« Fraternités : comment en parler ? » : Jean-Claude Demessine rencontre les enfants |
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Mardi, 10 Avril 2018 11:05 |
Nouveau temps fort du projet « Fraternités » co-construit par le service Education de la Ville et la circonscription Tourcoing/Roncq de l'Education Nationale : les enfants de 11 classes de CM1 mais aussi de CM2 rencontrent Jean-Claude Demessine, l'auteur de l'ouvrage pour la jeunesse « Deux brèves de guerre ». Les questions fusent et les réponses circonstanciées de M. Demessine émeuvent les enfants. Rodrigue Desmet, Maire, Arnould Vanderstuyf, Inspecteur de l'Education Nationale, et Martine Drodzinski, Conseillère pédagogique, ont assisté à l'une des interventions de M. Demessine. Loin de son travail d'enseignant à l'IUT de Valenciennes, Jean-Claude Demessine, 61 ans, replonge dans son enfance auprès de son grand-père Maurice né en 1904. Après avoir lu et travaillé sur son ouvrage « Deux brèves de guerre », les élèves ne manquent pas d'interpeller l'auteur pour mieux comprendre le vécu de cette période pendant la seconde guerre mondiale. « Quand mon grand-père m'a raconté son histoire, c'était tellement captivant que j'ai oublié de prendre des notes, ce que j'ai fait après », se souvient-il. Maurice habitait à Pérenchies et il menait durant la seconde guerre mondiale des actions de résistance, trop âgé pour pour être soldat. Dénoncé, il a été déporté à Dachau, en Autriche, embarqué en 1944 dans le funeste dernier train de Loos. Libéré par les Américains en 1945, il est rentré dans un état physique abominable, ne pesant plus qu'une trentaine de kilos, contraint de manger à la fin de sa captivité la paille sur laquelle il dormait dans le camp. Mais l'histoire du livre se déroule à Marcq-en-Baroeul, dans une ferme au carré située à l'emplacement de l'actuel hippodrome. Il évoque la ronde des pains, les privations et les réquisitions au coeur d'une région durement éprouvée et fortement bombardée. Jean-Claude Demessine a cherché à honorer la mémoire de son grand-père en essayant d'intégrer la Marine nationale et ainsi devenir militaire. « On a cherché à donner un métier à ceux qui revenaient des camps », reprend-il, « mon grand-père est ainsi devenu couvreur et a notamment réalisé le coq de l'église de Pérenchies ». Jean-Claude Demessine a été profondément marqué par le martyre de son grand-père en déportation et qui décèdera bien plus tard, à 75 ans. « Quand on déjeunait avec lui le dimanche, à un moment son regard furetait comme s'il était en danger et, brutalement, avec son doigt il ramassait toutes les miettes de pain abandonnées sur la table ». Cette seule remarque en dit long sur l'impossible retour à une vie normale de son grand-père qui, avant d'être déporté, ne comprenait pas pourquoi la fraternité n'était pas une règle pendant la guerre. (Reportage Patrick Bonte)
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6ème Rétromécanic : la foule au rendez-vous de la nostalgie mécanique |
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Dimanche, 08 Avril 2018 19:22 |
Une fois de plus et comme cela devient la coutume depuis la naissance de cette manifestation, le parc Vansteenkiste généreusement ensoleillé s'est transformé le 8 avril en somptueux écrin pour accueillir près d'un millier de carrosseries affriolantes d'hier. Avec une météo un peu plus capricieuse que les années précédentes mais néanmoins estivale, les collectionneurs de voitures anciennes étaient intarissables, à l'instar de Jean-François Lecoeur venu de Marcq-en-Baroeul avec son unique Bugatti 35 B de 1927 développant 170 CV, de Christophe Sandevoir de Lille parlant de sa DAF 31 de 1964 comme de son enfance, de Jean-Louis Depoers évoquant sa Saab sonett 3 de 1971, de Pascal Elvis d'Halluin ému devant sa Versailles verte de 1956 ou encore de ce collectionneur venu de Dunkerque avec une R12 galbée comme une Gordini sans oublier l'étonnante Hot Rod de 1929, l'équivalent de la C4 de l'époque. Et que dire de la balade effectuée en Triumph, Bugatti et Panther et dont nous vous montrerons les images dans notre reportage vidéo qui sera mis en ligne le 9 avril en fin de journée sur Roncq.TV. Cette manifestation qui se donne pour objectif de faire partager l'amour de la voiture et de tous les véhicules de plus de 25 ans a constitué un formidable hommage à ces carrosseries généreuses, mythiques ou non, qui ont incarné tant de désirs de vitesse ou de liberté ! Un florilège d'animations a accompagné ce temps fort dans le somptueux écrin du parc Vansteenkiste comme la bourse échange sur le parking (pièces détachées, miniatures, revues…) ou encore la « Fanfare funk » venue de Lille qui a donné du rythme aux véhicules anciens et fait concurrence aux klaxons tonitruants. La buvette affichait complet l'après-midi, l'après-midi familial s'est déroulé dans une ambiance bon enfant en présence notamment de Rodrigue Desmet, Maire de Roncq, Vincent Ledoux, Député, tous les deux ravis par un tel spectacle au coeur du Centre-Bourg, de même que Nathalie Cardon, Conseillère Municipale à l'animation et cheville ouvrière de la Rétromécanic. Une très belle réussite grâce à une organisation sans faille, que ce soit sur le plan de la sécurité, sans oublier la logistique et la circulation avec les services techniques, et le rôle primordial du service animation de la Ville. (Texte Patrick Bonte, Photos Thierry Thorel)
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Cure de jouvence de la Maison de retraite : une 1ère pierre avant 32 mois de chantier |
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Samedi, 07 Avril 2018 14:26 |
D'avril 2018 à novembre 2020, vont se dérouler les travaux d'extension et de restructuration de l'EHPAD « La Colombe », rue des Frères Bonduel. Le 7 avril, c'est une 1ère pierre symbolique qu'ont posé des résidents et les grands acteurs de ce projet qui a valeur d'humanité. La Ville y participe en accompagnant financièrement l'un des équipements relatifs à la salle de motricité. Coût total de cette opération : 9,74 millions d'euros supportés par l'Agence Régionale de Santé à hauteur de plus de 2 millions d'euros, par le Département à hauteur d'un million d'euros et qui garantit totalement l'emprunt, par des fonds propres de la Maison de retraite à hauteur de 300 000 euros et par l'emprunt contracté auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. Les propos ont été empreints d'humanisme pour mieux signifier l'exigence et l'efficience dans l'accueil des aînés roncquois dépendants. « L'hospice avait été créé il y a 160 ans, en 1858 », a rappelé Rodrigue Desmet, le Maire, « il s'agit aujourd'hui de consolider et de conforter l'EHPAD de Roncq car nous avons très à coeur cet art de vivre ensemble par le développement d'un parcours de vie pour nos seniors. Parallèlement à cette cure de jouvence de la Maison de retraite, nous allons développer une résidence innovante pour nos aînés sur le site de l'ancienne école Pergaud. Nous ferons en sorte que cet EHPAD puisse lui aussi rayonner dans le Centre-Bourg ».
"Cela vaut la peine de continuer à les accompagner"
Nicolas Thumerelle, l'architecte du projet de l'agence « form'@ architectes » sise à Bailleul, est revenu à grands traits sur ce que sera cette extension lumineuse et aérée et sur la restructuration de l'existant : agrandissement des 50 chambres individuelles (de 14 à 22 m2), création d'un Pôle d'Activités et de Soins Adaptés en lien avec l'Unité de Vie Alzheimer et pouvant accueillir 14 résidents, cuisine étendue et remise aux normes… Il promet aussi un chantier à faibles nuisances. Mme Muteba, directrice des EPHAD de Roncq et d'Halluin, a remercié vivement les personnels pour leur investissement au quotidien. « Chaque jour, nous croisons les regards des résidents et nous y voyons de la reconnaissance, une lumière qui vient du plus profond de leur coeur, cela vaut la peine de continuer à les accompagner ». Laurent Lourme, directeur-adjoint territorial au sein de l'ARS, a rappelé que « les pathologies et les dépendances des seniors surviennent plus tôt dans notre région par rapport au reste de la France. On cherche constamment à innover pour garder le plus longtemps possible les seniors à domicile mais ce projet d'extension et de rénovation s'avère nécessaire, au coeur d'une filière gériatrique de proximité (Maisons médicales, EPSM…) ». Geneviève Mannarino, Vice-présidente du Conseil départemental, venue visiter la Maison de retraite roncquoise il y a trois ans, reconnaît qu'elle a eu ainsi envie d'apporter des réponses à l'amélioration des conditions d'accueil des résidents. Vincent Ledoux, le Député, lui a emboîté le pas en rappelant qu'il a vu grandir les résidents d'aujourd'hui : « on veut le meilleur pour eux sachant que l'axe de progrès est considérable pour les personnes âgées à l'espérance de vie plus importante, je salue d'ailleurs les personnels pour leur travail considérable. » (Texte Patrick Bonte, Photos Thierry Thorel)
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Chasses aux œufs fournies du côté des « Petits compères » et des « Galopins » |
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Vendredi, 06 Avril 2018 18:01 |
Des oeufs, en veux-tu en voilà. Le 6 avril, sous un soleil printanier, c'était l'heure des chasses aux oeufs dans les structures d'accueil de la Petite Enfance. Tout a débuté du côté de la crèche familiale « Les petits compères » rue Destombes où 27 enfants sont inscrits et accueillis par neuf assistantes maternelles, sous la direction de Graziella Desurmont et Yannick Fromont. Tous les enfants ont été servis et se sont bien amusés dans le jardin, à la recherche des précieux oeufs scintillants. Puis, dans le jardin du MAC « Les Galopins », à la Maison Petite Enfance du Blanc-Four, la chasse aux oeufs était aussi une chasse au lapin en or pour les parents. Une cinquantaine d'enfants (pour 48 familles), petits, moyens et grands, se sont prêtés au jeu avec gourmandise. Il faut dire que les huit auxiliaires de puériculture, l'infirmière et les deux responsables, Anne-Flore et Aurélie, et tous les enfants avaient auparavant mis la main à la pâte. Si les 200 oeufs en chocolat ont été offerts par Kaléïde, le petit lapin en or savamment caché en hauteur était la pièce rare que les parents ont dû dénicher. Autre surprise : un poussin grandeur nature qui a fait l'admiration de tous les enfants et…parents ! Et puis cette chasse a été aussi l'occasion d'un moment magique entre le personnel, les parents, les enfants ou encore les représentants de la Ville, sans oublier la présence de Jean-Louis Beauventre, président de Kaléïde. |
Le collège Eluard a rendez-vous avec le siècle d’or de la Rome antique |
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Jeudi, 05 Avril 2018 15:10 |
Ne soyez pas surpris de lire des citations en latin dans les classes ou les couloirs du collège Eluard. En effet, à l'initiative d'Anne Massamba, professeur de lettres classiques, une belle opération pédagogique sur le thème de la Rome antique se déroule dans l'établissement. Ainsi, le 5 avril, le repas servi au restaurant du collège n'était autre qu'un déjeuner romain avec au menu : salade de lentilles aux aromates en entrée (gvstatio), poulet à la varda et sa fondue de poireaux en plat (prima mensa), fromage de brebis (caseus), poires caramélisées au miel, pain perdu miellé et dattes en dessert (secunda mensa). Cette sensibilisation tous azimuts à cette époque de la splendeur romaine – 1er siècle avant Jésus-Christ, le siècle d'or de la Rome antique (Cicéron…) – se veut interdisciplinaire. Ainsi, en maths, les collégiens abordent les préfixes latins dans le vocabulaire scientifique, un texte sur la nourriture en anglais… ou découvrent en histoire l'exposition itinérante prêtée par le département archéologique du Nord. Pour ce repas romain que les élèves ont apprécié tout comme M. Hiverlet, le principal du collège, tout est parti d'une simple interrogation : comment mangeaient les Romains ? Et pour parfaire leur culture latine, les collégiens ont eu également à répondre à un questionnaire dans le cadre d'un concours de civilisation latine : en quelle année a été fondée Rome ? Quel est le nom du dieu de la guerre chez les Romains ? Comment s'appellent les édifices où se déroulaient les courses de chars et de chevaux ? Comme se nomme le volcan qui a enseveli la ville de Pompéi ? Qu'atait le Capitole ?... |
Challenge Raid des 19 et 20 mai : vous pouvez vous inscrire jusqu’au 11 avril |
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Jeudi, 05 Avril 2018 10:21 |
La 24ème édition du Challenge Raid se déroulera les 19 et 20 mai prochains dans les cinq villes partenaires, Bondues, Bousbecque, Linselles, Roncq et Wervicq-Sud. Chaque année, près de 600 raiders participent aux différentes épreuves dans un bel élan de fraternité. Chaque année également, la Ville de Roncq accueille une catégorie d'âge sur l'espace vert de la piscine pour le bivouac de la nuit du 19 au 20 mai 2018. Cette année, la Ville accueillera les équipes de quatre raiders âgés de 13-14 ans et de deux parrains par équipe. Vous pouvez encore vous inscrire à cette 24ème édition du Challenge Raid jusqu'au 11 avril à 16h en vous pré-inscrivant et en téléchargeant le dossier à l'adresse suivante :
http://www.association-loisirs-jeunes.com
Le dossier doit être déposé à la permanence, au CJC Thérèse Boutry à Linselles par une personne membre de l'équipe ou pas. Tout dossier complet sera recevable quelque soit l'ordre d'arrivée. Votre inscription sera définitive après le paiement (règlement par chèque à l'ordre de l'ALJ à partir du 5/04, indiquer au verso le nom et la catégorie de l'équipe).
Vous pouvez retrouver la vidéo de l'édition 2017 sur le territoire roncquois en cliquant ici
Vous pouvez retrouver la vidéo de l'édition 2016 sur le territoire roncquois en cliquant ici
Vous pouvez retrouver la vidéo de l'édition 2015 sur le territoire roncquois en cliquant ici
Vous pouvez retrouver la vidéo de l'édition 2014 sur le territoire roncquois en cliquant ici
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Les résidents d’HabiTED exposent leur épanouissement collectif |
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Mercredi, 04 Avril 2018 09:40 |
Qu'en est-il du dispositif HabiTED implanté au Blanc-Four, à la résidence « Le lavoir », cet habitat innovant pour dix jeunes adultes autistes autonomes qui a vu le jour en 2015 à Roncq ? Fabienne De Oliviera, fondatrice de l'association ISRAA (Innover Sensibiliser Réagir pour l'Avenir des personnes Autistes), parle désormais d'un rayonnement national de cette expérience pour laquelle s'est d'ailleurs constituée une liste d'attente de 22 demandes de logement. Le 3 avril, se déroulait d'ailleurs à la Bibliothèque municipale le vernissage d'une première exposition d'oeuvres produites par cinq à six résidents, « c'est véritablement de la création avec de la puissance de coeur », assure Cécile Causiaux, l'animatrice de l'atelier des arts plastiques au sein de la résidence. Si 2017 a en effet été une année de stabilité et d'évolution pour les 10 locataires de la résidence « Le Lavoir », rue de la Montagne à Roncq, « avec la signature de deux CDI, plusieurs stages en entreprise pour évaluer leurs compétences, des sorties, des vacances, des temps d'échanges… », le vernissage de cette exposition jalonne d'une nouvelle étape l'ouverture de cette résidence à la vie roncquoise. « Le fil conducteur consiste à les faire sortir le plus possible des appartements », reconnaît Marie-Claude Detrez, présidente d'ISRAA, « on propose chaque mois cet atelier d'arts plastiques mais aussi des loisirs, des sorties comme prochainement au LAM, la création d'un journal trimestriel dont on en est au 6ème exemplaire… on les encourage à être ensemble pour stimuler les interactions sociales ». Les oeuvres présentées jusqu'au 14 avril à la Bibliothèque municipale, au Centre culturel, traduisent cette « expression de soi » et le plaisir de création ainsi mis en oeuvre. « Ils sont enthousiasmants, affichent une confiance géniale, on travaille avec l'idée d'écologie, on partage beaucoup, je suis très fière d'eux », ajoute Cécile. Rodrigue Desmet, Maire, voit même plus loin en évoquant l'ouverture fin 2019 du nouveau pôle associatif et culturel dans les actuels locaux du CTM, « il y aura plus d'espace et vous pourrez exposer davantage d'oeuvres. Le résultat est là et nous avons la volonté de vous accompagner dans vos projets, cuisine… ». Madeline, l'une des résidentes ayant participé à cette exposition, se félicite de ce qu'elle apprend au quotidien, « plein de choses et d'activités ». Les résidents d'HabiTED sont plus que jamais intégrés à la Ville de Roncq, à l'instar de Vianney qu'on réclame désormais pour exprimer le vécu et les témoignages de ces jeunes autistes adultes autonomes. A l'occasion de la Journée Internationale de l'autisme, « Détente et expression », exposition d'oeuvres des résidents d'HabiTED aux heures d'ouverture de la Bibliothèque municipale, au Centre culturel, jusqu'au 14 avril |
Les dumistes de l’EMM interviennent en milieu scolaire: 1er prix du concours du livre à Bondues ! |
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Mardi, 03 Avril 2018 01:00 |
La page des TAP (Temps d'Activités Périscolaires) est tournée. Il n'en reste pas moins que des activités culturelles organisées par la Ville sont toujours d'actualité. Ainsi, à l'école Neruda, Géraldine Darnois, professeur de l'Ecole Municipale de Musique, se rend tous les mardis après-midi pour préparer et faire aboutir un projet en lien avec le salon du livre de Bondues. Et ce projet que vous pouvez retrouver en vidéo a remporté le 1er prix de ce concours ! A l'école Kergomard, Magalie Sonneville fait le trajet tous les jeudis à travers le parc pour travailler avec les enfants de grande section de maternelle sur les émotions, sous forme de voyage sensitif et sonore sur les thèmes de la tristesse, de la colère, de la sérénité et de la joie. « On a ainsi la possibilité de bénéficier de la compétence d'une dumiste pour élaborer un projet autour de la musique », se félicite Mme Pawlyszin, enseignante de la vingtaine de CM1 et CM2 qui profitent de ce moment créatif. En l'occurrence, il s'agit de la création par les enfants d'une illustration sonore qui, in fine, sera enregistrée sur CD ou clé USB pour servir de support à la présentation d'un ouvrage lors du salon du livre de Bondues. « On a beaucoup travaillé sur l'écoute musicale pour retranscrire une illustration sonore avec divers instruments de petite percussion », poursuit Géraldine Darnois, « on a démarré après les vacances de Toussaint et l'on termine ce projet avant les vacances de février ». L'un des enfants lit un texte pendant lequel les bruitages instrumentaux se mettent en place. Et le résultat est bluffant ! A l'école Kergomard, Magalie plante l'ambiance. De la sérénité tout d'abord pour mieux découvrir les émotions chez les 24 enfants de Madame Géraldine. Même séquence émotion avec les enfants de Madame Varlet. Et très vite, les enfants identifient ce qui relève de la tristesse, de la colère, de la sérénité et de la joie. Là également; avec ou sans instruments de percussion, l'expérience est étonnante. (Photos Thierry Thorel et Patrick Bonte)
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