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Courriels et sites Internet frauduleux : la CAF met en garde |
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Jeudi, 26 Janvier 2017 16:36 |
 Si vous recevez un mail de la Caisse d'Allocations Familiales qui vous paraît suspect, où l'on vous demande notamment le numéro de votre carte bancaire, soyez plus que vigilant surtout si l'on vous promet un versement d'une somme conséquente. La CAF met en garde face à des sites pirates qui imitent celui de votre CAF. Pour cela, elle vous donne de précieux conseils que vous pouvez retrouver en cliquant sur le lien suivant :
http://www.caf.fr/actualites/2016/attention-aux-courriels-et-sites-internet-frauduleux |
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5ème Rétromécanic : Guy ou la passion de la restauration automobile |
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Mercredi, 25 Janvier 2017 19:05 |
 Guy Dhont n'est pas un retraité paisible. A 71 ans, il est même sur tous les fronts de l'activité : il rénove et agrandit sa maison de la rue de Lille tout en se consacrant à sa passion du tir sur cible, sans oublier un autre hobby pour les voitures anciennes. Pendant deux décennies, il n'a eu de cesse de redonner vie à des carrosseries à l'agonie, dénichées du côté de Ghyvelde, ou auprès d'un ami. « Il y a 20 ans, je voulais acheter une Harley Davidson mais mon épouse n'aurait pas pu en profiter », raconte-t-il, le regard à peine nostalgique, « alors on s'est dit pourquoi pas un cabriolet ancien ? »
Mais la belle anglaise – une MGB de 1965 dotée d'un moteur de 1800 cm3 – était plus proche de l'épave que de la voiture de collection. Durant quatre ans, le travail de Guy est sans relâche, été comme hiver dans son garage à l'espace limité. Il remet alors au goût du jour son ancien métier de tôlier-chaudronnier, démonte toutes les pièces de la voiture, du moteur au châssis en passant par la carrosserie. Il soude, ponce, enduit, rectifie le galbe des ailes et des portes, peint en cabine, démonte et polit les bielles, bref, il se démultiplie comme un couteau suisse pour parvenir à ressusciter magnifiquement cette MG à la beauté incomparable. « Je l'ai vendue parce que je n'avais pas suffisamment de place pour la garder », reconnaît-il avec un brin d'amertume, « financièrement je n'ai rien gagné mais j'ai éprouvé du plaisir pendant quatre ans », ce que confirme son épouse.
Qu'à cela ne tienne, il rachète une autre épave dans la foulée, au début des années 2000, cette fois une MGA de la même époque ou presque, toujours pour assouvir cette passion des belles anglaises. Le travail est le même, acharné, puissant, comme guidé par une foi, celle de l'esthétique automobile. La voiture renaît, étincelante après deux ans et demi d'efforts. Et Guy la revendra « parce que son moteur de 1600 cm3 n'était pas assez puissant pour l'emmener sur les autoroutes ».
Il a créé un tournebroche pour restaurer plus facilement une voiture !
Une TR4 de 1965 subira ensuite la même cure de jouvence après cette indéfectible et furieuse envie de la faire renaître de ses cendres. La démarche est incandescente tant le travail est intense. « Celle-là, je l'ai toujours, elle est puissante avec son moteur de 2,2 litres que j'ai entièrement nettoyé et son overdrive (une 5ème vitesse à commande électrique) qui lui assure plus de confort », témoigne-t-il. Avant, il roulait à la queue leu-leu quand il était inscrit à des clubs de collectionneurs, maintenant il se fait plaisir avec des amis, sillonne les petites routes, musarde et fait des haltes pour pique-niquer. « Je restaurerais toujours des voitures anciennes si j'avais un grand garage », soupire-t-il. On a quand même l'impression que le dernier chantier a été celui de trop, la restauration éprouvante d'une Triumph GT6 de 1969 pour laquelle il a même créé de toutes pièces une sorte de tournebroche pour mieux travailler dessus. « Je n'ai roulé que 500 Km avec cette voiture avant de la revendre », lâche-t-il sans remords.
Comme pour les précédentes éditions, il sera présent à la 5ème Rétromécanic, le 9 avril prochain dans l'écrin du parc Vansteenkiste. « J'aime bien m'y rendre pour rencontrer d'autres collectionneurs passionnés », assure-t-il, « je vais même faire venir des amis avec des engins jamais vus comme une moto-chenille ! » La flamme n'est décidément pas prête à s'éteindre…
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Vous fréquentez de plus en plus les supports numériques de communication |
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Mardi, 24 Janvier 2017 19:25 |
 Début 2010, la ville lançait l'Espace famille pour vous simplifier la vie. Fini les chèques, fini les coups de fil ! Depuis 7 ans, vous pouvez gérer en ligne des démarches courantes liées à la restauration scolaire, à la garderie périscolaire, aux accueils de loisirs… Vous pouvez aussi accéder à votre espace personnalisé à l'aide du code famille et d'un mot de passe fournis par le Guichet unique de l'Annexe-Mairie à votre demande. Sur l'Espace famille, les factures peuvent être réglées en ligne au moyen d'une carte bancaire, par transaction sécurisée.
Depuis, vous vous êtes appropriés cet outil numérique comme le nouvel « Espace citoyens ». Pour vous en convaincre, sachez qu'en décembre 2016, 345 familles s'y sont connectées pour 6031 connexions enregistrées durant le mois et 320 paiements en ligne ont été effectués.
La municipalité se devait d'être en phase avec le monde moderne pour faciliter la vie quotidienne et souscrire à des services dématérialisés, plus soucieux de la préservation de la planète. De nouveaux pas sont ainsi franchis. Vous avez été également 1500 visiteurs uniques par jour à consulter le site www.roncq.fr en moyenne en 2016 et la web TV www.roncq.TV a été vue depuis son lancement en décembre 2012 près de 500 000 fois ! |
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Six nichoirs pour chauves-souris ont été installés à l’Annexe-Mairie et au Centre culturel |
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Jeudi, 19 Janvier 2017 17:13 |
 Le 19 janvier, la société « Solution by Stael » spécialisée dans la biodiversité et dans les services de protection contre les nuisibles végétaux et animaux a installé six nichoirs destinés aux chauves-souris, quatre sous la charpente du Centre culturel au parc Vansteenkiste et deux sous celle de l'Annexe-Mairie. Et deux entrées ont été installées sur les toitures de ces bâtiments, l'une à même le toit à l'Annexe-Mairie, l'autre au-dessus d'une fenêtre des combles au Centre culturel.
Le principe est simple : une entrée et dans les combles, sous la charpente, des planches fixées entre les chevrons pour permettre aux chauves-souris de se faufiler en-dessous et donc de s'abriter. Une toile noire a même été installée sous chaque nichoir pour recueillir les fientes de ces petits mammifères. Ce dispositif complète les briques installées dans le blockhaus du giratoire de l'Europe où, là également, a été pratiquée une ouverture sur la porte d'entrée.
Les chauves-souris sont en danger en raison de la destruction de leur gîte de repos. Seraient-elles victimes de clichés encore tenaces ? La chauve-souris est pourtant bénéfique car elle est grande consommatrice d'insectes et protège ainsi indirectement les plantations (vergers…). En lien avec l'intervention d'un référent biodiversité et ingénierie écologique de l'EPF (Etablissement Public Foncier), la Ville a décidé de mettre à la disposition de ces mammifères au vol battu une vingtaine de gîtes de repos.
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Echange de vœux à la Maison de retraite « La Colombe » |
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Jeudi, 19 Janvier 2017 16:46 |
 Le 19 janvier, s'est déroulé un échange de voeux à la Maison de retraite entre Mme Nina Muteba, la directrice, Blandine Lejeune, animatrice, et la Ville représentée par trois élues, Chantal Nys, Adjointe aux Fraternités locales, Claudine Zahm, Conseillère municipale déléguée à l'Ecole dans la ville et Peggy Robert, Conseillère municipale déléguée au Handicap et à l'accessibilité. L'occasion de se souhaiter une bonne année et une bonne santé, l'occasion aussi pour Chantal Nys d'associer à ces voeux les résidents, le personnel, les bénévoles de « Réconfort et Sourires », et d'espérer des avancées du projet de restructuration de l'établissement de même qu'une signature rapide de la convention qui doit permettre la mise en place d'une unité mobile d'ophtalmologie-gériatrie au profit des EPHAD comme « La Colombe ».
Mme Muteba a témoigné de l'amour et des valeurs humaines que portent les résidents, « ce qui nourrit la satisfaction du personnel et des bénévoles, toujours heureux de travailler à vos côtés ». La directrice a remercié également tous les agents (soins, animation, lingerie, restauration…) qui oeuvrent à la bonne marche de « La Colombe ». « Je vous souhaite une très belle année et s'il y a des difficultés, on les affrontera ensemble », a-t-elle souligné. Blandine Lejeune s'est également jointe à ces voeux en n'oubliant pas de citer et d'associer l'association d'animation « Réconfort et Sourires » ! |
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Repas à domicile : qui peut en bénéficier et quand ? |
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Mercredi, 18 Janvier 2017 18:21 |
 Le service de repas à domicile est proposé à toute personne roncquoise ayant une perte d'autonomie liée à un handicap et titulaire d'une carte d'invalidité à 80 %, au vieillissement, à un problème de santé et se trouvant momentanément dans l'impossibilité de préparer un repas (sortie d'hospitalisation, fracture…) sur une durée limitée. En décembre 2016, 79 personnes ont pu ainsi bénéficier de cette prestation dont 54 étaient âgées de plus de 81 ans et 9 en situation de handicap ou en traitement maladie. En janvier 2017, on recensait 74 bénéficiaires et 20 inscrits pour les repas du dimanche, soit un quart des effectifs.
Depuis le 1er janvier 2017, la préparation des repas a été confiée à une entreprise privée de restauration sous la forme d'un groupement de commande CCAS de Tourcoing/CCAS de Roncq. Les bénéficiaires sont satisfaits des repas servis, appréciant autant la qualité des ingrédients que leur quantité. Chaque mois, les livreurs proposent aux bénéficiaires deux menus pour le mois suivant, sachant que l'inscription est automatique pour le repas A, le menu B pouvant être demandé auprès du livreur au plus tard le 15 du mois en cours. De même, le service peut proposer aux bénéficiaires des repas mixés, il leur suffit d'en faire la demande auprès du CCAS dans les mêmes délais.
Les livreurs ont un rôle primordial de lien social avec les bénéficiaires. Ils sont formés et connus par les retraités et ce sont également des relais d'informations entre les bénéficiaires et le CCAS. La participation demandée par la Ville par repas varie entre 2,47€ et 5,84€ selon les ressources des bénéficiaires. Dans le même temps, ces menus sont également servis au resto convivial, tous les mercredis en dehors des vacances scolaires au restaurant scolaire de l'école Pablo-Neruda (participation de 7€ pour le menu A). |
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Une gestion durable des espaces publics |
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Mercredi, 18 Janvier 2017 12:45 |
 La Ville de Roncq se préoccupe de la gestion durable des espaces et met en oeuvre un ensemble d'actions : suppression totale depuis trois ans de l'utilisation des produits phytosanitaires, recours aux traitements herbicides (cimetières, terrains de sport…) à l'exception des terrains de foot, mise en place d'un activateur de biologie du sol au détriment des engrais minéraux (terrain de foot)…
Trois récupérateurs d'eau de pluie, de 100 m3 au total, ont été installés. Ce qui a permis à la Ville d'être autonome en 2015 pour l'arrosage. Le paillage a été étendu à l'ensemble des massifs pleine terre de la ville. Pour favoriser la biodiversité et limiter l'émission de gaz à effet de serre, certaines pelouses sont gérées en fauche tardive par les équipes municipales ou par des agriculteurs. A raison de deux fois par an, que ce soit au parc rural du Blanc-Four, le long de la Boucle des 2 clochers ou encore du côté de la plaine Saint-Roch… la fauche avec un Rotofil ou avec un bras articulé monté sur un tracteur est préférée à la tonte pour mieux respecter la faune (insectes, mammifères) et la flore. Ainsi, Avenue de Flandre, la tonte est pratiquée aux abords des pistes cyclables et la fauche au-delà. Autant d'actions issues du plan de gestion différenciée rédigé en 2011.
En matière de propreté, la Ville a lancé des grandes opérations de nettoyage hebdomadaire : pistes cyclables, fossés, abords des grands axes, carrefours stratégiques… Une journée propreté de la ville a été initiée en mai 2016 pour sensibiliser la population autour d'un slogan : « une ville propre, c'est tous les jours l'affaire de tous ». Ce service municipal dédié à la propreté dispose depuis 2010 d'un véhicule électrique et de divers matériels électro-portatifs.
Un travail de communication a été mené pour éviter que des badauds jettent de la nourriture à la surface des étangs de la ville, ce qui a comme conséquence directe la mort progressive des canards. En effet, les nourrir est néfaste pour leur santé, il est à l'origine de regroupements d'oiseaux et de surpopulation qui favorisent le développement de maladies. Le nourrissage dégrade l'environnement, pollue le milieu aquatique, favorise le développement des populations d'espèces nuisibles. |
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Biodiversité : l’étang du Bois Leurent réaménagé en écrin biologique |
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Mardi, 17 Janvier 2017 19:11 |
 Roncq a toujours bénéficié d'un véritable label de ville à la campagne. Au 19ème siècle, les capitaines de l'industrie textile avaient déjà été séduits par l'environnement roncquois. Les « châteaux » d'hier abritent aujourd'hui la Mairie et l'Annexe-Mairie, la Bibliothèque ou encore l'Ecole de Musique. Leurs parcs ouverts au public, véritables poumons verts du Centre-Bourg, forment des ensembles arborés, dotés de larges pelouses et de plans d'eau. Balades, pêche, jeux pour enfants, boule sont autant d'activités pratiquées dans ces espaces centenaires enviés.
Le Bois Leurent
Aménagé en 2003 et ouvert au public, le Bois Leurent est devenu à la croisée de trois quartiers (Centre-Bourg, Blanc-Four, Chats-Huants) un site de loisirs « Nature » très prisé par la population locale mais aussi extérieure. Sur place, une plaine de jeux multisports est à la disposition du public (rampes de skate, street basket, football…), tout comme une promenade en platelage bois et un observatoire dominant la plaine de la Lys. Cet espace est également prisé pour l'organisation de compétitions labellisées, qu'elles soient sportives ou de plein air.
En février 2016, 400 plants de haies sauvages ont été mis en terre - pommiers et poiriers sauvages, églantiers, noisetiers, cornouillers, bourdaines… - pour favoriser l'arrivée de nouvelles espèces animales et permettre aux chauves-souris, papillons et autres insectes de s'installer durablement au Bois Leurent. L'étang sera réaménagé en 2017 en écrin biologique - curage, plantation d'une roselière pour traiter et filtrer naturellement l'eau, stabilisation et préservation des berges pour permettre aux oiseaux de nicher, enrochement le long de la rue de Lille, prairie inondée sur l'une des berges de l'étang pour le développement des batraciens et autres libellules… - pour revitaliser la faune et la flore. L'hippopotame rose trônera de nouveau au coeur de l'étang du Bois Leurent une fois les travaux de réaménagement de plusieurs mois achevés.
La Boucle des 2 clochers
Le Bois Leurent est aussi le point de départ de la Boucle des 2 clochers, parcours de randonnée pédestre et culturel d'environ 11 kilomètres, entre ville et campagne, dont plusieurs kilomètres ont été aménagés sur l'ancienne voie ferrée Tourcoing-Halluin. Un mobilier spécifique en bois FSC a été installé le long des parcours afin d'accompagner les nombreux randonneurs et joggeurs. Cette liaison constitue une trame verte qui s'inscrit dans le futur parc du Ferrain. Dès sa création en 2010, la Boucle des 2 clochers a bénéficié d'une gestion environnementale respectueuse en faisant appel à l'éco-pâturage ou au fauchage dans les abords et sur les accès.
Le square de « La femme assise »
Le square de « La femme assise », du nom de la sculpture d'Eugène Dodeigne, est l'un des éléments structurants de la requalification du coeur historique du Blanc-Four. Réalisé en 2011, ce square urbain intimiste s'inscrit dans le liaisonnement piétonnier entre les commerces, les écoles, la Maison de Quartier « La Marelle », la résidence « Le lavoir » et la Maison Petite Enfance. Les capelinages en pierre bleu et en brique, les bancs épurés en pierre, les arbustes plantés dans des pots et la diversité végétale font de ce jardin un espace de sérénité plébiscité par les habitants. |
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