Rue de la Vieille Cour : un sens unique à respecter |
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Mercredi, 09 Septembre 2015 15:25 |
Depuis le 4 mai dernier, la Métropole Européenne de Lille a procédé à la mise en sens unique de la rue de la Vieille Cour qui s'est enrichie en même temps de 17 nouvelles places de stationnement. Depuis la mise en place du sens unique, on ne circule plus dans cette rue que dans le sens rue des Martyrs de la Résistance/rue de Lille. Malheureusement, il suffit de rester un bref moment au bas de cette ancienne rue roncquoise pour déplorer le non respect de ce sens unique, une attitude de la part d'automobilistes peu attentifs ou peu scrupuleux pour le moins dangereuse. Ce ne sont pas les panneaux qui manquent, ni la signalisation au sol. Outre les deux panneaux plantés à l'entrée de la rue, juste après le square Decottignies, deux autres panneaux ont été placés tous les 150 mètres, jusqu'au niveau de l'ancienne ferme Lepoutre. Pas de quoi stopper les infractions. Et de voir, à l'heure du midi, une voiture rouge floquée d'un A de rouler à contre-sens jusqu'à la rue des Martyrs de la résistance. Un cas loin d'être isolé. Qu'on se le dise donc, la rue de la Vieille Cour est en sens unique, une mesure d'autant plus importante qu'une centaine de nouveaux logements sont prévus sur le site de l'ancienne ferme Lepoutre à l'horizon 2017 avec un démarrage de chantier en fin d'année. Autant dire que la circulation y sera dès lors plus importante.
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En fauteuil électrique, Tony lance un appel au civisme |
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Mercredi, 09 Septembre 2015 14:42 |
Un simple trajet quotidien pour se rendre de la résidence du Goncourt, à l'angle de la rue Barbusse et de l'av. de Flandre, au stade Michel-Soen ou dans le Centre-Bourg se transforme en galère pour Tony Judas, 22 ans, installé à Roncq depuis six mois. La faute aux poubelles en souffrance sur les trottoirs, aux voitures mal stationnées et autres obstacles intempestifs. Même le facteur se plaint de cet incivisme quotidien, obligé de se mettre en danger sur la chaussée pour distribuer le courrier. C'est dire l'importance de la règle qui prévaut : les poubelles doivent être rentrées, une fois vidées par les éboueurs d'Esterra. Sur son fauteuil roulant électrique, Tony déplore cette situation chaque jour. Atteint d'une maladie neuromusculaire (myopathie de Becker), il est cloué sur son fauteuil depuis tout petit. Ce qui ne l'empêche pas de pratiquer le foot en fauteuil handisport dans un club de Villeneuve d'Ascq ou de supporter l"équipe fanion de l'Etoile Sportive Roncquoise qui brille en ce début de saison.
Sanctionner le stationnement irrégulier
Les 140 kilos du fauteuil roulant incitent encore plus à la prudence. Il ne parvient pas à franchir l'entrée du stade Michel-Soen, près de la Maison des Associations, en raison de l'étroitesse et de la déclivité de l'accès où, comble de malchance, se situe une plaque d'évacuation des eaux impossible à franchir en fauteuil. Autant de détails invisibles pour les valides qui deviennent insupportables pour les non valides. Il en va ainsi de bordures trop hautes rue de Lille ou encore de voitures qui stationnent à l'entrée même de son immeuble d'habitation, résidence du Goncourt, lui bloquant le passage. Alors, Tony en appelle au civisme des Roncquois(es) pour que ce qui devrait être une habitude ordinaire ne se transforme à chaque fois en cauchemar quand il joue aux équilibristes sur un trottoir ou se met en danger en raison d'une poubelle ou d'un véhicule mal garé. Bientôt, les policiers municipaux devront s'employer à maintenir le partage de l'espace public en sanctionnant le stationnement irrégulier sur la totalité du territoire roncquois. Avec des amendes qui sont passées de 35€ à 90€ si elles sont payées dans les 15 jours. |
Gaz : nouvelle canalisation, nouveaux branchements au Blanc-Four |
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Mardi, 08 Septembre 2015 16:32 |
Depuis le début de l'été, le secteur des rues de la Montagne et de Tourcoing vers la rue de Lille est rythmé par un chantier lié au gaz de ville et réalisé par un prestataire privé pour le compte de GRDF. Dans un premier temps, tous les branchements des particuliers de la rue de la Montagne ont été reliés à une canalisation plus récente, en lien avec la construction de la résidence « Le Lavoir ». Cette opération est terminée et elle entre désormais dans sa seconde phase. Suite à une avarie constatée à l'angle des rues de Tourcoing et de Lille, il a été observé une faiblesse du réseau de gaz sur le tronçon situé entre les rues de la Montagne et de Lille. Des excavations ont été pratiquées et une nouvelle canalisation sera posée ce jeudi 10 septembre. Puis, durant quelques semaines, seront réalisés les branchements aux particuliers, soit une vingtaine d'habitations. Si la circulation n'est pas affectée par ce chantier, qu'elle soit automobile ou piétonne, en revanche le stationnement est actuellement impossible entre les rues de la Montagne et de Lille, du côté des numéros pairs, le temps de l'achèvement de ce chantier. Pour les techniciens présents sur place, cette opération est également l'occasion de placer les compteurs des particuliers à l'extérieur des maisons. |
Une résidence innovante pour dix adultes autistes autonomes |
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Samedi, 05 Septembre 2015 20:12 |
C'est un projet rêvé qui débouche sur une première ouverture de ce type en France et qui suscite de l'intérêt et de l'admiration dans toutes les grandes villes de l'Hexagone. Le dispositif Habited dont l'idée a germé en 2012 au sein de l'association ISRAA fondée par Fabienne De Oliviera va se traduire en novembre à Roncq, rue de la Montagne au Blanc-Four, par l'hébergement de dix jeunes adultes autistes autonomes originaires de la métropole, deux femmes et huit hommes âgés de 20 à 34 ans et choisis parmi 22 candidats(es). Comme Louise et Vianney, deux des futurs locataires de la résidence « Le lavoir », ils travaillent en ESAT ou en milieu ordinaire, sont en formation professionnelle ou en études supérieures, voire demandeurs d'emploi. Leur point commun ? Ils présentent des TED (Troubles Envahissants du Développement), caractéristiques de l'autisme. Dans leur nouvelle résidence composée de dix studios de type 1 Bis (un peu plus de 30 m2) et d'un T4 d'environ 80 m2 qui servira de lieu de vie commun, ils bénéficieront d'un encadrement optimal avec trois temps plein et demi sur place – des aides médico-psychologiques comme Frédéric, diplômé d'Etat, qui accompagnera les résidents dès la préparation du matin et dans tous les gestes de la vie quotidienne jusqu'aux sorties, qu'elles soient sportives ou culturelles, un auxiliaire de vie sociale - dont un salarié-repère qui restera présent sur place en permanence. « Cela a été rendu possible grâce à la mutualisation de la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) accordée par le Département », précise Vincent Huet, directeur général de l'association AMFD Métropole Nord Est - l'un des partenaires du dispositif Habited avec les Papillons Blancs ou le Centre de Ressources Autismes, « ce qui permet de dégager 598 heures d'accompagnement par mois pour renforcer et développer l'autonomie des personnes accompagnées qui s'acquitteront d'une redevance mensuelle de 498€, charges comprises mais sans tenir compte de l'APL».
Applaudissements lors de la réunion de présentation du projet
Le 5 septembre, une petite centaine de personnes a assisté à « La Marelle » à la présentation du projet qui a reçu le prix de l'Innovation du Conseil Général. La mixité de l'habitat avec une résidence de dix logements de type traditionnel et une autre, de même capacité pour dix jeunes autistes adultes autonomes, implantée sur le site d'un ancien pressing a été concrétisée grâce à des rencontres et des attentions très fortes, celles de Vincent Ledoux, Maire, d'Arnaud Delannay, directeur général du bailleur Notre Logis qui a construit les deux bâtiments, et bien évidemment de Fabienne De Oliviera, fondatrice de l'association ISRAA, la première à prendre son bâton de pèlerin pour parvenir à la mise en place de ce dispositif innovant d'inclusion de logements dans le milieu ordinaire couplés avec des services d'accompagnement pour favoriser la socialisation des personnes et leur autonomie. Ce jour-là, les familles des futurs locataires ont pu découvrir et se réjouir de la résidence intégrée dans cette centralité du Blanc-Four avec ses commerces et ses équipements publics. Ce projet a été chaleureusement applaudi par l'assistance venue le découvrir à « La Marelle », en présence de Rodrigue Desmet, 1er Adjoint au Maire, et de nombreux élus dont Peggy Robert, conseillère déléguée au Handicap, ou encore Chantal Nys, Adjointe aux fraternités locales. L'expérimentation pour laquelle le travail a démarré en 2012 se poursuivra jusqu'à la fin 2016. (Photos Thierry Thorel)
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« Le lavoir » : du pressing d’hier aux locataires d’aujourd’hui |
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Vendredi, 04 Septembre 2015 16:25 |
Les visages des nouveaux locataires de toutes générations, de 20 à plus de 60 ans, arboraient de larges sourires le 4 septembre, lors de la signature des baux salle Joël-Bats. Des sourires encore plus émus lorsque ces mêmes visages sont allés à la découverte de leur futur logement, dans cette petite nouvelle résidence construite sur l'ancien site industriel d'un pressing, rue de la Montagne au Blanc-Four. Reste à y vivre ensemble, de façon collective comme l'a souligné le Maire, Vincent Ledoux, à y passer de bons moments. Car cette résidence exemplaire a été particulièrement convoitée comme l'a fait remarquer Arnaud Delannay, Directeur de la société d'habitat « Notre Logis ». « J'apprécie, ce n'est pas une trop grande résidence et elle très bien située », souligne Laurence, 42 ans, plus heureuse que jamais à l'idée de tourner une page de sa vie en intégrant ce nouveau logement. « Cela me convient très bien », ajoute d'un ton enjoué Dominique, 61 ans. « J'ai vécu 20 ans dans ce quartier, alors vous imaginez le plaisir que j'éprouve », s'enthousiasme Sophie, 45 ans. Cette résidence originale de dix logements locatifs T2 et T3 fait l'unanimité. « On est très sensible au bien-vivre ensemble », confie Arnaud Delannay, s'adressant aux futurs locataires, « vous avez d'ailleurs beaucoup de chance car nous enregistrons de 8000 à 10 000 demandes pour un parc de 5000 logements. Et il est très difficile de louer un appartement à Roncq, commune très recherchée. Cet immeuble que vous allez intégrer a été conçu de façon écologique au coeur d'un quartier privilégié ». Vincent Ledoux se félicite de la construction de cette résidence comme de celle située à l'arrière et destinée à de jeunes autistes adultes autonomes. « Dans ce quartier entièrement reconfiguré avec le parking, La Poterie, la Maison Petite Enfance, la Maison de quartier « La Marelle », cette opération d'habitat contribue également à la requalification du secteur », rappelle-t-il, « il vous reste à apprendre à connaître vos voisins, à y développer les valeurs du collectif. La ville se renouvelle avec vous aujourd'hui ». Ascenseur, garages, portail d'entrée, balcons, autant de prestations très appréciées par les locataires qui se verront remettre les clés de leur appartement le 29 septembre prochain. |
Neruda : nouveau self, nouvelles salles de TAP |
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Mardi, 01 Septembre 2015 14:37 |
L'école Neruda n'avait pas connu pareille métamorphose depuis bien longtemps. Lors du premier service de restauration, le 1er septembre, les enfants de CP, de la CLIS, et tous les autres ont découvert le self nouvellement installé dans l'ancienne cuisine centrale. Si la base de l'installation a été déménagée depuis l'ancienne école primaire publique du Centre-Bourg, nombre d'équipements tout neufs ont été ajoutés : des armoires réfrigérées ou de décontamination, des tables ou encore le module des desserts (avec vitrine fermée pour préserver la fraîcheur) composant la chaîne du self. L'ingéniosité a accompagné cette refonte des espaces de cuisine à l'école Neruda. Ainsi, les calories dégagées par la hotte dans la partie de restauration chaude sont récupérées pour permettre de compléter le chauffage des autres espaces (self, salle de restauration), à la manière d'une pompe à chaleur. En ce jour de rentrée, 131 enfants ont apprécié les carottes rapées, le céleri rémoulade ou encore l'omelette dans un cadre totalement rafraîchi. Une capacité d'accueil qui peut monter à 180 couverts, voire au-delà comme le souligne Lionel Dorchies, coordinateur de la restauration de la Ville. Même enthousiasme partagé l'après-midi du côté des deux nouvelles salles de TAP (Temps d'Activités Périscolaires) où les premiers enfants accueillis par Amélie et Florence de l'UFCV ont apprécié les salles fraîchement ripolinées et baignées de lumière. Il ne reste plus qu'aux enfants à se consacrer à des activités créatrices avec de la construction de fusées d'un côté et avec de la réalisation de travaux culturels de l'autre ! (Photos Thierry Thorel) |
L’école Néruda devient « un pôle pour le primaire » |
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Mardi, 01 Septembre 2015 10:41 |
Au coeur du Lierre, l'école Neruda a accueilli quatre classes supplémentaires et un self-service ce 1er septembre, jour de rentrée scolaire pour environ 1400 enfants roncquois dans les différents établissements publics et privés de la ville. Durant tout l'été, pendant sept semaines, l'école a ressemblé à une ruche où les techniciens ont fait feu de tout bois pour que l'école soit prête à temps. Une véritable prouesse réalisée par différents services municipaux sous la conduite de Christophe Dumont, Architecte de la Ville, et saluée le jour de la rentrée par Thibault Tellier, Adjoint à l'Action éducative. Il y avait un peu d'appréhension, vite dissipée, sur les visages des enfants et des parents mais l'image qu'on retiendra ce matin-là à l'école Neruda, c'est un établissement qui a retrouvé sa pleine mesure et des classes toutes occupées et regroupées par niveau avec les cours préparatoires d'un côté, les cours élémentaires de l'autre, ou encore les cours moyens au rez-de-chaussée. Le directeur, Martial Gilles, et son équipe pédagogique ont accueilli pas moins d'une centaine de nouvelles familles en ce jour de rentrée. « L'école Neruda rénovée devient un pôle primaire et c'est la vocation naturelle de l'établissement », souligne Thibault Tellier, très sensible à la notion de communauté éducative, « l'équipement est maintenant utilisé de façon optimale comme il l'était à la fin des années 1990. Les élèves y sont accueillis dans les meilleures conditions ». L'ancienne cuisine centrale a été transformée en office de réchauffage dans le cadre de la liaison froide instaurée avec Tourcoing. Le self de l'école Pergaud a été remonté dans l'emprise de l'ancien espace cuisine de l'école Neruda. Originalité : le self a été installé derrière un mur percé de quatre entrées. Quant aux anciennes réserves de la cuisine centrale, elles laissent désormais place à des salles d'accueil pour les TAP (Temps d'Activités Périscolaires), les ALSH ou les garderies périscolaires. Reconquête de la morale républicaine
La salle de restauration a été entièrement réaménagée de façon ludique, dotée d'un sol souple en PVC de couleur bleue, d'un plafond acoustique suspendu dans une tonalité blanche et bleue, d'un éclairage à LED… La marche en avant a bien évidemment été respectée dans le respect de la réglementation en vigueur pour les liaisons froides et chaudes. Dans le même temps, trois salles de classes et une salle de réunion (TAP, Jeunesse…) ont été rafraîchies à l'étage durant l'été ainsi qu'une autre salle de classe du rez-de-chaussée. Sans oublier l'installation de six tableaux numériques interactifs. Bref, l'école Neruda a vécu un été intense pour mieux écrire son avenir. « En ce qui concerne les Temps d'Activités Périscolaires, l'accent sera porté cette année sur le Développement Durable et la reconquête de la morale républicaine dans un maillage entre temps scolaire et TAP », ajoute Thibault Tellier. Toujours à l'initiative de la Ville, la restructuration de l'école primaire publique du Lierre ne s'arrêtera d'ailleurs pas là : durant l'été 2016, place sera cédée à d'autres opérations, modernisation du chauffage, remise aux normes de l'électricité, pose de plafonds acoustiques, travaux d'isolation, aménagement de la cour, installation d'un préau et, pourquoi pas, aménagement d'un potager. (Photos Thierry Thorel)
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Le bout de la rue du Billemont va faire peau neuve |
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Lundi, 31 Août 2015 17:24 |
Dans sa partie comprise entre le Bd de l'Eurométropole (RD 191) et la limite de territoire vers Halluin, la rue du Billemont va faire peau neuve en cette fin d'année 2016. Des travaux sont en effet placés sous la maîtrise d'ouvrage de la Métropole Européenne de Lille et se déclinent de la manière suivante : reconstruction des trottoirs avec zone de stationnement du côté des habitations, prolongement des trottoirs jusqu'aux passages piétons du Bd de l'Eurométropole, nouveau tapis de chaussée. Les riverains peuvent consulter le plan aux heures d'ouverture de l'Annexe-Mairie. Cette opération valorisera ce secteur régulièrement fréquenté par les automobilistes comme les piétons, à deux pas de la Ferme aux abeilles. |
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