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Resto du Cœur : un public très féminin |
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Mardi, 26 Novembre 2013 12:35 |
 
La nouvelle campagne d'hiver du Resto du Coeur, en partenariat avec le CCAS de la Ville, a démarré le 26 novembre au LCR des Deux Clairières sur fond de malaise social. 36 familles étaient inscrites dès l'ouverture, un nombre qui va évoluer pour sans doute approcher la soixantaine en fin de campagne, comme ce fut le cas en mars dernier avec 57 familles bénéficiaires. Familles monoparentales, retraités, travailleurs pauvres, étudiants constituent l'essentiel du public très féminin qui se rend deux fois par semaine au local de la rue de Lille où leur est réservé un accueil chaleureux (café, gâteaux…).
Stéphanie, 47 ans, vit seule avec deux enfants à charge et vient de quitter son emploi à temps partiel pour bénéficier de droits auxquels elle ne pouvait pas prétendre. Une nouvelle approche qui passe nécessairement par le Resto du coeur pour joindre les deux bouts. Patricia, 50 ans, doit quant à elle vivre avec moins de 1000 euros avec deux enfants à charge. Emilie, 29 ans, est titulaire d'un Master 2 en ingénierie de formation (Bac +5). Elle vit avec le RSA et suit une formation non rémunérée. « J'aimerais bien trouver un travail dans l'animation socio-culturelle, il me reste actuellement 300 euros mensuels pour vivre », témoigne-t-elle.
L'équipe fidèle des douze bénévoles placée sous la responsabilité de Régis Ferret doit veiller davantage à la distribution des denrées en raison des quotas fixés par la commission européenne. Deux référents (santé et emploi) proposent d'autres services : bilan de santé à l'hôpital Dron, orientation des bénéficiaires vers un médecin, mais aussi vers le CCAS de la Ville, Pôle Emploi ou des entreprises du secteur, sans oublier la distribution prisée des vêtements offerts par de généreux donateurs. « Des boulangers roncquois offrent également des pains », ajoute Régis Ferret.
Resto du Coeur de Roncq, LCR des Deux Clairières, 481 rue de Lille, inscriptions sur place durant toute la campagne d'hiver. Deux distributions sont assurées chaque semaine, le mardi et le vendredi de 9h à 11h au LCR des Deux Clairières. Renseignements au 06 37 85 10 56 ou au 03 61 50 67 92 |
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Petit déjeuner américain à l’école Kergomard |
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Lundi, 25 Novembre 2013 17:03 |
Pancakes, orange juice, peanut, tea, milk, sandwich… le petit déjeuner servi le 25 novembre dans le restaurant scolaire de l'école Kergomard a transporté les enfants de grande section de Laurence Varlet et de Géraldine Maes ainsi que les CP de M. Sliman et les CE1 de Jacqueline Vasseur de l'école Pergaud aux States !
Parents, enseignants, personnel municipal, tous ont participé à cette belle opération orchestrée par Valérie Dizy, intervenante en anglais précoce pour la Ville. Pour l'occasion, les enfants ont chanté en reprenant des airs d'un nouveau répertoire. Cette liaison entre les enfants de grande section de maternelle et les CP est aussi une belle manière de créer des passerelles entre les deux écoles.
Cerise sur le gâteau : le surplus de denrées que l'on doit à la générosité des parents sera transmis à la Banque Alimentaire du Nord, un geste de solidarité et d'altruisme vivement salué par la directrice, Mme Varlet, et les enseignants.
Retrouvez la vidéo et l'album photos dans la rubrique VOTRE MAIRE/DECOUVRIR RONCQ
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Hommage rendu à de « fervents républicains » |
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Dimanche, 24 Novembre 2013 00:15 |
     
« Qu'est-ce qui a transcendé ces hommes pour qu'ils deviennent de fervents républicains ? » interroge le 23 novembre Vincent Ledoux, Maire et vice-président de Lille Métropole, « leur commune », répond-il lors d'une double inauguration où l'on a vu de jeunes enfants issus de leurs ancêtres exemplaires dévoiler les plaques.
Six membres de la famille Decottignies et Paul Debaets ont oeuvré pour Roncq, une centaine d'années pour la première (depuis 1848), 40 ans pour le second (secrétaire général de mairie de 1935 à 1975). La Ville reconnaissante leur rend hommage. Deux lieux publics portent désormais leurs noms : le square Decottignies à l'angle des rues de Lille et de la Vieille Cour, la salle Paul-Debaets au coeur de la nouvelle maison de quartier « La Marelle ».
Engagement municipal, création d'une harmonie… par leurs prises de responsabilités, ils ont accompagné l'évolution d'un village agricole devenu cité industrielle et commerçante. « Ils ont assuré la continuité de l'Etat », a rappelé Vincent Ledoux, « à une époque où on restait à Roncq pendant des décennies, où l'on y mourrait ».
Ces hommes forcent le respect et suscitent de la fierté. « Ils ont créé des perspectives de développement, de nouvelles formes d'organisation sociale et sociétale », a repris le Maire, « ils ont apporté davantage de bien-être, de moyens pour faire mieux vivre la commune ».
Robert Decottignies a fait part de « la joie, la fierté et la gratitude » exprimées par sa famille et a remercié Vincent Ledoux et le conseil municipal. Des remerciements adressés également par Jean-Paul Debaets, le fils de Paul Debaets, point d'orgue d'une inauguration fraternelle. (Ph. Thierry Thorel) |
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« Je grandis, tu grandis » : 800 arbres plantés ! |
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Samedi, 23 Novembre 2013 15:14 |
« Planter un arbre, c'est faire un acte de foi, de confiance dans l'avenir », a souligné Vincent Ledoux, Maire, Vice-président de Lille Métropole, le 23 novembre salle Catry devant de très nombreux parents venus avec le petit dernier ou la petite dernière né(e) durant l'année écoulée. Cette manifestation symbolique – « Un arbre pour une naissance », a rappelé Sylvain Lamblin, conseiller municipal délégué à l'état-civil – renouvelée depuis 2001 grâce à l'initiative de Rodrigue Desmet, Premier adjoint, rencontre l'adhésion de parents à la recherche de symboles et de repères marquant la pérennité.
Cette année, en plus des 750 arbres déjà plantés dans la commune, 51 naissances ont ainsi pris racine rue Gustave Charpentier, aux portes des Chats-Huants. C'est là que sorbiers, érables, aubépines, hêtres, noisetiers ou ormes ont été plantés pour incarner les adultes en devenir nés dans la commune.
« Ce symbole est d'autant plus important que la forêt primaire est menacée alors qu'elle est essentielle à notre survie », a rappelé Vincent Ledoux, « un arbre, c'est en moyenne 600 mètres carrés de feuilles qui vont absorber du gaz carbonique et rejeter de l'oxygène. Et certains arbres sont âgés de 43 000 années, ce qui nous renvoie à l'âge du Néandertal, quelle belle leçon de vie nous offrent-ils ! »
Le Maire fait confiance aux parents pour qu'ils soient « de vrais éducateurs »: « Faites-en sorte qu'ils soient en capacité d'être de vrais adultes demain, partageant une belle vie, la plus coopérative possible ».
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Intervilles seniors : la coupe rejoint Neuville |
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Vendredi, 22 Novembre 2013 18:42 |
 
A l'issue de quatre jeux et autant de quizz, les équipes de Roncq et Neuville-en-Ferrain ont terminé à égalité de points (15), lors de ces 3èmes Intervilles seniors. C'est donc à Neuville-en-Ferrain que se déroulera la 4ème édition, après un millésime 2013 très échevelé et très serré où Roncq remettait en jeu la coupe remportée de haute lutte l'an passé !
C'est dans une chaude ambiance - l'équipe de Roncq a fait ce qu'il fallait pour encourager les siens, Régis, Alain et les autres - que s'est déroulée cette 3ème édition organisée par le CCAS de Roncq, en partenariat avec ceux des autres villes participantes, Tourcoing, Neuville-en-Ferrain et Mouscron. Quatre jeux ont départagé les équipes de deux joueurs, autour d'une mini bourloire, lors d'un attrape balles, à l'issue d'une boucle d'obstacles, ou après une séance mémorable de mime. Les quizz ont ajouté au suspense entretenu durant toute l'après-midi du 22 novembre, salle Catry.
A noter que le CCAS de la Ville de Roncq a remis des chèques cadeaux aux vainqueurs de l'épreuve qu'elle a organisée, à savoir la boucle d'obstacles. (Reportage Patrick Bonte)
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Ecole Jaurès : l’accueil périscolaire s’installe |
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Jeudi, 21 Novembre 2013 19:42 |
   
Depuis la rentrée de septembre dernier, l'accueil périscolaire s'est installé dans d'autres locaux puisque le local occupé l'année dernière est désormais rendu au travail de classe. Le nouveau point de chute se situe au 10 de la rue Jules-Watteeuw, là où s'était installée provisoirement l'Association du Service des Familles dans l'attente de l'ouverture de la Maison Petite Enfance.
Une vingtaine d'enfants de l'école Jaurès – dont de nombreux enfants de CP - se retrouvent en fin de journée dans ce local pour partager des activités de détente, manuelles et autres. Sous la conduite d'une animatrice, Emilie, et d'un animateur, Samuel, ils participent à des jeux. Ils ont ainsi réalisé des dessins autour du thème d'Halloween et, dernièrement, ils ont crayonné sur le thème de l'escargot. Les enfants ont même désigné leur championne de l'escargot : Salomé Kinnen.
Pas de doute, les nouveaux petits locataires du 10 rue Jules-Watteuw ont adopté leur nouveau local où l'ambiance débridée ne manque pas de vitalité ! |
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Retrouvez l’essentiel du Conseil municipal du 12 novembre |
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Mercredi, 20 Novembre 2013 16:24 |
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A l'issue de chaque séance publique du conseil municipal, une synthèse des délibérations adoptées est mise en ligne sur le site de la Ville, www.roncq.fr. |
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Ciné Solidaire pour concilier alimentation et consommation |
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Samedi, 16 Novembre 2013 19:49 |
   
Dans le cadre de la 5ème Semaine de la Solidarité Internationale, en présence de Vincent Ledoux, Maire, d'élus et de nombreux représentants associatifs, était organisée le 16 novembre au cinéma Gérard-Philipe une séance de « Ciné solidaire » autour du thème de l'alimentation dans le monde, en partenariat avec Roncq-Sélinkégny, ASDC Cambodge et les Rencontres Audiovisuelles.
Huit courts métrages ont été projetés pour sensibiliser le public à cette question essentielle de l'alimentation, sous des titres évocateurs, parfois provocateurs : « Le paradoxe de la faim », « Je mange, donc je suis », « Copier cloner », « Les champs de la mort »…« Ce thème nous interpelle d'autant plus que nous avons développé des actions dans les écoles roncquoises pour lutter contre le gaspillage alimentaire », souligne Sylvain Lamblin, conseiller municipal délégué aux relations internationales, « ces films nous ont montré l'envers du décor, comment ne pas réagir au trajet d'une tomate parcourant le monde et dont le déchet qui en résulte revient à son point d'origine ! Autre exemple : quand une vache européenne produit 25 litres de lait, une vache africaine en produit seulement cinq litres. Tout cela nous renvoie automatiquement à nos modes de consommation ».
Sadi Sareth, conseiller de l'association ASDC Cambodge, se fait le défenseur des produits naturels : « je plaide pour le commerce équitable qui vient au secours des petits producteurs qui ne disposent pas des mêmes moyens que les industriels. Au Cambodge, l'alimentation résulte d'une démarche mixte, entre petits paysans qui commencent à s'équiper de moyens modernes et entreprises plus importantes. Il est regrettable que l'alimentation soit actuellement dominée par quelques firmes internationales alors qu'elle devrait être le fruit d'un vrai partage. »
Kébé Khalidou, étudiant en Droit à Paris, membre de l'association pour le développement du village de Sélinkégny au Mali, jumelé avec la Ville de Roncq, se veut plus philosophe : « on passe souvent à côté de l'essentiel. Trop souvent, le volet économique prend le dessus sur la vocation première de l'alimentation, à savoir nourrir l'être humain. On a intérêt à garder le modèle coopératif. Au Mali, on cultive avec des moyens traditionnels, les démarches professionnelles qui permettraient de nourrir davantage y sont encore insuffisantes. L'objectif de l'alimentation, c'est bien de nourrir la planète, c'est même une obligation. » (Ph. Thiery Thorel)
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