La rentrée très suivie du Resto convivial |
|
|
Mercredi, 04 Septembre 2019 15:57 |
Le 4 septembre, à l'heure du déjeuner, 34 séniors de plus de 65 ans inscrits au Resto convivial ont repris leurs bonnes habitudes en se retrouvant dans la salle de restaurant de l'école Neruda, rue Pierre-Brossolette dans le quartier du Lierre. Entre la vingtaine de fidèles de la première heure, les adeptes venu(e)s au fil du temps et les nouveaux(elles) participant(e)s, toutes et tous sont unanimes pour témoigner des vertus de cette formule alliant convivialité, gourmandise et retrouvailles entre ami(e)s, parfois de jeunesse. Prochainement, des petites animations intergénérationnelles – avec les enfants des Accueils de loisirs du mercredi – rythmeront ce moment privilégié de partage et de fraternité. Le resto convivial créé par la Ville pour permettre aux seniors de tisser des liens autour d'un repas mérite plus que jamais d'exister. Car, pour 7 euros, c'est bien plus qu'un repas de qualité qu'on vient partager. « Le plaisir de se retrouver », telle est la formule magique du resto convivial. Au menu ce 4 septembre : apéritif, potage à la tomate, crudités, paupiette de saumon et jardinière de légumes, fromage et poire en guise de dessert. Alors, si vous voulez vous aussi vivre de semblables moments d'émotion et de partage autour d'un repas de qualité comme celui servi le 4 septembre, jour de rentrée du Resto convivial, n'hésitez pas à vous y inscrire auprès du Guichet Unique de l'Annexe-Mairie au 03 20 25 64 27 ou
Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
|
Une rentrée scolaire sans (trop) de stress et avec méthode |
|
|
Lundi, 02 Septembre 2019 12:17 |
1292 enfants ont fait leur rentrée scolaire ce lundi 2 septembre sans (trop) de stress, voire avec entrain et enthousiasme pour certaines et certains d'entre eux. A l'école Neruda, parents et enfants étaient au rendez-vous, à l'affût des tableaux affichés dans la cour, dans l'attente fébrile des premiers pas dans la nouvelle classe. C'était particulièrement le cas pour les élèves de CP de Slimane Mamèche qui effectuaient leur première rentrée dans la « grande école » après avoir connu la maternelle.
Nous les avons suivis main dans la main, dans leur fièvre pudique, nous les avons épiés et nous avons été très agréablement surpris par leur entrée brillante dans leur nouvelle école. M. Mamèche leur a donné leur matériel, pots à crayons, stylos, pochettes transparentes pour transmettre des documents à leurs parents et, bien sûr, « le » livre de lecture intitulé « Mona ». Tout a été réglé comme du papier à musique, les enfants ont vite pris possession de cette nouvelle école et, à l'heure de la récré, se sont éparpillés comme une volée de moineaux dans la cour. A n'en pas douter, la rentrée pour ces enfants de CP, c'est déjà une vieille histoire ! (Reportage texte et photos Patrick Bonte) |
Lancement de l’association « Zéro déchet » à « La Source » |
|
|
Dimanche, 01 Septembre 2019 18:47 |
Dernièrement, vient d'être créée à Roncq l'association « Zéro Déchet » présidée par Sandrine Varlet. L'objectif est de sensibiliser et de mobiliser les Roncquois de manière ludique et efficace afin de réduire la production de déchets sur le territoire communal. Le 1er septembre, l'association as'est fait connaître du grand public avec un pique-nique organisé à « La Source ». Cela a été l'occasion de rencontrer les fondateurs de l'association, de retirer vos bulletins d'adhésion (non obligatoire) et surtout de partager un bon moment. Au programme : quelques stands d'initiation au tri sélectif, au furoshiki (technique d'emballage japonaise réutilisable), aux éponges tawashis (éponges zéro déchet fabriquées avec du tissu de récupération), à des produits maison à découvrir… « On souhaite réunir le plus possible de familles roncquoises pour les sensibiliser au zéro déchet », souligne Julia Plancke, vice-présidente de cette nouvelle association, « nous enregistrons déjà 300 familles connectées sur notre page Facebook créée en février dernier, l'objectif est que chaque Roncquois(e) puisse venir à son rythme intégrer notre association. Nous prévoyons un planning d'actions, les adhésions donneront droit à des avantages lors des temps forts à venir (conférences, ateliers, animations) ». (Photos Thierry Thorel) Prochains rendez-vous : deux temps de nettoyage les 21 septembre de 14h à 16h sur la Voie verte et 22 septembre rue de Lille après le marché aux Puces |
1292 enfants feront leur rentrée le 2 septembre dans les écoles |
|
|
Dimanche, 01 Septembre 2019 01:00 |
La rentrée scolaire se déroulera ce lundi 2 septembre pour les élèves des écoles maternelles et primaires de la Ville ainsi que pour les collégiens, celle des enseignants le vendredi 30 août. 1292 enfants sont inscrits dans les écoles publiques et privées de Roncq (777 dans les écoles publiques, 515 dans les écoles privées), des effectifs en très légère baisse par rapport à l'an passé où ils étaient 1312. La stabilité se confirme néanmoins dans les écoles publiques – 777 élèves contre 788 il y a un an - comme dans les écoles privées – 515 enfants contre 524 l'an passé. On enregistre une fermeture de classe à l'école Neruda après le départ à la retraite de Mme Vasseur (classe de CP) qui ne comptera plus que neuf classes dont une CLIS pour 206 élèves. Du côté des directions d'écoles, ce sera également la grande stabilité en cette rentrée de l'année scolaire 2019/2020. (Photos archives Thierry Thorel)
Les effectifs des écoles maternelles publiques (272 enfants contre 284 l'an passé et 348 il y a deux ans) -Ecole Marie-Curie : 56 enfants dans 2 classes (59 l'an passé dans 2 classes) -Ecole Picasso : 91 enfants dans 4 classes (93 l'an passé dans 4 classes) -Ecole Kergomard : 125 enfants dans 5 classes (132 enfants l'an passé dans 5 classes)
Les effectifs des écoles primaires publiques (505 enfants contre 504 l'an passé) -Ecole Jaurès : 128 enfants dans 5 classes (128 enfants l'an passé dans 5 classes) -Ecole Brel : 171 enfants dans 7 classes + 1 classe externée (176 enfants l'an passé dans 7 classes) -Ecole Néruda : 206 enfants dans 9 classes dont une CLIS (200 enfants l'an passé dans 10 classes dont une CLIS)
Les effectifs des écoles privées (515 enfants contre 509 l'an passé) -Ecole Saint-Roch : 211 enfants dans 8 classes, 85 maternelles et 126 primaires (212 enfants l'an passé dans 8 classes) -Ecole Saint-François : 304 enfants dans 11 classes, 88 maternelles et 216 primaires (312 enfants l'an passé dans 11 classes) |
Ateliers d'été à l’Ecole de Musique: belle satisfaction des parents |
|
|
Vendredi, 30 Août 2019 17:44 |
Durant cette longue pause estivale et jusqu'à la fin août, l'EMM a proposé d'aborder la musique autrement de manière ludique, créative ou pédagogique, grâce à des ateliers qui se sont adressés à tous les publics ainsi qu'aux élèves ou potentiels futurs élèves de l'école. Vous avez été nombreux à vous inscrire à ces ateliers qui rythment les périodes de vacances scolaires. C'est une nouveauté qui, à chaque rendez-vous, fait de plus en plus d'adeptes - près d'une centaine durant cet été 2019 - et cela d'autant plus que le programme proposé s'adresse à tous, débutants compris. Pierre Facon, professeur de l'EMM, a ainsi fait découvrir à Romane la Musique Assistée par Ordinateur. Apprendre à enregistrer, à conserver une trace des morceaux interprétés, à rajouter des instruments… c'est à tout cela que Romane s'est prêtée avec passion, sur la base de l'une de ses chansons favorites, « Always Remember us this way » de Lady Gaga.
D'autres ateliers ont animé cette dernière semaine d'août : création de chansons pour les 10-16 ans, éveil musical et découverte d'instruments pour les 4-6 ans, découverte d'instruments pour les 7-10 ans, semaine brésilienne batucada pour les 7-10 ans, violoncelle ou encore musique de chambre. Parmi les moments forts, on retiendra celui de la restitution de l'atelier batucada (percussion brésilienne) et de la création d'une chanson à partir de quatre mesures. Les parents, pleinement satisfaits, ont vivement applaudi les prestations des enfants accompagnés de leurs encadrants.
|
De drôles de masques aux « Mercredis à la Source » |
|
|
Jeudi, 29 Août 2019 18:09 |
Pour ce nouveau rendez-vous des « Mercredis à la Source », le 28 août, dix enfants de 7/10 ans et dix enfants de 4/6 ans ont confectionné des masques avec lesquels ils sont repartis. Ce joli thème a débouché sur une production parfois inattendue avec des expressions aussi fantaisistes que mystérieuses. De quoi assurer quelques effets en rentrant chez eux ! |
Rue du Moulin : circulation difficile, fermée par intermittence |
|
|
Jeudi, 29 Août 2019 10:59 |
Le projet d'aménagement de la rue Moulin se concrétise grâce à l'action conjointe des services municipaux et de la MEL, afin d'améliorer la qualité de l'espace public en organisant une voie réelle de circulation, des aires de stationnement et une zone de rencontre. Le chantier qui a démarré en janvier dernier se poursuit avec l'aménagement des réseaux. Après l'assainissement, la Ville intervient actuellement au niveau de l'enfouissement des réseaux aériens (réseau basse tension, éclairage public et télécom). La société Next TP chargée de mener ce chantier informe régulièrement les riverains des désagréments générés avec des fermetures temporaires du tronçon situé entre la résidence des Lauriers et la rue du Moulin, sachant qu'il est toujours possible de passer d'un côté ou de l'autre. L'enfouissement de ces réseaux cédera la place en fin d'année à l'aménagement de la voirie. La rue du Moulin, à l'instar de la rue de la Vieille Cour, figure parmi les priorités d'aménagement urbain. Voici, pour rappel, les grandes lignes de la requalification de cette voirie longue de 400 mètres : aménagement de 92 places de stationnement dont 73 places marquées, soit 33 places supplémentaires, aménagement d'une zone de rencontre, à savoir un espace partagé entre tous les usagers avec priorité aux piétons et limitation de la vitesse des véhicules à 20 km/h, entrée « traversante » de la rue du côté de la rue de Tourcoing, enrobé noir pour le stationnement, rouge pour les autres espaces avec marquage des carrefours, limitation de la signalisation pour plus de lisibilité, zones de dégagement… De son côté, la Ville prend en charge l'éclairage public et les espaces verts de la rue du Moulin.
|
Le 20 août 1944 à Roncq, quinze jours avant la Libération |
|
|
Mercredi, 28 Août 2019 17:20 |
En 1970, Hubert Ledoux, jeune journaliste de la presse quotidienne régionale, recueillait le témoignage de Jean-Baptiste Deryckers, résistant actif depuis juillet 1941 au sein du Groupement Cuvelier, demeurant rue des Chats-Huants, aujourd'hui rue Henri-Barbusse. Voici ce témoignage qui raconte comment la ville de Roncq a vécu sa libération, il y a 75 ans :
« En cette fin de mois d'août 1944, Roncq, bourgade de moins de 5000 habitants à l'époque, connaissait une « fin de guerre » laborieuse mais sans incidents. Les troupes allemandes étaient sous pression et craignaient les actes de sabotage de la Résistance. Il convenait d'être prudent, notamment de respecter les consignes de couvre feu et de s'accommoder des multiples barrages et contrôles impromptus qui ponctuaient la vie quotidienne. Ce 20 août 1944, vers 6h du matin, en ouvrant ses volets, Mme Vaneste–Polderman, demeurant 38, rue Wallerand, dans le quartier du Faubourg, aperçoit, errant dans la rangée de maisons, un grand gaillard paraissant exténué, vêtu d'une combinaison d'aviateur et parlant une langue qu'elle ne comprenait pas... Elle le fit entrer chez elle car les troupes allemandes occupaient toujours la commune et les patrouilles étaient fréquentes, surtout rue de Lille, la Nationale 17 menant de Lille à la Belgique. Vers midi, ayant mis dans la confidence Melle Vandenabeele, une voisine, celle-ci s'adressa au curé de la paroisse Saint-Piat, l'abbé Constantin Vandenhautte. Cet ancien professeur était un fin lettré qui parlait sept langues étrangères. Il vint donc rencontrer l'individu et l'interrogea pour en savoir davantage sur son identité et son histoire.
Une forteresse volante abattue au-dessus de Gand
Il apprit ainsi que le soldat Floyd John Gray, natif du Colorado, servait dans l'US Air Force en qualité de navigateur, à bord d'un B 17, un bombardier plus communément connu sous le nom de « forteresse volante » ; l'appareil avait été touché dans la région de Gand, en Belgique. Les huit occupants avaient sauté de 6000 mètres. Rescapé en compagnie d'un camarade de bord, ils se cachèrent dans un bois durant deux jours avant de se décider à gagner la frontière française à travers champs ; l'abbé Vandenhautte établit qu'ils avaient abouti rue de Mouscron, à Menin. Là, ils aperçurent des uniformes (en fait des douaniers). Ils résolurent de se séparer pour tenter leur chance et franchir la frontière à travers champs… Ce que Floyd J. Gray fit, sans trop le savoir, dans le secteur du Mont d'Halluin. Il parvint ainsi aux abords de la brasserie Torris et du château Lamon, aujourd'hui les salons de l'Amphitryon et la résidence des Hêtres Rouges, la rue Alphonse-Loeul n'existait pas à l'époque (elle fut percée en 1954). Il traversa rapidement la rue de Lille, trop fréquentée, pour s'engager rue Wallerand. Pour se diriger, l'aviateur américain possédait une carte de France imprimée sur un mouchoir de soie qui, plié, tenait peu de place dans la poche ; en bas du mouchoir, un emplacement accueillait une mini boussole permettant de faire le point. C'est à l'aide de cette carte qu'il indiqua où il souhaitait se rendre : vers l'ouest, Rouen ou Cherbourg. Il était également muni de photos d'identité, tirées aux États-Unis, en costume civil : précaution utile pour illustrer, le cas échéant, de faux papiers d'identité…
Pris en charge deux semaines par des résistants
L'abbé Vandenhautte prévint son vicaire, l'abbé Ghillebaert, dont il n'ignorait pas les activités dans la résistance. Ce dernier, avec le brigadier de police Léon Noiset, dirigeait depuis 1943 un réseau qui aidait les jeunes soucieux d'éviter les réquisitions du Service du Travail Obligatoire en Allemagne. Ils étaient en lien avec le réseau de renseignements « Zéro France », mais également affiliés à Sylvestre Farmer, animé par le capitaine Michel (Michaël Trotobas) dépendant des « Réseaux Action Buckmaster » du War Office anglais. L'abbé Ghillebaert, demande à Jean-Baptiste Deryckers, résistant actif depuis juillet 1941 au sein du Groupement Cuvelier, demeurant rue des Chats-Huants, aujourd'hui rue Henri-Barbusse, de prendre contact avec le groupe tourquennois commandé par Victor Derommelaere, inspecteur de police, leur interlocuteur dans la résistance, pour se renseigner sur la meilleure façon d'agir. Pendant ce temps-là, le prêtre cherchait un abri sûr et des vêtements civils, denrée assez rare après quatre ans d'occupation. Auguste Lehoucq-Joye fournit le costume ; Jean-Baptiste Deryckers les chaussures, et Joseph Couvreur, cultivateur demeurant carrière Madame Deflandre, acceptait d'héberger l'hôte encombrant. Une démarche d'autant plus courageuse qu'il cachait déjà son propre fils Louis, lui-même réfractaire au STO. Transfert discret au Blanc Four Mais, le 26, Joseph Couvreur devait se séparer de Floyd J. Gray, les voisins commençant à poser des questions sur « cet ouvrier qui ne parlait jamais » ! Jean-Baptiste Deryck ers vient chercher l'aviateur et, empruntant à pied des chemins de traverse un samedi après-midi, ils parviennent rue des Chats-Huants pour gagner la rue du Moulin au hameau du Blanc Four. C'est là qu'habite Louis Vanneste, tailleur, qui acceptait d'abriter Floyd J. Gray, ce qu'il fit jusqu'au 5 septembre. Léon Speleers, entrepreneur en battage de céréales rue des Chats-Huants, voisin de JB Deryckers, assura le ravitaillement durant toute la période. Durant neuf jours, Floyd J. Gray piaffait d'impatience, ses ordres étaient de rejoindre Rouen ou Cherbourg ; il avait d'ailleurs fallu plusieurs fois le calmer quand, dans le jardin Vanneste, il assistait à des combats aériens et faisait mine de tirer à la mitrailleuse sur les avions allemands ! Mais les instructions de la résistance étaient formelles : temporiser en attendant la libération toute proche ! Les troupes britanniques de Montgomery arrivèrent effectivement dans le secteur les 2 et 3 septembre et la Résistance s'emparait de Lille, issant le drapeau français sur la mairie le 3 septembre à 8h30 du matin. Ayant entendu dire que les troupes britanniques étaient arrivées à l'aérodrome de Bondues, Jean-Baptiste Deryckers enfourche son vélo le 4 septembre au matin et emprunte la rue du Dronckaert ; à la sortie de Roncq, à hauteur du carrefour de la Croix Blanche, il aperçoit, venant de Linselles, une Jeep américaine, qui s'avère être montée par des officiers britanniques. L'un d'eux parlant un français correct, se montra surpris d'apprendre que la résistance cachait depuis près de 15 jours, un aviateur américain. La jeep suivit le cycliste jusqu'à la rue du Moulin dont toute la population était sur le pas des portes ! Pensez, après 4 ans d'occupation, voir arriver les libérateurs dans son quartier… Les officiers s'entretinrent avec l'aviateur et lui donnèrent rendez-vous le lendemain 5 septembre à 15 h, à l'aérodrome de Bondues.
Une fête d'adieu le 5 septembre
Les officiers repartent dans l'allégresse générale, mais renvoient rapidement une estafette pour fixer un nouveau rendez-vous : les armées anglaises devant partir immédiatement en direction de Bruxelles, il fallait conduire l'aviateur américain le lendemain à 15 h, à la préfecture du Nord à Lille cette fois. Le 5 septembre à midi, une fête d'adieu est organisée chez Jean-Baptiste Deryckers, rassemblant une vingtaine de personnes qui avaient, de près ou de loin, aidé le soldat allié ; l'occasion de se faire photographier avec le héros du jour, dans le potager derrière l'habitation. Après avoir pris de multiples photos avec ses « sauveteurs », Floyd J. Gray partit vers Lille et fut remis aux autorités militaires. La Famille Deryclers-Homez reçu deux lettres de Florian Gray, respectivement datées du 1er novembre et du 21 décembre 1945, dans lesquelles il fit part de son amitié.
En 1947, toutes les familles ronquoises qui avaient directement aidé l'aviateur américain reçurent un certificat officiel mentionnant : « Votre aide à nos combattants tombés en France vous vaut l'estime et la reconnaissance du gouvernement des États-Unis ».
Un grand merci à Hubert Ledoux pour l'apport de ce témoignage précieux |
|
|