Où est donc passé l'été ? |
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Mercredi, 20 Août 2014 10:00 |
Comme vous l'avez certainement remarqué, l'été 2014 est bien triste avec un ciel souvent nuageux, des précipitations abondantes et des températures bien en-dessous des normales de saison. A qui la faute ? A l'anticyclone des Açores qui est positionné dans l'océan Atlantique au large du Portugal et du Maroc et au système dépressionnaire scandinave. (Par David Ibanez, Côté Météo)
LA SITUATION ATMOSPHERIQUE ACTUELLE
La situation atmosphérique actuelle sur l'Europe n'est pas vraiment celle qu'on a l'habitude de voir au milieu de l'été. Nous avons un vaste système dépressionnaire qui est centré sur la Scandinavie et une grande zone de hautes pressions, aussi nommée anticyclone, qui occupe une grande partie de l'océan Atlantique Nord. Cette configuration apporte sur la majeure partie de la France un air frais et humide en provenance des Îles Britanniques et de la Mer du Nord ce qui explique les températures basses pour un mois d'août et un ciel bien ennuagé. Roncq étant située au nord de la France, tout près du Royaume-Uni et de la Mer du Nord, nous sommes directement impactés par ces conditions météorologiques dignes du début de l'automne.
NORMALES ET RELEVES DES MOIS DE JUILLET ET D'AOÛT 2014
Pour Roncq, la station météorologique de référence est celle de l'aéroport de Lesquin, au sud de la métropole lilloise, qui est exploitée par Météo-France. En juillet 2014, la température minimale moyenne est de 14.9°C (soit +2.8°C par rapport à la normale) et la température maximale moyenne est de 23.6°C (soit +0.5°C par rapport à la normale). Finalement ce mois de juillet semble tout à fait dans les normes climatiques pour le département du Nord mais la différence est plus flagrante sur d'autres paramètres d'observations. On relève 95.7 millimètres de précipitations en un mois ce qui excède de 58% la normale. Autre point remarquable l'ensoleillement, alors que la normale est de 213 heures sur le mois, cette année nous avons eu seulement 185 heures de Soleil soit un déficit de 13%. Pour début août 2014 (du 01/08 au 18/08), la température minimale moyenne est de 13.4°C (soit +0.4°C par rapport à la normale) et la température maximale moyenne est de 21.8°C (soit -1.3°C par rapport à la normale). Ces températures observées pendant la première quinzaine du mois reflète clairement un déficit au niveau des températures maximales. Mais le déficit touche également la durée d'ensoleillement avec 111 heures ce qui est largement en-dessous de la normale qui est de 160 heures (soit -44% de déficit). Au niveau des précipitations l'excédent prouve également le caractère maussade du mois avec 62.8 millimètres recueillis pour une normale 70.9 millimètres (soit +13%).
A QUOI S'ATTENDRE POUR LA FIN DU MOIS D'AOUT 2014 ? Généralement le temps va rester sensiblement le même. Un ciel rarement entièrement bleu, des averses fréquentes et des températures qui devraient peiner à grimper au-dessus de 25°C. DATE TEMPS T° 20/08 8° / 18° 21/08 9° / 19° 22/08 9° / 20° 23/08 11° / 19° 24/08 10° / 20° 25/08 11° / 22° 26/08 16° / 24° 27/08 15° / 23° 28/08 14° / 20° 29/08 10° / 18° 30/08 8° / 18° 31/08 7° / 17° |
Nouveaux rythmes scolaires : environ 80% d'inscrits |
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Mercredi, 20 Août 2014 09:52 |
La réforme des rythmes scolaires sera appliquée à Roncq dans les écoles publiques à compter de ce 2 septembre, jour de la rentrée scolaire. Alors que les inscriptions sont closes, environ 80% des enfants scolarisés à la rentrée prochaine devraient être inscrits aux TAP (Temps d'Activités Périscolaires). Voici, école par école, le point sur les prévisions d'inscriptions à ces TAP d'une demi-journée : -Maternelles : 80 enfants inscrits sur 101 à l'école Picasso, 55 enfants inscrits sur 69 à l'école Triolet, 67 enfants inscrits sur 86 à l'école Marie-Curie, 90 enfants inscrits sur 114 à l'école Kergomard. -Primaires : 124 enfants inscrits sur 156 à l'école Brel, 98 enfants inscrits sur 124 à l'école Neruda, 90 enfants inscrits sur 117 à l'école Jaurès, 98 enfants inscrits sur 130 à l'école Pergaud.
La nouvelle organisation mise en place
Voici comment se présentera la nouvelle organisation de la semaine scolaire à compter de ce 2 septembre: -Enseignement les lundis, mardis, jeudis et vendredis de 8h30 à 11h30 et de 13h30 à 16h30 ainsi que le samedi de 8h30 à 11h30. Un après-midi, de 13h30 à 16h30, sera réservé par école aux TAP (Temps d'Activités Périscolaires) -Le service de restauration scolaire sera assuré comme auparavant et aux mêmes horaires -Une garderie accueillera toujours les enfants le matin de 7h30 à 8h30 (excepté le samedi) -Il y aura étude le soir pour les écoles primaires de 16h30 à 17h30 sauf le jour des TAP - Les accueils du soir en garderie seront avancés : de 16h30 à 18h30 (au lieu de 19h) pour les écoles maternelles, de 17h30 à 18h30 (au lieu de 19h) pour les écoles primaires, de 16h30 à 18h30 (au lieu de 18h) pour les ALSH. -Les Temps d'Activités Périscolaires se dérouleront sur une demi-journée, l'après-midi de 13h30 à 16h30, selon le rythme suivant après tirage au sort pour les différentes écoles publiques, maternelles et primaires : le lundi pour le groupe Brel/Picasso, le mardi pour le groupe Triolet/Neruda, le jeudi pour le groupe Curie/Jaurès et le vendredi pour le groupe Kergomard/Pergaud. Ces trois heures consécutives permettront de participer à des activités ludiques, de loisirs et de découvertes (culture, sport et santé, développement durable, citoyenneté…). Elles seront encadrées par les agents territoriaux spécialisés dans les écoles maternelles (ATSEM), les éducateurs sportifs, des intervenants (Ecole Municipale de Musique, Bibliothèque…), des animateurs, du personnel d'animation employé par la Ville et du personnel enseignant. -Les tarifs varieront de 6€ à 14€ (15,50€ pour les non Roncquois) par période de l'ordre de cinq à sept semaines, de vacances à vacances, quels que soient l'âge de l'enfant, son assiduité et sa présence effective. - Ces TAP feront l'objet de préinscriptions (15 jours minimum à l'avance) et pré-facturations en amont de chaque période. Des pénalités de 2€ seront appliquées si ces préinscriptions ne sont pas enregistrées dans le délai requis.
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La Boucle des 2 clochers se refait une beauté |
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Mardi, 19 Août 2014 16:17 |
A l'initiative de la Ville, les techniciens de l'association de réinsertion par l'environnement CANAL ont, durant une quinzaine de jours en ce mois d'août, nettoyé plusieurs sites naturels ou publics très fréquentés : la Boucle des 2 clochers, les cimetières, les fossés du Bois Leurent, les becques ou encore le tronçon de la rue du Moulin fermé à la circulation. Désherbage, débroussaillage, taille, nettoyage, arrachage à la main, tous ces travaux difficiles ont été menés par plusieurs hommes d'entretien. Le résultat le plus spectaculaire est incontestablement visible le long de la Boucle des 2 clochers qui semble avoir été élargie le long de l'ancienne voie ferrée, après l'élimination des ronces et autres herbes folles. A certains endroits, réapparaissent d'ailleurs les traverses. Un travail âpre des plus utiles et qui sera très apprécié par les promeneurs et autres joggeurs ! |
Rue de Lille au Blanc-Four : la satisfaction des commerçants |
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Mardi, 19 Août 2014 15:18 |
Début août, la pose des derniers enrobés, rue de Lille au Blanc-Four, a finalisé la vaste opération de requalification du coeur du quartier, amorcée fin 2012 avec la démolition de l'ancien Multi-accueil « Les Galopins ». Les habitants ont dû faire preuve de patience face à l'ampleur des travaux mais ils apprécient d'autant mieux aujourd'hui le renouveau de leur cadre de vie. Les commerçants sont sans doute ceux qui apprécient le mieux l'opération d'envergure qui a duré près de deux ans. Ainsi, rue de Lille, la pharmacienne s'enthousiasme et se félicite de la qualité des chantiers réalisés mais aussi de la ponctualité mise en oeuvre : « c'est vraiment très bien, la rue de Lille est agréable et ce qui nous a vraiment fait plaisir, c'est le respect du timing, les derniers enrobés ont bien été posés en août et pas plus tard ». Même satisfecit du côté de la nouvelle boutique d'e-cigarettes, « Green Leaf » : « c'est super et il n'y a plus de poussière », reconnaît Leslie Vermon, la gérante. Il reste encore à assurer les plantations, ce qui sera fait en novembre. On y retrouvera des rosiers et des poiriers d'ornement pour rester dans la continuité de ce qui a été réalisé au niveau du parvis de l'église Saint-Roch. |
La libération de Roncq, il y a 70 ans… |
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Mardi, 19 Août 2014 09:26 |
Début septembre 1944, la commune de Roncq a retrouvé la liberté après avoir vécu des années sous le joug de l'armée allemande. Les moments sont rares, comme les photos de l'époque. Quelques Roncquois ont eu le réflexe dans la liesse collective de prendre des clichés historiques. Dès le 1er septembre, la vision des soldats allemands n'est plus la même, ils paraissent aux abois mais aussi fatigués. Le samedi 2 septembre, trois jours avant l'arrivée des Anglais, ce sont cette fois les FFI qui redoublent de prudence. Du côté des occupants, il n'y a plus de pelotons organisés, ni de véhicules de combats, l'armée en débâcle se fractionne et des groupes sporadiques errent ni plus ni moins dans la commune. Dans la soirée, des coups de feu se font entendre, on déplorera même une victime. Un groupe de SS motorisé investit le château Tiberghien avant de repartir le lendemain matin après une nuit très calme. Le 3 septembre, des soldats allemands se constitueront prisonniers et seront bien traités. Les Roncquois s'activent et prennent les armes. Mais c'est d'un camion allemand lancé à vive allure vers Bousbecque que vont crépiter les armes des soldats ennemis. C'est un miracle si, en ce dimanche, il n'a pas fallu déplorer de victimes dans la commune. C'est le 5 septembre, en début d'après-midi, que les premiers engins et véhicules alliés arrivent à Roncq où ils défileront jusqu'au soir avec des arrêts plus ou moins longs. On saura plus tard que la colonne s'étirait jusqu'à Halluin. La joie éclate sur les pavés de la rue de Lille, remplacés la veille du déclenchement de la guerre. Les chenillettes défilent comme aux plus beaux moments du 14 juillet. Les soldats anglais étaient épuisés et on distinguait sur leurs véhicules des trophées de guerre, essentiellement des casques de soldats allemands. Sur les véhicules de ces libérateurs, des antennes de plusieurs mètres venaient heurter les lignes de haute tension destinées aux tramways, ce qui provoquait de jolis bouquets d'étincelles rue de Lille ! Les Anglais restent néanmoins sur leurs gardes. Sur un camion, un militaire tient toujours la commande d'une mitrailleuse légère prête à tirer, en prévision d'une attaque de la colonne par un éventuel avion de chasse allemand. Mais le défilé des libérateurs a tourné à la fête, au point d'en oublier le casque et de tenir un drapeau français ! Beaucoup de Roncquois leur ont alors offert des fruits venant de leur jardin ou de leur verger. La journée victorieuse, en ce mardi 5 septembre 1944, est ponctuée par des jets de fleurs sur les libérateurs.
Nous sommes délivrés!
Dans la presse, dans l'édition du 5 septembre 1944 de Nord Eclair, on pouvait lire un communiqué de Louis Blanckaert, membre de l'Assemblée consultative provisoire d'Alger, qui exprimait le sentiment collectif de libération : « Nous sommes libres ! L'heure de la libération… Elle fut belle et réconfortante avant d'être. Depuis quatre ans, elle hantait nos rêves et occupait nos pensées. A l'avance, nous en imaginions les aspects et en goûtions l'exaltante allégresse. Elle a enfin sonné ! Et notre joie est telle que nous n'arrivons pas à en comprendre toute l'étendue, toute la portée. Au sortir d'un long tunnel, il arrive que les yeux, éblouis par l'éclatante lumière, ne perçoivent ni la profondeur des horizons, ni la multiplicité des objets, ni la magnifique diversité des couleurs. Mais ils voient la lumière. Et cela suffit à enthousiasmer. Nous émergeons des profondeurs d'une nuit sinistre. Pillés, traqués, déportés, condamnés au travail forcé abrutis par le mensonge officiel, nous ne savons peut-être plus très bien la précieuse richesse, la royale beauté de la liberté. Mais nous nous sentons LIBRES. Et cela suffit. REPETONS-LE. NOUS SOMMES DELIVRES. LIBERES. LIBRES. LIBRES D'EXPRIMER UNE PENSEE INDEPENDANTE. Nous sommes délivrés ! Après quatre ans de la plus lourde, de la plus violente oppression, l'ennemi a été chassé. Nous sommes libres ! Vaincu, abattu, un peuple demeure grand et force le respect universel s'il demeure digne dans son malheur, s'il garde sa fierté. Si puissant que fut son armement, si lourde que fut sa botte, l'Allemagne ne pouvait rien contre notre honneur. Le honteux armistice, l'ignominieuse rencontre de Montoire, l'odieuse adhésion aux thèses allemandes sur les origines de la guerre et de l'ordre nouveau, ont été pour les patriotes, la pire des épreuves. Mais Pétain n'était pas la France ! Le sursaut du général de Gaulle a aussitôt dissocié la France de l'infâme tourbe des défaitistes de Vichy. Libérés des mensonges de la collaboration, nous sommes libres. Libres d'avoir une pensée et de l'exprimer. Libres de chercher la vérité. Libres de vouloir la justice.“ Dès le 27 août, nous diffuserons une vidéo-entretien sur www.roncq.fr et sur http://www.youtube.com/user/villeroncq, reprenant des témoignages d'anciens Roncquois ayant vécu la Libération dans leur commune.
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Candidats à l’émigration : le village de Sélinkégny endeuillé |
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Lundi, 18 Août 2014 17:35 |
Le lundi 28 juillet, au large d'Al-Khom en Libye, une embarcation de fortune a coulé avec environ une grosse centaine de migrants à bord dont 87 Maliens parmi lesquels figurait une majorité de jeunes issus du Nord du cercle de Bafoulabé. Parmi les disparus (plus de 70 ?), on recense trois figures de Sélinkégny, commune malienne jumelée avec Roncq depuis 1987, un parent du président de l'Association pour l'aide au développement de Sélinkégny à Paris, le dernier fils de l'Imam Moussa et le fils de Bakary Kébé, président de l'Association de gestion du Centre de santé communautaire de Sélinkégny. Hubert Ledoux, l'un des membres fondateurs du jumelage-coopération, témoigne suite à des contacts téléphoniques : « il ressort que la majorité de ces jeunes étaient partis en véhicule, la plupart du temps séparément, par les déserts nigérien et libyen. Ils se sont retrouvés dans le port d'Al-Khom un peu par hasard et ont décidé de s'embarquer ensemble. « C'est la première fois que nous avons des morts dans nos villages. Nous avons décidé d'interdire cette route à nos jeunes, car c'est vraiment trop dangereux… », a confié le fils du chef du village. »
"Le passage varie autour de 1000 euros"
Très rapidement, les Maliens de Paris se sont réunis en présence des ressortissants des villages du nord du cercle de Bafoulabé. Les témoignages, recueillis par Hubert Ledoux, ont été poignants : « En Libye, il suffit de se mettre en contact avec les passeurs maliens qui ont pignon sur rue à Bamako. Quant le nombre de candidats est atteint et qu'une "barcasse" fabriquée à la hâte est disponible, les passeurs y entassent les candidats à l'émigration et ne prennent même plus la peine de fournir un pilote. Ils questionnent les candidats au voyage sur leur aptitude à manier un moteur et à se diriger à la boussole". "On part de nuit pour éviter les vedettes de la marine libyenne qui patrouillent en permanence, sous la responsabilité des 2 ou 3 migrants qui se relaieront au moteur pour piloter le bateau. Le voyage dure de 2 à 4 jours. Si on coule, les passeurs et ceux qui ont livré le bateau, ont disparu, on a personne à qui réclamer. Eux ils ont juste perdu le moteur et quelques litres d'essence. De Bamako à Tripoli, on s'en sort avec 150 euros, le passage varie, quant à lui, autour de 1000 euros. Chaque mois, il y a des milliers de Maliens qui quittent le pays. »
Le jumelage Roncq-Sélinkégny avait tout mis en oeuvre pour éviter un tel drame
La migration est l'expression du désespoir des jeunes : « quand on a arrêté l'école trop vite, on n'est pas lettré, on ne trouve pas de travail, alors il nous reste l'aventure…" Ils quittent aussi la brousse pour gagner d'autres régions maliennes « où on trouve de l'or ». Un Sélinkégnois déplorait dans un message : "depuis des années nous entendons parler de tels drames chez des connaissances ou dans des villages voisins mais nos villages n'ont jamais été concernés, c'est très dur pour nous." " Cette tragédie a été vécue comme un coup de tonnerre à Sélinkégny et dans la zone de Bafoulabé", témoigne Patrick Lecomte, président de Roncq-Sélinkégny, "ça touche directement des gens impliqués dans le jumelage liant Roncq et Sélinkégny, des gens qui voulaient justement éviter cela. La plupart des victimes sont issues de la zone qui entoure Sélinkégny. Certes, se manifeste une volonté de ne plus les laisser partir mais d'autres filières existent. Face à la volonté du désespoir, les frontières tombent. Ces jeunes connaissent très bien les risques qu'ils prennent mais ils le disent eux-mêmes, ils n'ont plus rien à perdre. Je souhaite qu'on remette toutes ces questions sur la table, avec les Maliens de Paris." "Notre objectif reste le même", reprend Patrick Lecomte, "l'association Roncq-Sélinkégny continuera à faire en sorte que ces jeunes Maliens puissent naître et vivre au pays. L'association a participé à la mise en place d'un plan de formation de gestion administrative et financière, destiné à plus de soixante personnes. Elle a permis la création d'une vingtaine d'emplois alors que les besoins en artisans sont énormes au Mali, elle a permis la réussite de Khalidou Kébé, aujourd'hui brillant étudiant en droit numérique à Paris. Sans ces aides, que serait devenu le village de Sélinkégny dans le contexte actuel?" Autre constat terrible rappelé par Patrick Lecomte: "une personne qui émigre du Mali fait vivre 20 à 30 personnes au village". Dès lors, comment empêcher que de tels drames se renouvellent?
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Ces nouveaux logements qui donnent du rythme à la Ville |
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Lundi, 18 Août 2014 16:10 |
A l'aube de la rentrée scolaire, s'épanouissent de nouvelles façades aux tons dynamiques. Il s'agit des nouvelles résidences construites en différents points de la Ville ou tout simplement réhabilitées. Ainsi, la résidence Bellevue, av. Paul-Vansteenkiste, à l'entrée de la rue de Bousbecque, recueille l'enthousiasme des badauds, appréciant le bardage de couleur argent mat ou encore les balcons de couleur prune. Cette réhabilitation mise en oeuvre par Notre Logis va se prolonger par celle de la résidence « Les Hêtres », rue Eugène-Pottier, dont le démarrage est imminent. Autres façades remarquées : celles des trois immeubles qui composent la résidence « Côté Parc », opération menée conjointement par Bouygues Immobilier et Notre Logis. Les propriétaires du premier immeuble ont reçu leurs clés fin juin, comme deux autres propriétaires du second immeuble où 19 logements sont mis en location par un investisseur. Le premier bâtiment accueillera quant à lui ses locataires prochainement. Enfin, du côté du Dronckaert, on ne peut pas être insensible au charme des bardages en bois des cinq plots qui composent la résidence « Les carrés verts », une réalisation de Notre Logis, entre la Boucle des deux clochers et la plus ancienne rue roncquoise. A l'entrée de cette résidence, une Maison Relais de 15 studios attire également l'attention. C'est le Roncq contemporain du XXIème siècle qui s'écrit ainsi, à la fois résidentiel mais aussi économique avec l'arrivée du parc d'activités Pierre-Mauroy dont on devine déjà le tracé de la future voie d'accès, entre le CVE et l'hôtel Formule 1. |
Un 15 août heureux malgré un ciel capricieux |
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Vendredi, 15 Août 2014 18:44 |
La pause champêtre a été respectée comme il se doit le 15 août, au coeur de l'été, même si le ciel peu inspiré a joué les rabat-joie dans le parc du Bois Leurent. Mais comme chaque année, à l'initiative du service animation de la Ville, pique-nique et animations ont composé un menu festif et bucolique, dès 12h et durant tout l'après-midi. Barbecue, parasols, mini-golf, toboggan pour les enfants où se dressait un impressionnant Superman, jeux traditionnels de kermesse, bref, il ne manquait aucun ingrédient à des retrouvailles très appréciées. Bonne humeur et bonne chère étaient au rendez-vous auquel ont amicalement participé Vincent Ledoux et Rodrigue Desmet, Maire et 1er adjoint, sans oublier de nombreux représentants associatifs, à commencer par les secouristes de la Croix Blanche ! (Ph. Thierry Thorel) |
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