie dans de nouveaux bâtiments de l'autre côté de la rue de Lille. A la veille de la 1ère Guerre mondiale, 520 personnes travaillaient chez Leurent, 110 au peignage, 110 à la filature. En février 1965, la Manufacture de draperie de Roncq a fusionné avec les Ets Motte-Dewavrin. Dans les années 70, le groupe produisait 12 000 tonnes de fil annuellement et était présent dans plus de quarante marchés étrangers.Mais en 1982-1983, victime de la situation difficile créée par les nombreuses restructurations de la maison-mère mouscronnoise et du contexte économique défavorable, le site roncquois a déposé son bilan, cessant son activité et licenciant ses 350 salariés. En 2011, près d'un hectare de l'ancienne friche industrielle a été attribué gracieusement à la commune par la Métropole Européenne de Lille.
Après avoir envisagé une destination culturelle et économique pour ce lieu, malheureusement avortée en raison du désengagement des différents partenaires institutionnels, l'action de la Ville s'est orientée en faveur d'une opération d'habitat, ce qui a nécessité un changement de zonage au Plan Local d'Urbanisme.
Place a été finalement cédée à la démolition de ce site Actival II – la partie Actival I a été transformée en 1986 en lieu d'hébergement pour activités économiques, industrielles, commerciales ou artisanales.
Le bailleur Vilogia érigera sur ce site de 11 333 m2 plus de 200 logements selon le triptyque suivant : 71 logements locatifs sociaux (32%), 44 logements en accession sociale (20%), et 108 logements en accession privée, opération confiée aux partenaires ICADE et COGEDIM. Priorité a été donnée aux T3 (118) et aux T2 (91) auprès des 10 T4 et 5 T5. (Photos Patrick Bonte)
Retrouvez l'histoire de ce site lors de l'exposition présentée aux Anciennes Ecuries les 15 et 16 septembre prochains dans le cadre des Journées européennes du patrimoine, sur le thème du patrimoine textile roncquois |
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Le nouveau visage de l’Annexe de la salle Jules-Gilles |
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Mercredi, 05 Septembre 2018 10:03 |
 La ville a vécu au rythme de quelques gros chantiers durant l'été : démarrage de la réhabilitation du Centre Technique Municipal en Pôle de ressources associatives et culturelles, démolition d'Actival II pour céder la place à un programme d'habitat de plus de 200 logements ou encore la réhabilitation de l'Annexe de la salle Jules-Gilles.
Concernant cette dernière opération, le chantier qui a démarré en juin s'est poursuivi à un bon rythme. Les anciens panneaux translucides et jaunis par l'usure du temps ont été remplacés par de larges baies vitrées posées sur des châssis en aluminium. L'effet est immédiat : la salle est devenue tellement plus lumineuse !
Pour apporter toujours plus de luminosité, elle a été entièrement repeinte en blanc, y compris le plafond, et les sanitaires et vestiaires ont été mis aux normes PMR (Personne à Mobilité Réduite). A la rentrée de septembre, c'est une annexe pimpante qu'ont retrouvé ses utilisatrices et utilisateurs, que ce soit les écoles, les associations (Eole…), etc. |
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